Résumé : |
Les auteurs montrent que le manque d'eau potable entraîne huit millions de morts par an. Pourtant, si les nations faisaient de l'eau une priorité pour tous, en exécutant les mesures nécessaires, si on utilisait mieux l'argent privé, si on mettait au point une "nouvelle gouvernance" de l'eau au sein d'une chaîne complexe d'intervenants solidaires, une solution pourrait être trouvée ; il faudrait accepter de modifier des rapports sociaux dont les femmes sont souvent les principales victimes. |