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[article]Asie centrale : des millions de personnes n'ont pas accès à l'eau potable au Tadjikistan et en Ouzbékistan ZINGASHINA, Dinara ; ADURAKHMANOV, Temur - In : UN SEUL MONDE, septembre 2022 (01/09/2022), N°3/2022, 21 P.
Dans ce dossier, un reportage expose les problèmes transfrontaliers posés par la gestion de l'eau au Tadjikistan et en Ouzbékistan. Le Tadjikistan dont les montagnes donnent naissance au fleuve Syr Daria est un véritable château d'eau mais celle-ci parvient très peu en Ouzbékistan situé en aval. Depuis la fin de l'URSS, les infrastructures d'irrigation ont été négligées, des guerres ont éclaté et les équipements collectifs ont été pillés. Les deux entretiens qui suivent confirment la nécessité de créer les conditions juridiques d'une répartition équitable de la ressource et de rénover les installations anciennes.
[article]
Titre : Asie centrale : des millions de personnes n'ont pas accès à l'eau potable au Tadjikistan et en Ouzbékistan Type de document : texte imprimé Auteurs : Samuel SCHLAEFLI ; Dinara ZINGASHINA, Personne interviewée ; Temur ADURAKHMANOV, Personne interviewée Année de publication : 2022 Article en page(s) : 21 P. Note générale : Dossier de trois articles :
* Goutte-à-goutte et tarifs contre la crise de l'or bleu
* "La difficulté réside moins dans la quantité d'eau que dans le calendrier de répartition"
* "Mon avenir, je le vois dans le secteur de l'eau"
* Faits et chiffres.
Carte politique de l'Asie centrale, photos couleurs.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Eau ; Accès à l'eau ; Gestion des ressources naturelles ; Conflit
Thésaurus Géographique
Asie centrale ; Ouzbekistan ; TadjikistanRésumé : Dans ce dossier, un reportage expose les problèmes transfrontaliers posés par la gestion de l'eau au Tadjikistan et en Ouzbékistan. Le Tadjikistan dont les montagnes donnent naissance au fleuve Syr Daria est un véritable château d'eau mais celle-ci parvient très peu en Ouzbékistan situé en aval. Depuis la fin de l'URSS, les infrastructures d'irrigation ont été négligées, des guerres ont éclaté et les équipements collectifs ont été pillés. Les deux entretiens qui suivent confirment la nécessité de créer les conditions juridiques d'une répartition équitable de la ressource et de rénover les installations anciennes. Type de contenu : témoignage ; expérience, entretien Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82163
in UN SEUL MONDE > N°3/2022 (septembre 2022) . - 21 P.[article]Exemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 11365 REL DDC seul 22/09-3 affiche, photo 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible 49554 CM Un Seul Monde 3/2022 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt BUHDL2049316 PV 52/3-2022 autres textes imprimés 69 - BU HDL (Lyon) Disponible N°262 - septembre 2022 - Défendre l'eau, c'est défendre la terre et la vie (Bulletin de MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES) / Joanna CABELLO
[n° ou bulletin]
Titre : N°262 - septembre 2022 - Défendre l'eau, c'est défendre la terre et la vie Type de document : document électronique Auteurs : Joanna CABELLO, Coordinateur Année de publication : 2022 Importance : 48 P. Format : fichier pdf Note générale : Dossier comprenant :
* L’eau et la terre : une trame de vie indissociable, p. 2
* Les communautés quilombola récupèrent leurs terres et leur eau après 40 ans de monoculture d'eucalyptus au Brésil, p. 5
* Plantations de palmiers à huile et accaparement de l’eau : Côte-d’Ivoire et Gabon, p. 14
* Pérou : Contre la dévastation du territoire et des droits autochtones par les compagnies pétrolières, le sens des rivières, p. 20
* Lutter pour ne pas sombrer : les habitants de l’île de Pari, en Indonésie, luttent contre l’injustice, p. 27
* "Sans eau, il n’y a pas de vie", p. 32
* Les rivières de l’Amazonie bolivienne, p. 32
* De l’Asie à l’Afrique : l’expansion tentaculaire des plantations de palmiers à huile épuise les ressources en eau des communautés, p. 37
* Eau, extractivisme et minéraux critiques au Brésil : quelques réflexions, p. 42
