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trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche[document électronique]MSF et les Rohingya 1992-2014 BINET, Laurence, - PARIS : MEDECINS SANS FRONTIERES (MSF), 2020/11, 336 P.
L’étude de cas “MSF et les Rohingya 1992–2014” met en lumière deux décennies d’activités de plaidoyer de MSF dans le cadre de l’assistance humanitaire portée à la population des Rohingya au Bangladesh et au Myanmar. Les Rohingya vivent dans le nord de l’Arakan, un des États du Myanmar (anciennement Birmanie) situé à l’ouest du pays, à la frontière avec le Bangladesh. Ils sont majoritairement musulmans, dans un pays où la population est en majorité bouddhiste. Depuis la fin des années 70, les Rohingya ont fui les persécutions et les vagues de violence pour trouver refuge au Bangladesh. Au cours de deux décennies de présence et de secours aux Rohingya, MSF a été confronté à une série de dilemmes et de questionnements majeurs. Ils sont reportés dans ce document à travers des témoignages, des récits, des documents de l'époque.
Public :
https://www.msf.org/sites/default/files/2020-12/msf-et-les-rohingya-1992-2014-vf.pdf
[texte imprimé]Camps de réfugiés rwandais : Zaïre-Tanzanie 1994-1995 BINET, Laurence, - PARIS : MEDECINS SANS FRONTIERES (MSF), 2005/09, 116 P.
Cette étude a été menée en interne par l'ONG Médecins sans Frontières (MSF) sur le génocide au Rwanda, qui a eu lieu en avril 1994, au lendemain de l'attentat durant lequel le président rwandais fut assassiné. S'appuyant sur diverses prises de paroles publiques et sur des témoignages de personnes réfugiées en Tanzanie et au Zaïre (République démocratique du Congo), ce document retrace le déroulement des événements sur le terrain, qui se sont traduits par le massacre de milliers de Tutsis, lors du conflit interethnique opposant les deux principales ethnies, les Hutus et les Tutsis.
Cette étude a été menée en interne par l'ONG Médecins sans Frontières (MSF) sur le génocide au Rwanda, qui a eu lieu en avril 1994, au lendemain de l'attentat durant lequel le président rwandais fut assassiné. S'appuyant sur diverses prises de paroles publiques et sur des témoignages de personnes réfugiées en Tanzanie et au Zaïre (République démocratique du Congo), ce document retrace le déroulement des événements sur le terrain, qui se sont traduits par le massacre de milliers de Tutsis, lors du conflit interethnique opposant les deux principales ethnies, les Hutus et les Tutsis.
https://www.msf.org/sites/msf.org/files/2019-04/MSF%20Speaking%20Out%20Rwandan%20Refugee%20camps%201995-1995.pdf
Après le génocide des Rwandais tutsis en juin 1994, de nombreux Rwandais hutus, opposés aux massacres, ont été tués par les groupes politico-militaires extrémistes qui ont excité les ressentiments interethniques. Fuyant l'avancée du Front patriotique rwandais (FPR), les auteurs du génocide ont entraîné avec eux des centaines de milliers de Rwandais sous la menace et l'influence de leur propagande. Des vagues successives de réfugiés hutus sont arrivées dans le sud-ouest du Rwanda, en Tanzanie et au Zaïre, où les équipes de Médecins Sans Frontières (MSF) ont été témoins des exactions et brutalités commises par l’administration et les forces armées du nouveau régime FPR contre les populations déplacées. Dès le printemps 1995, MSF a pris publiquement la parole pour dénoncer les massacres et les exactions et a publié des rapports alarmants sur la foi des témoignages de ses volontaires. En décembre 1995, la section française de MSF a été expulsée du Rwanda par le régime. Ce document retrace les prises de parole des témoins MSF sur le terrain, ainsi que leurs rôles, entre 1994 et 1995.
https://www.msf.org/sites/msf.org/files/2019-04/MSF%20Speaking%20Out%20Violence%20of%20the%20new%20Rwandan%20regime%201994-1995.pdf
Après le génocide des Rwandais tutsis en juin 1994, de nombreux Rwandais hutus, opposés aux massacres, ont été tués par les groupes politico-militaires extrémistes qui ont excité les ressentiments interethniques. Fuyant l'avancée du Front patriotique rwandais (FPR), les auteurs du génocide ont entraîné avec eux des centaines de milliers de Rwandais sous la menace et l'influence de leur propagande. Des vagues successives de réfugiés hutus sont arrivées dans le sud-ouest du Rwanda, en Tanzanie et au Zaïre, où les équipes de Médecins Sans Frontières (MSF) ont été témoins des exactions et brutalités commises par l’administration et les forces armées du nouveau régime FPR contre les populations déplacées. Dès le printemps 1995, MSF a pris publiquement la parole pour dénoncer les massacres et les exactions et a publié des rapports alarmants sur la foi des témoignages de ses volontaires. En décembre 1995, la section française de MSF a été expulsée du Rwanda par le régime. Ce document retrace les prises de parole des témoins MSF sur le terrain, ainsi que leurs rôles, entre 1994 et 1995.
https://www.msf.org/sites/msf.org/files/2019-05/MSF%20Speaking%20Out%20Violences%20du%20nouveau%20regime%20rwandais%201994-1995.pdf
[texte imprimé]Le chardon tchétchène : la Tchéchénie sous le rouleau compresseur russe BINET, Laurence, - PARIS : SYROS JEUNESSE, 2003, 118 P.
Depuis 1993, les Tchétchènes tentent de résister à l'occupation russe. Sous prétexte de lutter contre le terrorisme, l'armée russe se livre à une opération de destruction du peuple tchétchène à des fins politiques, sous le regard indifférent de la communauté européenne. Cet ouvrage nous apporte deux témoignages sur les horreurs qui sont commises par l'armée russe. Dans le premier, une jeune fille nous raconte ses neuf dernières années vécues dans la Tchétchénie en guerre : la faim, le froid, l'absence de soins, les bombes, la torture, la perte des siens, la terreur permanente. Le second témoignage nous est transmis par un jeune appelé de l'armée russe, enrôlé contre son gré pour faire la guerre en Tchétchénie. Dans les lettres adressées à sa mère, il décrit les humiliations qu'il a dû subir et explique comment, ayant été déshumanisé par l'armée russe pour mener une guerre contre les civils, il n'a pas eu d'autre choix que celui de déserter.
Deux témoignages contre une injustice : ne pas avoir la possibilité de se soigner.
Le premier est le témoignage d'une jeune fille de 17 ans, S.D.F., malade, sans ressources, n'ayant pas accès à la médecine de ville et qui ne peut que consulter auprès d'un Centre de Médecins du Monde.
Le deuxième est le témoignage d'une jeune femme, médecin en Ouganda, envoyée par Médecins du Monde et qui constate le désintérêt de l'industrie pharmaceutique pour les maladies des pauvres.
1-Nakusha, une petite fille qui vit dans l'Uttar Pradesh, ne peut aller à l'école car elle doit prendre en charge toutes les tâches ménagères de la famille.
2-Latifa vit à Kaboul. Infirmière avant la guerre qui a commencé il y a dix-sept ans, elle est aujourd'hui recluse dans sa maison et ne peut sortir qu'entièrement voilée.
Cet ouvrage pratique donne un mode d'emploi pour les candidats au départ et à l'action humanitaire. Il recense les principaux organismes humanitaires en France et à l'international, présente 35 métiers en fiches pratiques. Il explique ensuite les conditions de vie en mission, le statut, la formation, la protection sociale et le retour.
