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N°269 - février 2024 - En Amazonie, des luttes communautaires contre des menaces anciennes et nouvelles (Bulletin de MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES)
[n° ou bulletin]
Titre : N°269 - février 2024 - En Amazonie, des luttes communautaires contre des menaces anciennes et nouvelles Type de document : document électronique Année de publication : 2024 Importance : 49 P. Format : fichier pdf Note générale : Dossier comprenant 8 articles :
* Notre opinion : Sommet de l'Amazonie : Extractivisme et violence au nom de la « bioéconomie » et de la « durabilité », p. 3
* Comment différentes formes d'extractivisme « vert » provoquent la destruction de la forêt amazonienne, p. 6
* La lutte pour la terre en Amazonie brésilienne contre les sociétés de palmiers à huile et les sociétés minières, p. 14
* Les incendies et les commerces agricoles, moteurs de la déforestation dans l’Amazonie bolivienne, p. 22
* Pérou : Résistance et organisation communautaire pour la défense de la « selva », p. 28
* Le Yasuní : Les enjeux d'une victoire, p. 34
* Colombie : la « transition énergétique » menace le bassin nord-occidental d’Amazonie, p. 37
* Les contradictions de la conservation : le territoire du peuple Ka’apor dans l’Amazonie brésilienne, p. 43.
Notes, liens sitographiques, recommandations.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Déforestation ; Développement durable ; Extractivisme ; Économie verte ; Industrie extractive ; Lutte populaire ; Protection de l'environnement ; Transition énergétique ; Conférence
Thésaurus Géographique
Amazonie ; Bolivie ; Brésil ; Colombie ; Equateur ; Guyane ; Suriname ; VenezuelaRésumé : En août 2023, la ville brésilienne de Belém a accueilli le Sommet de l'Amazonie, qui a réuni les présidents du Brésil, de la Colombie, du Pérou, de la Bolivie, de l'Équateur, du Venezuela, de la Guyane et du Suriname, pour discuter, entre autres sujets, de la lutte contre la déforestation. Le Sommet a abouti à la Déclaration de Belém, qui spécifie deux lignes d'action : le développement durable et la protection complète (ou la préservation) de l'Amazonie. Or la réalité de la région montre que l'extraction minière, pétrolière, forestière et agro-industrielle, ainsi que les grandes centrales hydroélectriques et les infrastructures de transport, liées au modèle d'extractivisme industriel, sont les causes notoires de la déforestation. La Déclaration de Belém ne mentionne pas ces causes ni les impacts sur l'environnement et les territoires des peuples autochtones. Au prétexte fallacieux du développement durable ou de la conservation de la nature, les gouvernements de la région amazonienne continuent d'encourager l'extractivisme. Type de contenu : témoignage ; expérience, entretien En ligne : https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=29433 [n° ou bulletin]Contient
- [article]Comment différentes formes d'extractivisme « vert » provoquent la destruction de la forêt amazonienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 6-13
L'Amazonie est l'une des dernières frontières de la résistance à l'expansion capitaliste, à travers ses mouvements de lutte populaire et par la présence des derniers peuples autochtones de la planète vivant en isolement volontaire. En Amazonie, la moitié de la déforestation à grande échelle est due à quatre activités : l'exploitation minière, l'exploitation forestière, le pâturage du bétail et l'agrobusiness des monocultures (soja, maïs, riz, palmier à huile et canne à sucre). Mais aujourd'hui différentes formes d'extractivisme "vert" envahissent de plus en plus ces territoires, notamment avec plusieurs projets d'extraction pétrolière, au prétexte de financer la transition énergétique, mais aussi avec la construction de grands barrages hydroélectriques, censés produire une énergie verte et renouvelable sans émissions de CO2. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf- [article]La lutte pour la terre en Amazonie brésilienne contre les sociétés de palmiers à huile et les sociétés minières - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 14-21
