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[article]Haïti, la fin d’un État - In : THE CONVERSATION, 27 mars 2024 (27/03/2024), 27/03/2024,
Haïti, première république noire du monde, apparaît à nouveau dans l’actualité sous les traits d’une société en proie à la violence. Depuis l'assassinat du président Jovenel Moïse le 7 juillet 2021 dans des conditions non élucidées, les bandes armées font régner la terreur, ce qui a contraint plus de 350 000 personnes à fuir leur domicile. Et, depuis le 11 mars 2024, le pays est sans autorité légale, à la suite de la démission forcée du Premier ministre Ariel Henry, sous la pression des gangs qui ont pris le contrôle de plus de 80 % du territoire. L'article analyse la triple faillite de l’État haïtien : faillite écologique (séismes et catastrophes naturelles à répétition, impact du réchauffement climatique sur le littoral, déforestation) ; faillite économique (taux de chômage de 60 %, insuffisance alimentaire et risque de famine dus à la fragmentation du tissu foncier après le démantèlement des grandes plantations coloniales) ; faillite politique (dictature des Duvalier, récurrence des coups d'État militaires qui a conduit à l'abolition de l'armée et le contrôle du territoire par les gangs). https://theconversation.com/ha-ti-la-fin-dun-etat-226365
[article]
Titre : Haïti, la fin d’un État Type de document : document électronique Auteurs : Jean-Marie THEODAT Année de publication : 2024 Note générale : Liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
POLITIQUE ; Catastrophe naturelle ; Crise économique ; Crise politique ; État ; Famine ; Gouvernance ; Mafia ; Violence
Thésaurus Géographique
HaïtiRésumé : Haïti, première république noire du monde, apparaît à nouveau dans l’actualité sous les traits d’une société en proie à la violence. Depuis l'assassinat du président Jovenel Moïse le 7 juillet 2021 dans des conditions non élucidées, les bandes armées font régner la terreur, ce qui a contraint plus de 350 000 personnes à fuir leur domicile. Et, depuis le 11 mars 2024, le pays est sans autorité légale, à la suite de la démission forcée du Premier ministre Ariel Henry, sous la pression des gangs qui ont pris le contrôle de plus de 80 % du territoire. L'article analyse la triple faillite de l’État haïtien : faillite écologique (séismes et catastrophes naturelles à répétition, impact du réchauffement climatique sur le littoral, déforestation) ; faillite économique (taux de chômage de 60 %, insuffisance alimentaire et risque de famine dus à la fragmentation du tissu foncier après le démantèlement des grandes plantations coloniales) ; faillite politique (dictature des Duvalier, récurrence des coups d'État militaires qui a conduit à l'abolition de l'armée et le contrôle du territoire par les gangs). En ligne : https://theconversation.com/ha-ti-la-fin-dun-etat-226365 Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=85004
in THE CONVERSATION > 27/03/2024 (27 mars 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 18737 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 26853 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Au Mexique, comment une épidémie du caféier a accéléré la déforestation ÖKTEM, Berk - In : THE CONVERSATION, 21 mars 2024 (21/03/2024), 21/03/2024,
Au Mexique, comme dans les régions tropicales, l’extension des zones agricoles pour la caféiculture et la cacaoculture est la première cause de déforestation, ce qui a un impact sur le réchauffement climatique et représente une érosion irrémédiable de la biodiversité. La crise de la rouille du caféier au Mexique est une illustration de la vulnérabilité des systèmes agroforestiers et des conséquences environnementales des politiques agricoles. Dans une étude récente, les auteurs se sont penchés sur les conséquences de cette maladie causée par un champignon microscopique (Hemileia vastatrix) sur la déforestation au Mexique, qui a augmenté de 32 % par an entre 2012 et 2018, en particulier dans les zones où était pratiquée l’agroforesterie. Par ailleurs, la déforestation accrue est aussi la conséquence de la stratégie d'expansion sponsorisée par le gouvernement, qui repose sur le remplacement des caféiers traditionnels par des hybrides robustes à la rouille. https://theconversation.com/au-mexique-comment-une-epidemie-du-cafeier-a-accelere-la-deforestation-221374
[article]
Titre : Au Mexique, comment une épidémie du caféier a accéléré la déforestation Type de document : document électronique Auteurs : Isabelle CHORT ; Berk ÖKTEM Année de publication : 2024 Note générale : Carte, liens sitographiques, photographies. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Agriculture intensive ; Agroforesterie ; Café ; Déforestation ; Environnement ; Maladie ; Politique agricole
Thésaurus Géographique