Notes bibliographiques, liens sitographiques, recommandations.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Accaparement de terres ; Accès à l'eau ; Agriculture intensive ; Écosystème ; Extractivisme ; Gestion des ressources naturelles ; Multinationale ; Peuple autochtone ; Pollution
Thésaurus Géographique
Afrique ; Asie ; Amazonie ; Bolivie ; Brésil ; Côte d'Ivoire ; Gabon ; PérouRésumé : Derrière chaque accaparement de terres se cache un accaparement de l’eau. La terre et l’eau sont interdépendantes, inséparables et vitales. Les plantations de monoculture intensive et l'extraction de matières premières naturelles sont responsables de l’accaparement de terres communautaires, en particulier pour les populations forestières et paysannes, mais génère aussi la pollution à long terme des terres, de l’eau et de l’air. Les conséquences de l’empoisonnement et/ou du pillage de l’eau dues à l'agriculture intensive et aux opérations extractives ont un impact sur les écosystèmes qui dépendent des sources d’eau et des territoires qu’elles font vivre. Les sites de production, les corridors de transport et les constructions d'infrastructures afférentes affectent des zones bien plus vastes que les seuls territoires occupés par ces activités destructrices de l'environnement. Type de contenu : essai, réflexion, analyse En ligne : https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=28018 [n° ou bulletin]Contient
- [article]Les communautés quilombola récupèrent leurs terres et leur eau après 40 ans de monoculture d'eucalyptus au Brésil - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 5-13
Dans les années 1950, le territoire quilombola de Sapê do Norte, dans l'État d'Espírito Santo, au Brésil, occupait une vaste zone dans les municipalités actuelles de São Mateus et Conceição da Barra. Environ 12 000 familles de cette communauté ont été expulsées de leurs terres traditionnelles par un processus de néocolonisation parrainé par l'État brésilien puis, dans les années 1970, par l'arrivée de l'entreprise Aracruz Celulose (aujourd'hui Suzano) et l'expansion de la monoculture d'eucalyptus à grande échelle. Après quarante ans de spoliation, les communautés autochtones ont entamé un processus de lutte pour récupérer leurs terres, leur eau et leurs moyens de subsistance. Le WRM s'est entretenu avec deux activistes quilombola sur leurs conditions de résistance difficile mais fertile. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf- [article]Plantations de palmiers à huile et accaparement de l’eau : Côte-d’Ivoire et Gabon - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 14-19
La production industrielle d’huile de palme en Côte d'Ivoire et au Gabon est gérée par cinq multinationales qui contrôlent environ 67 % de la superficie des plantations industrielles de palmiers à huile, dont les concessions ont été financées par des investissements étrangers et dont l'expansion est en progression constante. Les plantations accaparent de vastes étendues de terre et ont de nombreux impacts socio-environnementaux sur les populations et les territoires autochtones. La terre et l’eau sont interdépendantes et, dans ces régions boisées, la crise de l’eau n’existerait pas si les entreprises n’avaient pas accaparé les terres des populations locales. La raréfaction de l’eau pour les communautés qui vivent dans et autour des plantations industrielles de palmiers à huile est alarmante et semble inexorable. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf- [article]Pérou : Contre la dévastation du territoire et des droits autochtones par les compagnies pétrolières, le sens des rivières - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 20-26
Les communautés autochtones touchées par la pollution de l’industrie pétrolière perdent également leur accès vital à l’eau. L’État péruvien ne respecte pas ses propres législations concernant le droit à l'eau et n'engage aucun moyen contre la violation de ce droit (selon les statistiques officielles, 54 % de la population autochtone amazonienne n’a pas accès à l’eau). Dans le nord de l’Amazonie péruvienne, une centaine de communautés autochtones et leurs fédérations sont engagées depuis onze ans dans une lutte unie, constante et coordonnée pour la défense de leurs territoires et de leurs rivières contre les activités pétrolières (lots pétroliers et oléoduc Norperuano qui traverse le nord de l’Amazonie et les montagnes andines). https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf- [article]Lutter pour ne pas sombrer : les habitants de l’île de Pari, en Indonésie, luttent contre l’injustice - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 27-31