Dans la région de Vale do Acará, dans l'État du Pará au Brésil, les communautés autochtones de Tembé, Turiwara, Quilombola et paysannes luttent pour récupérer une partie de leurs terres ancestrales. Si, dans le passé, les colonisateurs ont envahi leurs terres avec des plantations de canne à sucre et de tabac, ce sont aujourd'hui des monocultures de palmiers à huile et d'extraction de minerais qui ont conquis les territoires et sont responsables de la déforestation, avec l'autorisation du gouvernement brésilien. En 2021, les communautés de Tembé et de Quilombola ont engagé la lutte pour reprendre leurs terres, en créant le Mouvement de résistance IRQ (Indigène, Riverain et Quilombola). Mais ces communautés sont confrontées à la violence de divers groupes armés, y compris la police d'État, les gardes de sécurité et les milices privées, qui les accusent d'entraver le développement économique de la région. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf- [article]Les incendies et les commerces agricoles, moteurs de la déforestation dans l’Amazonie bolivienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 22-27
La déforestation du territoire amazonien bolivien et les incendies augmentent significativement depuis plusieurs années, à cause de l’expansion des plantations de soja ou d’huile de palme, de l’industrie minière et de la construction de grands barrages, qui accaparent les espaces vitaux des communautés autochtones et paysannes. Fin 2018, les populations se sont organisées au sein d’une coordination, la CONTIOCAP, afin de défendre leurs territoires et le droit à une vie digne, dans un contexte toujours plus hostile en raison des politiques extractivistes promues par le gouvernement bolivien et des travaux d’infrastructures nécessaires pour transformer et déplacer les marchandises produites et les matériaux de construction. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf- [article]Colombie : la « transition énergétique » menace le bassin nord-occidental d’Amazonie - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 37-42
Mocoa se situe entre les montagnes andines et l’Amazonie colombienne, au milieu d’un des bassins hydriques les plus importants au nord-ouest de l'Amazonie, territoire où cohabitent des communautés autochtones afro-descendantes et des familles paysannes. Mais la ville se situe également à 10 km d'un site potentiel d'exploitation minière de cuivre, dont la demande mondiale est exponentielle pour les projets de "décarbonation" et de transition énergétique. La projection du rapport de l'organisme de surveillance INGEOMINAS sur le potentiel minéral de Mocoa s’inquiète de la haute fragilité environnementale du site qui implique de nombreux risques : l’éventail hydrique et la géo-morphologie jeune du sol traversé par des failles géologiques en fait une zone particulièrement encline aux impacts du changement climatique, sans oublier la menace de déplacement des populations vivant en périphérie de la ville. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf- [article]Les contradictions de la conservation : le territoire du peuple Ka’apor dans l’Amazonie brésilienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 43-47
Les Ka’apor sont un peuple autochtone qui vit dans l’Alto Turiacu, au nord-est de Maranhão, au Brésil. Il s’agit du territoire autochtone le plus grand de l’Amazonie orientale et de la portion de forêt préservée la plus importante de la région. C’est justement dans ces localités de choix que les sociétés de conservation étrangères, des ONG du Nord, se sont installées pour proposer des projets REDD. Or ces projets engendrent des conflits de territoire et suscitent le rejet d’une partie de la communauté locale qui s’organise pour leur résister. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdfExemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 11241 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 20459 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Colombie : la « transition énergétique » menace le bassin nord-occidental d’Amazonie - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 37-42
Mocoa se situe entre les montagnes andines et l’Amazonie colombienne, au milieu d’un des bassins hydriques les plus importants au nord-ouest de l'Amazonie, territoire où cohabitent des communautés autochtones afro-descendantes et des familles paysannes. Mais la ville se situe également à 10 km d'un site potentiel d'exploitation minière de cuivre, dont la demande mondiale est exponentielle pour les projets de "décarbonation" et de transition énergétique. La projection du rapport de l'organisme de surveillance INGEOMINAS sur le potentiel minéral de Mocoa s’inquiète de la haute fragilité environnementale du site qui implique de nombreux risques : l’éventail hydrique et la géo-morphologie jeune du sol traversé par des failles géologiques en fait une zone particulièrement encline aux impacts du changement climatique, sans oublier la menace de déplacement des populations vivant en périphérie de la ville. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf
