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[texte imprimé]Penser l'après-crise : tout est à reconstruire ! PAGE, Jean-Pierre, - PARIS : AUTREMENT, 2009/01, 134 P.
L'auteur affirme qu'un monde nouveau se met en place, qu'on pourrait appeler "le monde après la mondialisation". Les tensions auront entraîné la transformation, la réorganisation de la mondialisation dans le sens d'une plus grande justice dans les systèmes d'imposition, de redistribution des revenus et de protection sociale. Il ne suffira pas de réformer le "capitalisme financier". Car l'état de la planète oblige à repenser notre mode de vie, trop gourmand en énergie, pollueur et gaspilleur de ressources, et à concevoir un développement plus frugal et respectueux des équilibres naturels. Si, pour satisfaire les besoins des pays les moins développés, il est nécessaire que la croissance globale se poursuive, dans les pays développés il faudra reconsidérer l'idée que la croissance n'est pas obligatoire. Encore faut-il admettre que ce qui est impératif, c'est le bien-être des habitants de la planète et que le fonctionnement du monde doit être réorganisé en conséquence.
Titre : Penser l'après-crise : tout est à reconstruire ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre PAGE Editeur : PARIS : AUTREMENT Année de publication : 2009/01 Collection : FRONTIERES, ISSN 1627-430X Importance : 134 P. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7467-1251-5 Note générale : Préface de Christian de BOISSIEU. Bibliographie sélective, notes infrapaginales, tableaux. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Crise économique ; Crise financière ; Capitalisme ; Fonds monétaire international (FMI) ; Gouvernance ; Mondialisation ; Décroissance ; Égalité socialeRésumé : L'auteur affirme qu'un monde nouveau se met en place, qu'on pourrait appeler "le monde après la mondialisation". Les tensions auront entraîné la transformation, la réorganisation de la mondialisation dans le sens d'une plus grande justice dans les systèmes d'imposition, de redistribution des revenus et de protection sociale. Il ne suffira pas de réformer le "capitalisme financier". Car l'état de la planète oblige à repenser notre mode de vie, trop gourmand en énergie, pollueur et gaspilleur de ressources, et à concevoir un développement plus frugal et respectueux des équilibres naturels. Si, pour satisfaire les besoins des pays les moins développés, il est nécessaire que la croissance globale se poursuive, dans les pays développés il faudra reconsidérer l'idée que la croissance n'est pas obligatoire. Encore faut-il admettre que ce qui est impératif, c'est le bien-être des habitants de la planète et que le fonctionnement du monde doit être réorganisé en conséquence. Type de contenu : essai, réflexion, analyse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46387 Exemplaires (1)
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