Pour de nombreuses îles et régions côtières de faible altitude, l’élévation du niveau de la mer est l’un des impacts les plus perceptibles du changement climatique. L’Indonésie, où plus de quatre millions de personnes sont victimes d'inondations chaque année, est particulièrement exposée à l’élévation du niveau de la mer en raison de la longueur de son littoral et de sa position géographique. Les habitants de l’île de Pari voient de plus en plus souvent leurs maisons et leurs entreprises envahies par les eaux. En plus de lutter contre les grandes entreprises de tourisme, quatre habitants de l’île de Pari ont intenté une action en justice contre l’un des principaux émetteurs de dioxyde de carbone au monde, et donc l’un des principaux responsables de leur situation : le groupe cimentier Holcim. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf- [article]"Sans eau, il n’y a pas de vie" : Les rivières de l’Amazonie bolivienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 32-35
En Amazonie bolivienne, comme un "sang de la terre", la rivière Beni traverse le parc national Madidi, l’une des zones les plus riches en biodiversité de la planète, et la réserve Pilón Lajas. Or la rivière Beni est menacée par des projets de construction de méga barrages, en particulier Chepete et Bala, qui inonderaient une superficie plus grande que celle de La Paz, la capitale. Des études d’impact ont estimé que la construction des barrages, des routes et des lignes de transport d’électricité nécessiterait l’abattage de plus de 100 000 hectares de forêts dans ces réserves naturelles. La création des immenses lagunes artificielles nécessaires à la rétention d'eau forcerait l’expulsion des populations autochtones et des communautés paysannes riveraines, en raison de la submersion des terres. Le cycle de l’eau de cet immense territoire, la biodiversité et la vie des communautés locales changeraient radicalement. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf- [article]De l’Asie à l’Afrique : l’expansion tentaculaire des plantations de palmiers à huile épuise les ressources en eau des communautés KRuHA (Koalisi Rakyat untuk Hak Atas air) - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 37-41
Aucune autre culture n’a connu une croissance mondiale plus rapide que le palmier à huile au cours de la dernière décennie. Cette expansion presque incontrôlable laisse derrière elle un cortège de destructions et de conflits autour des immenses étendues de plantations qui s’étendent de l’Asie du Sud-Est à l’Afrique occidentale et centrale. Cette monoculture absorbe des hectares de terres arables, des forêts tropicales vierges, des territoires forestiers autochtones et détruit la biodiversité. À mesure que les entreprises accaparent des terres communautaires, elles s’emparent également de leurs ressources en eau, vitale mais de plus en plus rare, dans le contexte de la crise climatique. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdfExemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 13816 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 13834 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible N°37 - septembre 2022 - Lutte contre la malbouffe : Quand la Suisse mange dans la main de Nestlé (Bulletin de PUBLIC EYE - LE MAGAZINE) / Ariane BAHRI
[n° ou bulletin]
Titre : N°37 - septembre 2022 - Lutte contre la malbouffe : Quand la Suisse mange dans la main de Nestlé Type de document : texte imprimé Auteurs : Ariane BAHRI, Coordinateur ; Romeo REGENASS, Coordinateur Année de publication : 2022 Importance : 44 P. Note générale : Dossier comprenant :
* Quand la Suisse fait du lobbying pour Nestlé (Vevey et Berne, Suisse ; Mexico, Mexique ; Lima, Pérou ; Quito, Équateur), p. 4
* Rabais secrets au profit de la pharma (Berne, Suisse), p. 21
* La Suisse – poids lourd du négoce du charbon russe (Zoug, Genève et Lugano, Suisse), p. 32
* Des legs pour des projets de plus grande envergure (Lausanne, Suisse), p. 38.