[article]
Titre : Colombie : la « transition énergétique » menace le bassin nord-occidental d’Amazonie Type de document : document électronique Auteurs : Constanza del Pilar CARVAJAL VARGAS Année de publication : 2024 Article en page(s) : P. 37-42 Note générale : Un tableau, notes avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Changement climatique ; Cuivre ; Déséquilibre écologique ; Environnement ; Géographie ; Droit des peuples ; Industrie extractive ; Peuple autochtone ; Projet ; Transition énergétique
Thésaurus Géographique
Amazonie ; ColombieRésumé : Mocoa se situe entre les montagnes andines et l’Amazonie colombienne, au milieu d’un des bassins hydriques les plus importants au nord-ouest de l'Amazonie, territoire où cohabitent des communautés autochtones afro-descendantes et des familles paysannes. Mais la ville se situe également à 10 km d'un site potentiel d'exploitation minière de cuivre, dont la demande mondiale est exponentielle pour les projets de "décarbonation" et de transition énergétique. La projection du rapport de l'organisme de surveillance INGEOMINAS sur le potentiel minéral de Mocoa s’inquiète de la haute fragilité environnementale du site qui implique de nombreux risques : l’éventail hydrique et la géo-morphologie jeune du sol traversé par des failles géologiques en fait une zone particulièrement encline aux impacts du changement climatique, sans oublier la menace de déplacement des populations vivant en périphérie de la ville. En ligne : https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84814
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°269 (février 2024) . - P. 37-42[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 11241 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 20459 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Comment différentes formes d'extractivisme « vert » provoquent la destruction de la forêt amazonienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 6-13
L'Amazonie est l'une des dernières frontières de la résistance à l'expansion capitaliste, à travers ses mouvements de lutte populaire et par la présence des derniers peuples autochtones de la planète vivant en isolement volontaire. En Amazonie, la moitié de la déforestation à grande échelle est due à quatre activités : l'exploitation minière, l'exploitation forestière, le pâturage du bétail et l'agrobusiness des monocultures (soja, maïs, riz, palmier à huile et canne à sucre). Mais aujourd'hui différentes formes d'extractivisme "vert" envahissent de plus en plus ces territoires, notamment avec plusieurs projets d'extraction pétrolière, au prétexte de financer la transition énergétique, mais aussi avec la construction de grands barrages hydroélectriques, censés produire une énergie verte et renouvelable sans émissions de CO2. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf
[article]
Titre : Comment différentes formes d'extractivisme « vert » provoquent la destruction de la forêt amazonienne Type de document : document électronique Auteurs : WRM (Mouvement mondial pour les forêts tropicales) Année de publication : 2024 Article en page(s) : P. 6-13 Note générale : Notes avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Agriculture intensive ; Barrage ; Déforestation ; Économie verte ; Élevage ; Extractivisme ; Industrie extractive ; Pétrole
Thésaurus Géographique
AmazonieRésumé : L'Amazonie est l'une des dernières frontières de la résistance à l'expansion capitaliste, à travers ses mouvements de lutte populaire et par la présence des derniers peuples autochtones de la planète vivant en isolement volontaire. En Amazonie, la moitié de la déforestation à grande échelle est due à quatre activités : l'exploitation minière, l'exploitation forestière, le pâturage du bétail et l'agrobusiness des monocultures (soja, maïs, riz, palmier à huile et canne à sucre). Mais aujourd'hui différentes formes d'extractivisme "vert" envahissent de plus en plus ces territoires, notamment avec plusieurs projets d'extraction pétrolière, au prétexte de financer la transition énergétique, mais aussi avec la construction de grands barrages hydroélectriques, censés produire une énergie verte et renouvelable sans émissions de CO2. En ligne : https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84809
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°269 (février 2024) . - P. 6-13[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 11241 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 20459 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Les contradictions de la conservation : le territoire du peuple Ka’apor dans l’Amazonie brésilienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 43-47