MexiqueRésumé : Au Mexique, comme dans les régions tropicales, l’extension des zones agricoles pour la caféiculture et la cacaoculture est la première cause de déforestation, ce qui a un impact sur le réchauffement climatique et représente une érosion irrémédiable de la biodiversité. La crise de la rouille du caféier au Mexique est une illustration de la vulnérabilité des systèmes agroforestiers et des conséquences environnementales des politiques agricoles. Dans une étude récente, les auteurs se sont penchés sur les conséquences de cette maladie causée par un champignon microscopique (Hemileia vastatrix) sur la déforestation au Mexique, qui a augmenté de 32 % par an entre 2012 et 2018, en particulier dans les zones où était pratiquée l’agroforesterie. Par ailleurs, la déforestation accrue est aussi la conséquence de la stratégie d'expansion sponsorisée par le gouvernement, qui repose sur le remplacement des caféiers traditionnels par des hybrides robustes à la rouille. En ligne : https://theconversation.com/au-mexique-comment-une-epidemie-du-cafeier-a-acceler [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=85007
in THE CONVERSATION > 21/03/2024 (21 mars 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 19784 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 26418 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]La rose rouge, objet de la mondialisation : des serres kenyanes aux plateformes de Hollande - In : THE CONVERSATION, 12 février 2024 (12/02/2024), 12/02/2024,
La rose rouge est un marqueur de la mondialisation. Des serres de production kenyanes, les roses voyagent par avion cargo vers les Pays-Bas, puis elles transitent par la coopérative Royal Flora Holland à Aalsmeer, près de l’aéroport Amsterdam-Schipol, avant d'être chargées dans des camions réfrigérés qui sillonnent l’Europe jusqu'aux fleuristes. Dès les années 1970 est apparu un mouvement de délocalisation vers l’Afrique, pour s'émanciper des coûts croissants de main-d’œuvre et de chauffage en Europe et des réglementations phytosanitaires émergentes. Les hautes terres kenyanes sont alors apparues comme particulièrement attrayantes du fait de leur écosystème géoéconomique. Dans les années 2000-2005, les questions ont porté sur les conditions de travail et de rétribution des salarié·es, puis, dans les années 2005-2010, sur la surconsommation d’eau nécessaire aux rosiers et la pollution des rivières induite par les rejets. Dans les années 2010-2015 a été mise en cause l’empreinte carbone des fleurs, en raison du transport en avion cargo. Enfin, dans les années 2015-2020, ont été révélées les stratégies d’évitement fiscal par la localisation des profits aux Pays-Bas. Conscientes de la menace médiatique, les entreprises ont augmenté les salaires des ouvrier·ères, ont amélioré les conditions de travail et ont réduit leur empreinte écologique. Aujourd’hui, si les serres kenyanes emploient directement 100 000 personnes, au total 2 millions de personnes dépendent de la rose pour vivre. Mais des questions demeurent : dans quelle mesure ce développement économique du Kenya justifie-t-il le maintien d'une consommation déraisonnable en ces temps de changement climatique et de transition écologique ? Doit-on céder au chantage à l’emploi de cette filière ? https://theconversation.com/la-rose-rouge-objet-de-la-mondialisation-des-serres-kenyanes-aux-plateformes-de-hollande-223210
[article]
Titre : La rose rouge, objet de la mondialisation : des serres kenyanes aux plateformes de Hollande Type de document : document électronique Auteurs : Bernard CALAS Année de publication : 2024 Note générale : Photographies, liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Agriculture d'exportation ; Changement climatique ; Conditions de travail ; Emploi ; Empreinte écologique ; Filière ; Flore ; Mondialisation ; Salaire
Thésaurus Géographique
Kenya ; Europe ; Pays-BasRésumé : La rose rouge est un marqueur de la mondialisation. Des serres de production kenyanes, les roses voyagent par avion cargo vers les Pays-Bas, puis elles transitent par la coopérative Royal Flora Holland à Aalsmeer, près de l’aéroport Amsterdam-Schipol, avant d'être chargées dans des camions réfrigérés qui sillonnent l’Europe jusqu'aux fleuristes. Dès les années 1970 est apparu un mouvement de délocalisation vers l’Afrique, pour s'émanciper des coûts croissants de main-d’œuvre et de chauffage en Europe et des réglementations phytosanitaires émergentes. Les hautes terres kenyanes sont alors apparues comme particulièrement attrayantes du fait de leur écosystème géoéconomique. Dans les années 2000-2005, les questions ont porté sur les conditions de travail et de rétribution des salarié·es, puis, dans les années 2005-2010, sur la surconsommation d’eau nécessaire aux rosiers et la pollution des rivières induite par les rejets. Dans les années 2010-2015 a été mise en cause l’empreinte carbone des fleurs, en raison du transport en avion cargo. Enfin, dans les années 2015-2020, ont été révélées les stratégies d’évitement fiscal par la localisation des profits aux Pays-Bas. Conscientes de la menace médiatique, les entreprises ont augmenté les salaires des ouvrier·ères, ont amélioré les conditions de travail et ont réduit leur empreinte écologique. Aujourd’hui, si les serres kenyanes emploient directement 100 000 personnes, au total 2 millions de personnes dépendent de la rose pour vivre. Mais des questions demeurent : dans quelle mesure ce développement économique du Kenya justifie-t-il le maintien d'une consommation déraisonnable en ces temps de changement climatique et de transition écologique ? Doit-on céder au chantage à l’emploi de cette filière ? En ligne : https://theconversation.com/la-rose-rouge-objet-de-la-mondialisation-des-serres- [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84723