Encarts, photographies, documents, étiquetage Nutri-Score, étiquettes d'avertissement mexicaines, liens sitographiques.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Alimentation ; Consommation ; Enfant ; Industrie agroalimentaire ; Multinationale ; Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) ; Santé
Thésaurus Géographique
Mexique ; SuisseRésumé : Le Mexique est le cinquième plus gros marché de la multinationale suisse Nestlé. Or Le pays lutte depuis des années contre les conséquences de la malbouffe : les trois quarts de la population sont en surpoids. Le gouvernement mexicain a décidé de réagir en imposant des étiquettes d’avertissement sur les produits contenant trop d’ingrédients malsains et en limitant leur promotion auprès des enfants. Les données récupérées par Public Eye ont pu montrer que ces mesures concernaient aussi des produits Nestlé (qui rapportent à la multinationale un confortable chiffre d'affaires annuel). Nestlé, qui n’a pas apprécié que le gouvernement mexicain freine son expansion commerciale, a fait pression pour empêcher l'entrée en vigueur de la loi. Type de contenu : essai, réflexion, analyse En ligne : https://www.publiceye.ch/fileadmin/doc/Magazin/2209_PublicEye_Magazin_37_F_72dpi [...] Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=27696 [n° ou bulletin]Exemplaires (4)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 54767 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 49809 140 autres textes imprimés 54 - CLID (Nancy) Disponible CRDTM 9746 CD59 PE 037 autres textes imprimés 59 - CRDTM (Lille) Disponible 19634 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Pérou : Contre la dévastation du territoire et des droits autochtones par les compagnies pétrolières, le sens des rivières - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 20-26
Les communautés autochtones touchées par la pollution de l’industrie pétrolière perdent également leur accès vital à l’eau. L’État péruvien ne respecte pas ses propres législations concernant le droit à l'eau et n'engage aucun moyen contre la violation de ce droit (selon les statistiques officielles, 54 % de la population autochtone amazonienne n’a pas accès à l’eau). Dans le nord de l’Amazonie péruvienne, une centaine de communautés autochtones et leurs fédérations sont engagées depuis onze ans dans une lutte unie, constante et coordonnée pour la défense de leurs territoires et de leurs rivières contre les activités pétrolières (lots pétroliers et oléoduc Norperuano qui traverse le nord de l’Amazonie et les montagnes andines). https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf
[article]
Titre : Pérou : Contre la dévastation du territoire et des droits autochtones par les compagnies pétrolières, le sens des rivières Type de document : document électronique Auteurs : Renato PITA ZILBERT Année de publication : 2022 Article en page(s) : P. 20-26 Note générale : L'auteur est porte-parole de la plateforte PUINAMUDT (Pueblos Indígenas Amazónicos Unidos en Defensa de sus Territorios = Union des peuples autochtones amazoniens pour la défense de leurs territoires). Notes bibliographiques avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Accès à l'eau ; Droit des peuples ; Industrie extractive ; Législation ; Pétrole ; Peuple autochtone ; Politique économique ; Pollution
Thésaurus Géographique