Les Ka’apor sont un peuple autochtone qui vit dans l’Alto Turiacu, au nord-est de Maranhão, au Brésil. Il s’agit du territoire autochtone le plus grand de l’Amazonie orientale et de la portion de forêt préservée la plus importante de la région. C’est justement dans ces localités de choix que les sociétés de conservation étrangères, des ONG du Nord, se sont installées pour proposer des projets REDD. Or ces projets engendrent des conflits de territoire et suscitent le rejet d’une partie de la communauté locale qui s’organise pour leur résister. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf
[article]
Titre : Les contradictions de la conservation : le territoire du peuple Ka’apor dans l’Amazonie brésilienne Type de document : document électronique Année de publication : 2024 Article en page(s) : P. 43-47 Note générale : Fruit d'un entretien avec les membres du Conseil de Gestion Ka’apor Tuxa Ta Pame. Notes avec liens sitographiques. REDD : réduction des émissions de gaz à effet de serre dues à la déforestation et à la dégradation des forêts. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Accaparement de terres ; Droit des peuples ; ONG du Nord ; Peuple autochtone ; Projet ; Protection de l'environnement ; Réserve naturelle ; Résistance
Thésaurus Géographique
Amazonie ; BrésilRésumé : Les Ka’apor sont un peuple autochtone qui vit dans l’Alto Turiacu, au nord-est de Maranhão, au Brésil. Il s’agit du territoire autochtone le plus grand de l’Amazonie orientale et de la portion de forêt préservée la plus importante de la région. C’est justement dans ces localités de choix que les sociétés de conservation étrangères, des ONG du Nord, se sont installées pour proposer des projets REDD. Or ces projets engendrent des conflits de territoire et suscitent le rejet d’une partie de la communauté locale qui s’organise pour leur résister. Type de contenu : témoignage ; expérience, entretien En ligne : https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84815
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°269 (février 2024) . - P. 43-47[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 11241 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 20459 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Les incendies et les commerces agricoles, moteurs de la déforestation dans l’Amazonie bolivienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 22-27
La déforestation du territoire amazonien bolivien et les incendies augmentent significativement depuis plusieurs années, à cause de l’expansion des plantations de soja ou d’huile de palme, de l’industrie minière et de la construction de grands barrages, qui accaparent les espaces vitaux des communautés autochtones et paysannes. Fin 2018, les populations se sont organisées au sein d’une coordination, la CONTIOCAP, afin de défendre leurs territoires et le droit à une vie digne, dans un contexte toujours plus hostile en raison des politiques extractivistes promues par le gouvernement bolivien et des travaux d’infrastructures nécessaires pour transformer et déplacer les marchandises produites et les matériaux de construction. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf
[article]
Titre : Les incendies et les commerces agricoles, moteurs de la déforestation dans l’Amazonie bolivienne Type de document : document électronique Auteurs : Ruth ALIPAZ CUQUI, Personne interviewée Année de publication : 2024 Article en page(s) : P. 22-27 Note générale : Ruth Alipaz Cuqui est leader de la Nation Uchupiamona en Amazonie bolivienne et membre de la Coordination nationale de défense des territoires indigènes originaires paysans et des zones protégées (CONTIOCAP). Notes avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Accaparement de terres ; Agriculture intensive ; Barrage ; Déforestation ; Droit des peuples ; Extractivisme ; Industrie extractive ; Lutte populaire ; Peuple autochtone
Thésaurus Géographique
Amazonie ; BolivieRésumé : La déforestation du territoire amazonien bolivien et les incendies augmentent significativement depuis plusieurs années, à cause de l’expansion des plantations de soja ou d’huile de palme, de l’industrie minière et de la construction de grands barrages, qui accaparent les espaces vitaux des communautés autochtones et paysannes. Fin 2018, les populations se sont organisées au sein d’une coordination, la CONTIOCAP, afin de défendre leurs territoires et le droit à une vie digne, dans un contexte toujours plus hostile en raison des politiques extractivistes promues par le gouvernement bolivien et des travaux d’infrastructures nécessaires pour transformer et déplacer les marchandises produites et les matériaux de construction. Type de contenu : témoignage ; expérience, entretien En ligne : https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84811
