Titre : |
Dette écologique et extractivisme |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Nicolas SERSIRON, Coordinateur ; Renaud DUTERME, Coordinateur |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
94 P. |
Note générale : |
Dossier en 3 parties et 17 articles :
I REFLEXIONS GLOBALES
* Au cœur des enjeux climatiques
* Une dette qui ne sera jamais payée
* Du pétrole dans les crises économiques
* Des renouvelables vraiment écologiques ?
* l'effondrement qui vient
* Migrations, pillages et climat
II LUTTES LOCALES
* Cajamarca/Tolima - Oui à la vie, non à la mine
* Biens communs : le pillage grec
* Dette et écologie en Inde
* Terrorisme environnemental
* le dilemme du modèle agro-exportateur
III QUELQUES ALTERNATIVES
* Eléphants blancs et GPNIS
* "Nouvelle révolution verte"
* Quelles réparations ?
* Luttes de territoires
* Code barre et nouveau monde
Illustrations photographiques et dessins. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Thésaurus Thématique ENVIRONNEMENT ; Pillage des ressources ; Pillage du tiers monde ; Écologie ; Risque technologique ; Catastrophe écologique ; Dette ; Banque mondiale (BM) ; Organisme génétiquement modifié (OGM)
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Résumé : |
Dette écologique et extractivisme sont deux notions que l'on peut associer comme des phénomènes majeurs de notre temps. La dette écologique résulte des dommages causés à l'environnement par l'extractivisme, c'est-à-dire le pillage des ressources essentiellement dans les pays du Sud. La fragilisation du capitalisme pousse les oligarchies à persister dans un système d'exploitation qui pousse à l'extrême les inégalités et la destruction de notre biotope. Pour résoudre la crise écologique les décideurs envisagent des solutions technologiques au lieu de rechercher des réponses sociales comme une meilleure répartition des richesses par exemple. Les pays développés ne reconnaissent pas leur responsabilité dans la dégradation de notre planète. La dette écologique ne sera probablement jamais payée. Les grands projets ou "éléphants blancs" censés préserver l'environnement ont un coût élevé pour les collectivités mais enrichissent les multinationales. De même, la nouvelle révolution verte annoncée par la Banque mondiale suit le modèle de l'agrobusiness avec son cortège destructeur habituel : OGM, intrants chimiques et pesticides. Les luttes contre ces projets sont donc des initiatives à encourager. |
Permalink : |
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in LES AUTRES VOIX DE LA PLANETE (AVP) > N°67 (2e trimestre 2016) . - 94 P.