Pérou ; AmazonieRésumé : Les communautés autochtones touchées par la pollution de l’industrie pétrolière perdent également leur accès vital à l’eau. L’État péruvien ne respecte pas ses propres législations concernant le droit à l'eau et n'engage aucun moyen contre la violation de ce droit (selon les statistiques officielles, 54 % de la population autochtone amazonienne n’a pas accès à l’eau). Dans le nord de l’Amazonie péruvienne, une centaine de communautés autochtones et leurs fédérations sont engagées depuis onze ans dans une lutte unie, constante et coordonnée pour la défense de leurs territoires et de leurs rivières contre les activités pétrolières (lots pétroliers et oléoduc Norperuano qui traverse le nord de l’Amazonie et les montagnes andines). En ligne : https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82825
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°262 (septembre 2022) . - P. 20-26[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 13816 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 13834 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Plantations de palmiers à huile et accaparement de l’eau : Côte-d’Ivoire et Gabon - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 14-19
La production industrielle d’huile de palme en Côte d'Ivoire et au Gabon est gérée par cinq multinationales qui contrôlent environ 67 % de la superficie des plantations industrielles de palmiers à huile, dont les concessions ont été financées par des investissements étrangers et dont l'expansion est en progression constante. Les plantations accaparent de vastes étendues de terre et ont de nombreux impacts socio-environnementaux sur les populations et les territoires autochtones. La terre et l’eau sont interdépendantes et, dans ces régions boisées, la crise de l’eau n’existerait pas si les entreprises n’avaient pas accaparé les terres des populations locales. La raréfaction de l’eau pour les communautés qui vivent dans et autour des plantations industrielles de palmiers à huile est alarmante et semble inexorable. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf
[article]
Titre : Plantations de palmiers à huile et accaparement de l’eau : Côte-d’Ivoire et Gabon Type de document : document électronique Auteurs : WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales) Année de publication : 2022 Article en page(s) : P. 14-19 Note générale : Notes bibliographiques avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Accaparement de terres ; Accès à l'eau ; Agriculture intensive ; Déforestation ; Droit des peuples ; Huile et oléagineux ; Multinationale ; Peuple autochtone
Thésaurus Géographique
Côte d'Ivoire ; GabonRésumé : La production industrielle d’huile de palme en Côte d'Ivoire et au Gabon est gérée par cinq multinationales qui contrôlent environ 67 % de la superficie des plantations industrielles de palmiers à huile, dont les concessions ont été financées par des investissements étrangers et dont l'expansion est en progression constante. Les plantations accaparent de vastes étendues de terre et ont de nombreux impacts socio-environnementaux sur les populations et les territoires autochtones. La terre et l’eau sont interdépendantes et, dans ces régions boisées, la crise de l’eau n’existerait pas si les entreprises n’avaient pas accaparé les terres des populations locales. La raréfaction de l’eau pour les communautés qui vivent dans et autour des plantations industrielles de palmiers à huile est alarmante et semble inexorable. En ligne : https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82824
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°262 (septembre 2022) . - P. 14-19[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 13816 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 13834 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]"Sans eau, il n’y a pas de vie" : Les rivières de l’Amazonie bolivienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 32-35