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°269 (février 2024) . - P. 22-27[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 11241 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 20459 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]La lutte pour la terre en Amazonie brésilienne contre les sociétés de palmiers à huile et les sociétés minières - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 14-21
Dans la région de Vale do Acará, dans l'État du Pará au Brésil, les communautés autochtones de Tembé, Turiwara, Quilombola et paysannes luttent pour récupérer une partie de leurs terres ancestrales. Si, dans le passé, les colonisateurs ont envahi leurs terres avec des plantations de canne à sucre et de tabac, ce sont aujourd'hui des monocultures de palmiers à huile et d'extraction de minerais qui ont conquis les territoires et sont responsables de la déforestation, avec l'autorisation du gouvernement brésilien. En 2021, les communautés de Tembé et de Quilombola ont engagé la lutte pour reprendre leurs terres, en créant le Mouvement de résistance IRQ (Indigène, Riverain et Quilombola). Mais ces communautés sont confrontées à la violence de divers groupes armés, y compris la police d'État, les gardes de sécurité et les milices privées, qui les accusent d'entraver le développement économique de la région. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf
PermalinkN°268 - décembre 2023 - L’arnaque verte : oppression, conflits et résistance (Bulletin de MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES) / Joanna CABELLO
Permalink[article]Dossier : Planification, urbanisation et politiques publiques dans la région de Carajás - In : CONFINS, 2023/4 (01/12/2023), N°61,
Ce dossier rassemble différents articles ayant trait aux politiques publiques d'aménagement du territoire et d'urbanisation dans la région de Carajas, située dans l'État du Pará, en Amazonie brésilienne. L'objectif du premier article est de comprendre l'urbanisation et l'aménagement de l'Amazonie à partir des apports de Bertha Becker. Il analyse ce qui a soutenu, au cours des deux premières décennies du XXIe siècle, la croissance économique de la région amazonienne de Carajás, bien supérieure à celle des autres régions brésiliennes. Les autres articles présentent les potentialités de la géodiversité, en particulier sa consolidation par les politiques publiques prenant en compte l’importance du géotourisme et le développement territorial et socio-environnemental de la région de Carajás. Le sud-est du Pará fait partie d’un territoire ethnique et environnemental complexe en Amazonie orientale, avec un long processus d’occupation par les peuples autochtones et des populations migrantes. la socio-biodiversité (reflet de l'interaction des populations avec l'environnement) constitue une alternative pour le développement durable de la région, conciliant conservation de l'environnement, génération de revenus et respect de la culture traditionnelle, qui doit être soutenue par une législation appropriée. https://journals.openedition.org/confins/55368
Permalink[article]Quant aux projets carbone en Amazonie : comment justifier des contrats qui durent une génération ? - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, décembre 2023 (01/12/2023), N°268, P. 17-20
Les projets de compensation de carbone mettent en péril l'agriculture itinérante, la coupe d'arbres pour les besoins essentiels et d'autres pratiques millénaires des peuples autochtones et des communautés traditionnelles de l'Amazonie. Les contrats de projets carbone sapent les stratégies locales de développement durable sans aucune considération pour les besoins des populations. L'article se penche sur les contrats abusifs pour la mise en place de projets REDD dans la région amazonienne du Brésil, en particulier sur la manière dont ils portent atteinte aux pratiques autochtones millénaires et à l'avenir des générations futures de ces communautés. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B268_FR.pdf
PermalinkN°61 - 2023/4 - La santé au Brésil (Bulletin de CONFINS) / Sébastien VELUT
Permalink[article]Sommet des Trois Bassins : que peut-on attendre d’une « OPEP des forêts » ? - In : THE CONVERSATION, 25 octobre 2023 (25/10/2023), 25/10/2023,
