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Auteur Nestor PONCE |
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[article]L'Argentine de la dictature ou le devoir de mémoire - In : ESPACES LATINOS, mars-mai 2016 (01/03/2016), N°288, P. 6-9
Après la mort de Péron, en 1974, son épouse, Maria Estrela Martinez de Peron, lui succède. En 1976, une junte militaire prend alors le pouvoir par un coup d'Etat. Dirigée par Jorge Videla, elle exerce une dictature féroce. Les jeunes contestataires (ouvriers, universitaire …) en seront les principales victimes (tortures et disparitions). La résistance s'organise et pour retrouver leurs proches "disparus", des femmes protestent sur la "Place de Mai", chaque semaine, pendant des années. A la fin de la dictature, après les élections de 1983, des commissions d'enquête sont constituées pour lutter contre l'impunité et juger les hauts responsables. Les manuels d'histoire actuels ne passent plus sous silence ces années de "guerre sale" et plusieurs musées développent la culture de la mémoire.
[article]
Titre : L'Argentine de la dictature ou le devoir de mémoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Nestor PONCE Année de publication : 2016 Article en page(s) : P. 6-9 Note générale : Né en 1955 en Argentine, clandestin puis exilé pendant la dictature, Néstor PONCE est écrivain et professeur des Universités, organisateur à Rennes, en mars 2016 du colloque international "Coup d'Etat en Argentine et guerre des Malouines. Langages de la mémoire, traumatisme et tournants de l'histoire". Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
POLITIQUE ; Histoire ; Droits humains ; État de droit ; Dictature ; Disparu·e ; Régime militaire ; Torture ; Impunité ; Justice
Thésaurus Géographique
Amérique du SudRésumé : Après la mort de Péron, en 1974, son épouse, Maria Estrela Martinez de Peron, lui succède. En 1976, une junte militaire prend alors le pouvoir par un coup d'Etat. Dirigée par Jorge Videla, elle exerce une dictature féroce. Les jeunes contestataires (ouvriers, universitaire …) en seront les principales victimes (tortures et disparitions). La résistance s'organise et pour retrouver leurs proches "disparus", des femmes protestent sur la "Place de Mai", chaque semaine, pendant des années. A la fin de la dictature, après les élections de 1983, des commissions d'enquête sont constituées pour lutter contre l'impunité et juger les hauts responsables. Les manuels d'histoire actuels ne passent plus sous silence ces années de "guerre sale" et plusieurs musées développent la culture de la mémoire. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=68903
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