En Amazonie bolivienne, comme un "sang de la terre", la rivière Beni traverse le parc national Madidi, l’une des zones les plus riches en biodiversité de la planète, et la réserve Pilón Lajas. Or la rivière Beni est menacée par des projets de construction de méga barrages, en particulier Chepete et Bala, qui inonderaient une superficie plus grande que celle de La Paz, la capitale. Des études d’impact ont estimé que la construction des barrages, des routes et des lignes de transport d’électricité nécessiterait l’abattage de plus de 100 000 hectares de forêts dans ces réserves naturelles. La création des immenses lagunes artificielles nécessaires à la rétention d'eau forcerait l’expulsion des populations autochtones et des communautés paysannes riveraines, en raison de la submersion des terres. Le cycle de l’eau de cet immense territoire, la biodiversité et la vie des communautés locales changeraient radicalement. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf
Permalink[article]Quand la Chine exécute ses prisonniers d’opinion pour alimenter le trafic d’organes KHAN, Aliya - In : THE CONVERSATION, 18 août 2022 (18/08/2022), 18/08/2022,
La greffe d’organes sauve des millions de vies à travers le monde. Cependant, l’offre limitée de donneur·ses associée à une demande massive de greffes a créé une pénurie, qui alimente une industrie mondiale du trafic d’organes, exploitant les personnes les plus pauvres, parfois considérées comme de simples "sources". Bien que cette pratique existe dans de nombreux pays, la situation en Chine est particulièrement préoccupante. En effet, la Chine est le seul pays au monde à organiser le trafic d’organes à une échelle industrielle, en prélevant des organes sur des prisonniers d’opinion exécutés. Cette pratique est connue sous le nom de prélèvement forcé d’organes. https://theconversation.com/quand-la-chine-execute-ses-prisonniers-dopinion-pour-alimenter-le-trafic-dorganes-188238
PermalinkN°59 - juillet 2022 - Intervenir sur les biocarburants et sur le stock OMC de riz du Japon pour stabiliser les prix alimentaires mondiaux (Bulletin de PERSPECTIVE) / Franck GALTIER
Permalink[article]Rivers: holy waters - In : NEW INTERNATIONALIST, July-August 2022 (01/07/2022), N°538,
La sanctification des eaux fluviales, en particulier du Gange, est profondément inscrite dans la spiritualité hindoue. Or les rivières sont également indispensables à l'irrigation, à la fertilité des plaines alluviales et la fourniture d'eau potable. La conjonction de ces multiples facteurs impliquant des activités humaines conduit à l'assèchement des artères vitales de l'Inde que sont les fleuves. Le bassin du Gange, qui draine toutes les eaux fluviales sur une longueur de 2 500 km, depuis l'Himalaya jusqu'au golfe du Bengale, est l'endroit le plus densément peuplé au monde. Or le Gange fait face à une dégradation préoccupante : série de barrages qui coupent son flux, agriculture intensive qui surexploite ses eaux profondes et assèche ses rives, pollution chronique de ses eaux par les effluents chimiques, cendres rituelles et milliers de corps humains à demi brûlés. https://newint.org/features/2022/06/08/big-story-rivers-holy-waters-dams
Permalink[article]L'eau de l'or : à l'heure des éthiques de l'environnement - In : REVUE INTERNATIONALE DES ETUDES DU DEVELOPPEMENT, 2022-2 (15/06/2022), N°249, P. 121-146
Les activités d'orpaillage consomment beaucoup d'eau aux dépens des besoins des populations locales. A partir d'une comparaison entre divers conflits opposant communautés villageoises et entreprises aurifères (en Amérique latine et en Afrique de l'Ouest), l'article soutient que l'analyse du statut du couple eau/or dans les problématiques éthiques actuelles conduit à reconnaître les droits de certains éléments de la Nature. Conférer une personnalité morale aux rivières, aux montagnes ou aux forêts est une option qui jouit d'une attractivité grandissante.