En octobre 2023 à Brazzaville (République du Congo), les pays des trois principaux bassins de forêts primaires de la planète (forêt Amazonienne, bassin du Congo, forêt de Bornéo et du Mékong) ont tenu une réunion surnommée "OPEP des forêts". Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, le président brésilien Lula, et bon nombre d’élu·es, scientifiques et représentant·es des peuples autochtones des trois continents ont fait le déplacement, dans l'objectif affiché de créer une "Alliance mondiale des Trois Bassins". Ces bassins forestiers regroupent l’essentiel des forêts tropicales du monde, soit 80 % des poumons verts et trois quarts de la biodiversité mondiale, mais sont aussi les plus grands sites de déforestation. Cette alliance semble pertinente pour les pays concernés afin d'éviter une concurrence pour l’obtention des financements du Nord et d'empêcher les effets de fuite, mais aussi pour monétiser les mesures de protection des forêts. https://theconversation.com/sommet-des-trois-bassins-que-peut-on-attendre-dune-opep-des-forets-216396
PermalinkN°60 - 2023/3 - L'intelligence territoriale et son interface avec les politiques publiques (Bulletin de CONFINS) / Sébastien VELUT
Permalink[document électronique]En Amazonie, le travail communautaire comme moyen de lutte contre l’orpaillage Agencia Amazonia Real, - PARIS : AUTRES BRESILS, 2023/03/02,
L’exploitation minière en Amazonie détruit les rivières et cause des dommages aux populations piégées par l’extraction de l’or comme seule activité possible. Il faut consolider les productions communautaires en s’appuyant sur des organisations fortes qui sont le principal moyen pour contrer l’exploitation minière. C’est pourquoi il est important d’apporter une aide financière aux communautés autochtones pour éviter qu’elles se retrouvent dans le besoin afin de ne pas les rendre plus vulnérables à la cooptation.
Public :
https://www.autresbresils.net/En-Amazonie-le-travail-communautaire-comme-moyen-de-lutte-contre-l-orpaillage
Permalink[article]Déforestation au Brésil : la législation européenne peut-elle changer la donne ? - In : THE CONVERSATION, 2 janvier 2023 (02/01/2023), 02/01/2023,
En décembre 2022, le Parlement européen a édicté une nouvelle législation destinée à bannir de ses importations les produits issus de zones déforestées, ce qui constitue une avancée majeure contre la "déforestation importée". Toutefois, peut-on attendre des changements significatifs concernant la déforestation au Brésil, dont une grande partie, en particulier en Amazonie, est illégale, et que ses produits sont déjà interdits ? Selon de nombreuses ONG, le focus mis sur les forêts signifie que l’espace principalement concerné au Brésil est le biome amazonien. Or, s’il est attaqué par l'expansion agricole pour l’élevage bovin, cet espace ne constitue pas le cœur du système agricole intensif brésilien, qui se situe dans les savanes du Cerrado, transformées depuis quatre décennies en immenses parcelles agricoles, entraînant des conversions massives de végétation naturelle. https://theconversation.com/deforestation-au-bresil-la-legislation-europeenne-peut-elle-changer-la-donne-197072
Permalink[article]Brésil : bilan du mandat 2019-2022 - In : PROBLEMES D'AMERIQUE LATINE, 2022/1-2 (01/01/2023), N°119-120, 206 P.
Jair Messias Bolsonaro, élu président de la République fédérative du Brésil le 28 octobre 2018, a pris ces fonctions le 1er janvier 2019 pour un mandat de quatre ans qui s'achève le 31 décembre 2022. Il s'est porté candidat, pour un nouveau mandat, aux élections dont le premier tour a eu lieu le 28 octobre 2022. Les auteur·es des neuf articles ne connaissaient pas l'issue du second tour qui a porté au pouvoir Luis Inàcio "Lula" da Silva. Ce dossier, qui est l'élément principal de ce numéro double, couvre les aspects principaux de la période Bolsonaro : économie, relations internationales, politique intérieure, politique agricole et foncière en Amazonie.
Permalink[article]Brésil : bilan du mandat présidentiel 2019-2022 DORY, Daniel - In : PROBLEMES D'AMERIQUE LATINE, 2022/1-2 (01/01/2023), N°119-120, P. 9-12
Malgré leur ignorance de l'issue des élections présidentielles de 2022 au Brésil, les auteur·es des articles de ce dossier, tous spécialistes de l'étude de ce pays, peuvent dresser un bilan crédible de la politique du gouvernement Bolsonaro en matière économique et sociale : politique marquée par l'idéologie néolibérale, le retour à une économie extractiviste, la croissance des inégalités socio-spatiales, le mépris des risques environnementaux, en Amazonie, qu'ils menacent les peuples autochtones ou les équilibres planétaires.
