Résumé : |
La majorité paysanne africaine doit devenir acteur du développement et d'une véritable démmocratie. Pour cela, elle doit s'organiser en "ONG", nationales d'abord, regroupées ensuite à l'échelon africain. Dans la première partie de son ouvrage, l'auteur critique la mentalité "coloniale" des intellectuels africains ainsi que le rôle et l'activité des ONG européennes. Il décrit ensuite la naissance des coopératives agricoles après l'indépendance, avant d'évoquer la nécessité de créer des ONG paysannes, leurs relations avec les ONG européennes et eurafricaines et leur rôle dans un processus de développement participatif. |