Permalink[article]Somalia: Snapshots from a drought destroying lives - In : PERSPECTIVES, June 3, 2022 (03/06/2022), 03/06/2022,
En Somalie, le pire épisode de sécheresse jamais enregistré depuis des décennies continue de faire des ravages, plongeant plus de huit millions de personnes en situation d'urgence humanitaire, face au manque d'eau, aux restrictions alimentaires et à la perte de revenus vitaux. Le pays affronte une crise inédite de déplacement massif de population : 900 000 personnes ont dû fuir leur maison en 2021 et déjà plus de 525 000 en 2022. Leurs conditions de vie, en tant que déplacé·es internes dans des zones urbaines pauvres, sont déplorables : selon les enquêteurs, plus de 213 000 personnes sont en situation de famine, tandis que les conséquences sanitaires dues au manque d'eau et de nourriture touchent des millions de Somalien·nes. La ville de Baidoa, située à 250 km à l'ouest de la capitale Mogadiscio, est l'une des principales destinations des personnes déplacées. Les conditions de vie et d'hygiène étaient déjà précaires dans cette ville surpeuplée mais elles s'aggravent avec les arrivées massives de réfugié·es fuyant la sécheresse et une mort certaine. https://www.nrc.no/perspectives/2022/snapshots-from-a-drought/
Permalink[article]Afrique AAS (African academy of sciences) - In : ALTERNATIVES SUD, 2e trimestre 2022 (01/06/2022), VOL. 29-2022/2, P. 137-172
Les régimes de propriété intellectuelle des pays africains ont été façonnés par le passé colonial. D'où aujourd'hui encore, leur caractère inéquitable. La pandémie de covid-19 a mis en évidence les défaillances des systèmes africains de santé et l'urgence d'y remédier, en investissant notamment dans la recherche et l'innovation. Les défis sont de taille, mais la crise pourrait être un élément déclencheur pour de nouvelles politiques de santé.
Permalink[article]Amérique latine O'HIGGINS, Céleste ; MARTY, Jeremias - In : ALTERNATIVES SUD, 2e trimestre 2022 (01/06/2022), VOL. 29-2022/2, P. 80-102
Les inégalités relatives à la santé constituent un problème structurel en Amérique latine. Cela se traduit par un accès différencié aux services et aux ressources, en fonction des déterminants sociaux. La pandémie du coronavirus n'a fait qu'accentuer et exposer le pire visage de cette situation qui caractérise depuis longtemps ces pays parmi lesquels, cependant, Cuba fait figure d'exception. Le système de santé cubain, nationalisé et centralisé à des fins égalitaires, au lendemain de la révolution de 1959, affiche malgré certaines limites, parmi les meilleurs indicateurs sanitaires au monde. Il a très bien encaissé le choc de la pandémie. Combinée aux avancées technologiques des puissances capitalistes, sa généralisation à l'échelle de la planète permettrait d'atteindre des résultats jamais vus en matière de santé.
Permalink[article]Asie GRAIN (Genetic resources action international) ; GUTTAL, Shalmali - In : ALTERNATIVES SUD, 2e trimestre 2022 (01/06/2022), VOL. 29-2022/2, P. 103-136
En Asie, les régimes autoritaires ont profité de la pandémie pour asseoir davantage leur pouvoir. Les mesures prises, en raison des politiques néolibérales de ces dernières décennies ont aggravé la pauvreté des classes populaires. Le gouvernement actuel compte sur les technologies numériques et d'identification biométrique pour organiser et contrôler l'accès à la santé. Les pandémies touchent également les élevages. La peste porcine en est un bon exemple, les solutions préconisées pénalisent les petites exploitations au profit des gros producteurs de viande.
Permalink[article]Inégalités sanitaires - In : ALTERNATIVES SUD, 2e trimestre 2022 (01/06/2022), VOL. 29-2022/2, P. 7-22
Malgré des progrès indéniables, l'accès à la santé est encore loin d'être réalisé dans les pays et les populations les plus pauvres de la planète. La pandémie du Covid révèle cruellement cette injustice fondamentale. En cause, un manque évident de personnel et de moyens sanitaires, mais aussi une vision trop "humanitaire" de la santé qui en ignore les déterminants sociaux, politiques et économiques.
Permalink[article]Panser la santé mondiale - In : ALTERNATIVES SUD, 2e trimestre 2022 (01/06/2022), VOL. 29-2022/2, 174 P.
La crise du Covid a rappelé l'importance et la fragilité des systèmes sanitaires nationaux et internationaux. Elle a également mis en lumière les profondes inégalités mondiales en la matière. Si l'on suit l'OMS en définissant la santé non pas seulement comme l'absence de maladie, mais comme un état de complet bien-être physique, mental et social, alors les fractures entre pays, mais aussi entre classes, genres et identités ethno-raciales apparaissent encore plus abyssales.