Permalink[article]Entre Brésil et Guyane française (XVIIe-XIXe siècle), frontières ou confins ? - In : PROBLEMES D'AMERIQUE LATINE, 2022/1-2 (01/01/2023), N°119-120, P. 225-242
La détermination de la frontière entre l'état brésilien et la Guyane française fait partie de l'histoire coloniale du Brésil et de la France. Malgré l'adoption, en 1900, du fleuve Oyapock comme frontière officielle, la définition exacte de ces territoires reste en débat entre géographes et historiens.
Permalink[article]Illusions du carbone en Amazonie brésilienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, janvier 2023 (01/01/2023), N°264, P. 30-34
Les quatre projets REDD du programme de l'ONU, menés dans la municipalité de Portel, dans l'État du Pará en Amazonie brésilienne, ont été initialisés en 2008 par des multinationales étrangères et doivent s'achever en 2055. Cette initiative "écologique" vise à empêcher la déforestation et apporter des bénéfices à la population locale, en échange de crédits-carbone issus des émissions évitées, ce qui permet en fait aux entreprises extractives de continuer leurs activités polluantes grâce à la compensation carbone. Pour les investisseurs, il s'agit d'une possibilité supplémentaire d'accaparer la terre à leur profit au détriment des populations locales, par le biais d'une marchandise abstraite, le crédit-carbone. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_264_FR_0.pdf
Permalink[article]Ne pas faire, laisser faire, empêcher de faire : la politique du gouvernement Bolsonaro pour affaiblir les droits fonciers amérindiens - In : PROBLEMES D'AMERIQUE LATINE, 2022/1-2 (01/01/2023), N°119-120, P. 159-188
Affaiblir les droits fonciers des Amérindiens du Brésil a été une véritable obsession pour le président Bolsonaro et son équipe. Cette analyse des trois axes de la politique vis-à-vis des territoires possédés légalement par ces peuples autochtones montre que loin d'être des éléments isolés, tous les actes et faits qui la composent sont le reflet d'une stratégie élaborée.
Permalink[article]People, Problems, Processes - In : REVUE INTERNATIONALE DES ETUDES DU DEVELOPPEMENT, 2022-3 (15/10/2022), N°250, 195 P.
Ce dossier spécial propose une sélection en anglais de sept articles publiés en français dans la Revue internationale des Études de Développement entre 2017 et 2021. Ce choix offre aux lecteurs anglophones un échantillon de sa valeur scientifique et de sa portée pluridisciplinaire (sociologie, anthropologie, économie, géographie et sociologie politique). Les articles ont été sélectionnés selon trois axes essentiels : problèmes, processus et populations. Les problèmes sont constants dans le champ du développement ; les processus sont souvent négligés dans l'étude des projets de développement, or à l'heure des évaluations, on s'aperçoit de leur importance ; les populations sont à la fois cibles et acteurs du développement. L'émergence de la notion de genre, la prise en compte des minorités complexifient les problèmes. Les études de cas proposées dans ce numéro illustrent la diversité des champs d'analyse abordées dans ce numéro.
Permalink[article]Des capitales aux villages traditionnels : Les phases d’intériorisation de la Covid-19 en Amazonie brésilienne MASSATO HARAYAMA, Rui ; STOLL, Emilie - In : CONFINS, 2022/3 (01/10/2022), N°56,
Comprendre la dynamique de transmission de Covid-19 est fondamental pour en limiter la propagation et engager les actions sanitaires adéquates, notamment dans les régions vulnérables, où les modes d’occupation du territoire informent sur les risques de contamination massive. Cet article analyse le processus de propagation de l’épidémie en Amazonie brésilienne, au cours des semaines épidémiologiques. Le travail de recherche permet de mettre à jour quatre phases, depuis l’arrivée du virus par voie aérienne dans les capitales de la région Nord, jusqu’aux premiers cas enregistrés à l’échelle micro-locale, dans les villages des communautés traditionnelles en basse Amazonie. Ces phases sont également présentées du point de vue des villageois·es et des autorités qui ont mis en œuvre les actions sanitaires. Les résultats montrent qu’il aurait été fondamental de prendre en compte les spécificités de l’environnement amazonien lors de l’élaboration des politiques nationales de santé, contrairement aux actions mal coordonnées dans l'urgence de l'épidémie. https://journals.openedition.org/confins/48303
PermalinkN°262 - septembre 2022 - Défendre l'eau, c'est défendre la terre et la vie (Bulletin de MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES) / Joanna CABELLO
Permalink[article]Pérou : Contre la dévastation du territoire et des droits autochtones par les compagnies pétrolières, le sens des rivières - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 20-26
Les communautés autochtones touchées par la pollution de l’industrie pétrolière perdent également leur accès vital à l’eau. L’État péruvien ne respecte pas ses propres législations concernant le droit à l'eau et n'engage aucun moyen contre la violation de ce droit (selon les statistiques officielles, 54 % de la population autochtone amazonienne n’a pas accès à l’eau). Dans le nord de l’Amazonie péruvienne, une centaine de communautés autochtones et leurs fédérations sont engagées depuis onze ans dans une lutte unie, constante et coordonnée pour la défense de leurs territoires et de leurs rivières contre les activités pétrolières (lots pétroliers et oléoduc Norperuano qui traverse le nord de l’Amazonie et les montagnes andines). https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf
Permalink[article]"Sans eau, il n’y a pas de vie" : Les rivières de l’Amazonie bolivienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, septembre 2022 (01/09/2022), N°262, P. 32-35
En Amazonie bolivienne, comme un "sang de la terre", la rivière Beni traverse le parc national Madidi, l’une des zones les plus riches en biodiversité de la planète, et la réserve Pilón Lajas. Or la rivière Beni est menacée par des projets de construction de méga barrages, en particulier Chepete et Bala, qui inonderaient une superficie plus grande que celle de La Paz, la capitale. Des études d’impact ont estimé que la construction des barrages, des routes et des lignes de transport d’électricité nécessiterait l’abattage de plus de 100 000 hectares de forêts dans ces réserves naturelles. La création des immenses lagunes artificielles nécessaires à la rétention d'eau forcerait l’expulsion des populations autochtones et des communautés paysannes riveraines, en raison de la submersion des terres. Le cycle de l’eau de cet immense territoire, la biodiversité et la vie des communautés locales changeraient radicalement. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin_262_FR.pdf
Permalink[article]The violence of Brazil's 'wildcat' gold mining YE'KUANA, Mauricio - In : NEW INTERNATIONALIST, September-October 2022 (01/09/2022), N°539,
Le chef autochtone brésilien Mauricio Ye'kuana œuvre à la protection des communautés yanomani et ye'kuana en Amazonie brésilienne. Le territoire des Yanomamis couvre une superficie de 9,6 millions d'hectares (équivalente au Portugal), dans l'État de Roraima, au nord du Brésil. Depuis les années 1980, l'orpaillage illégal est en plein essor, avec une croissance exponentielle et incontrôlée depuis l'an 2000. La pandémie de Covid-19 a généré une explosion de l'activité aurifère, en particulier des "mineurs sauvages" qui installent des petits campements en Amazonie, parfois indépendants mais de plus en plus sponsorisés par des hommes d'affaires, des politiciens véreux et des entreprises brésiliens. Rien qu'en 2021, la surface cumulée de forêt détruite par l'orpaillage illégal dépasse les 3 000 hectares. Dans un entretien avec Graeme Green, l'activiste Mauricio Ye’kuana livre son témoignage sur la lutte inégale et dangereuse des populations autochtones contre les orpailleurs pour protéger leur territoire. https://newint.org/features/2022/08/08/violence-of-Brazils-wildcat-gold-mining-mauricio-yekuana
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