Permalink[article]Points de vue du Sud VELASQUEZ, German ; GENCIANOS, Geneviève ; ALOUDAT, Tammam - In : ALTERNATIVES SUD, 2e trimestre 2022 (01/06/2022), VOL. 29-2022/2, P. 23-80
Après un tour d'horizon des inégalités sanitaires mondiales, les conclusions sont assez pessimistes quant aux politiques de santé dans les pays pauvres. La pandémie de Covid a révélé les lourdes insuffisances des systèmes de santé locaux et la relative impréparation de l'OMS face aux urgences. De nouvelles négociations devraient être engagées pour réformer une organisation mondiale de la santé encore fortement marquée par la mentalité coloniale.
Permalink[article]Irrigation : l’Inde en quête d’une « révolution bleue » SELLES, Adrien - In : THE CONVERSATION, 26 mai 2022 (26/05/2022), 26/05/2022,
La problématique de l’eau est centrale en Inde, pays de 1,3 milliard d’habitants, où l’on cherche toujours des solutions pour pallier les pénuries en eau. Dès les années 1960, avec la "révolution verte", le deuxième pays le plus peuplé au monde a engagé une politique originale d’irrigation par les eaux souterraines, qui ont peu à peu pris le pas sur les eaux de surface, en présentant le double avantage d'être pompées près du lieu d’utilisation et d'être moins sensibles aux aléas climatiques. Faciliter l’accès à cette ressource en eau est donc devenu un outil de développement rural et de lutte contre la pauvreté, qui a conduit à une hyper-exploitation décentralisée, aggravée par la baisse de l’infiltration des eaux de pluie pendant la mousson, dans un contexte de changement climatique et de pression démographique grandissante. Les conséquences de la baisse du niveau des nappes sont non seulement environnementales mais également sociales et économiques car elles posent des problèmes d'équité entre petits producteurs dont le puits est asséché et gros exploitants qui peuvent acheter de l'eau. Cette gestion, qui a donné satisfaction pendant longtemps, ne répond plus à une demande agricole et alimentaire en pleine explosion, ce qui oblige l'État indien à repenser sa politique de l’eau et engager une "révolution bleue". https://theconversation.com/irrigation-linde-en-quete-dune-revolution-bleue-180732
PermalinkN°58 - mai 2022 - Diversification des cultures et systèmes alimentaires durables (Bulletin de PERSPECTIVE) / Eric MALEZIEUX
Permalink[article]Quel effet de la gestion du président Bolsonaro sur la mortalité due au Covid-19 au Brésil ? RAZAFINDRAKOTO, Mireille - In : THE CONVERSATION, 12 mai 2022 (12/05/2022), 12/05/2022,
Le Brésil fait partie des trois pays, avec les États-Unis et l’Inde, les plus affectés par la pandémie de Covid-19. À côté des éléments de vulnérabilité socio-économique communs avec d’autres pays, le Brésil se démarque par l'attitude négationniste et le rôle néfaste de son président, Jair Bolsonaro, face à la crise sanitaire, qui a entravé la mise en place d’une stratégie efficace de lutte contre la pandémie. Les résultats de l'enquête géographique confirment que le coronavirus a fait plus de ravages dans les municipalités les plus favorables au président Bolsonaro, ce qui est d'autant plus paradoxal que les municipalités bolsonaristes ont été plus épargnées par la pandémie de Covid-19, du fait qu’elles sont plus "blanches, éduquées et riches". Cet "effet Bolsonaro" est dû au discours de déni du président, qui a induit ses partisan·es à adopter des comportements à risque, avec pour conséquence directe d’accroître la probabilité d’infection de l’ensemble de la population qui les côtoie. https://theconversation.com/quel-effet-de-la-gestion-du-president-bolsonaro-sur-la-mortalite-due-au-covid-19-au-bresil-182085
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