in THE CONVERSATION > 12/02/2024 (12 février 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 43433 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 45061 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Extrême pauvreté, l'éternelle urgence dans le Grand Sud malgache GONDARD-DELCROIX, Claire - In : THE CONVERSATION, 7 février 2024 (07/02/2024), 07/02/2024,
Le Sud malgache est l’une des régions les plus vulnérables d’Afrique subsaharienne. On estime que plus de 9 habitant·es sur 10 vivent sous le seuil d’extrême pauvreté. La population est confrontée à de nombreux risques (climatiques, sociaux, sécuritaires, sanitaires et économiques). Dans le Grand Sud malgache, les conditions agro-climatiques défavorables, en interaction avec l’enclavement géographique, politique et économique de la zone, expliquent sa vulnérabilité chronique. Depuis une trentaine d’années, les alertes des médias et des organisations humanitaires internationales sont récurrentes. Cet article s'appuie sur les principaux travaux (articles scientifiques et littérature grise) produits au cours des trente dernières années sur les projets de développement dans le sud de Madagascar, pour analyser l’échec de l'aide au développement dans la zone. https://theconversation.com/extreme-pauvrete-leternelle-urgence-dans-le-grand-sud-malgache-220708
[article]
Titre : Extrême pauvreté, l'éternelle urgence dans le Grand Sud malgache Type de document : document électronique Auteurs : Léo DELPY ; Claire GONDARD-DELCROIX Année de publication : 2024 Note générale : Photographies, liens sitographiques. Lien vers l'ouvrage "Le développement dans le Grand Sud malgache. Quelques enseignements de 30 ans de projets de développement" (coordonné par Claire Gondard-Delcroix). Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL ; Aide humanitaire ; Aide au développement ; Changement climatique ; Crise économique ; Géographie ; Pauvreté ; Projet de développement ; Sécurité alimentaire
Thésaurus Géographique
MadagascarRésumé : Le Sud malgache est l’une des régions les plus vulnérables d’Afrique subsaharienne. On estime que plus de 9 habitant·es sur 10 vivent sous le seuil d’extrême pauvreté. La population est confrontée à de nombreux risques (climatiques, sociaux, sécuritaires, sanitaires et économiques). Dans le Grand Sud malgache, les conditions agro-climatiques défavorables, en interaction avec l’enclavement géographique, politique et économique de la zone, expliquent sa vulnérabilité chronique. Depuis une trentaine d’années, les alertes des médias et des organisations humanitaires internationales sont récurrentes. Cet article s'appuie sur les principaux travaux (articles scientifiques et littérature grise) produits au cours des trente dernières années sur les projets de développement dans le sud de Madagascar, pour analyser l’échec de l'aide au développement dans la zone. En ligne : https://theconversation.com/extreme-pauvrete-leternelle-urgence-dans-le-grand-su [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84681
in THE CONVERSATION > 07/02/2024 (7 février 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 38087 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 45064 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Ce que la crise agricole révèle des contradictions entre objectifs socio-écologiques et compétitivité - In : THE CONVERSATION, 31 janvier 2024 (31/01/2024), 31/01/2024,
En 1960, l'économiste canadien Robert Mundell proposait de représenter les contraintes de la mondialisation subies par les économies nationales sous forme d'un triangle d'incompatibilité. En 2002, l’économiste turc Dani Rodrik formulait un autre triangle d’incompatibilité, soulignant les contraintes politiques découlant de la globalisation capitaliste et pesant sur l’action des États démocratiques. La crise agricole actuelle en Europe révèle un triangle d’incompatibilité plus fondamental encore : celui de "l’Anthropo-capitalocène". Dans ce "trilemme", on ne peut tenir ensemble la transition écologique, la satisfaction des besoins sociaux et le capitalisme mondialisé. Il signifie aussi que séparer coût social et coût écologique fait de moins en moins sens : les rétributions sociales du modèle productiviste ont non seulement des coûts écologiques mais aussi des coûts sociaux systémiques. Pour résoudre ce "trilemme", il convient de détricoter les règles du capitalisme mondialisé, de mettre à mal la gestion néolibérale et l'impératif de compétitivité, plutôt que de rogner sur les politiques agricoles et socio-économiques. https://theconversation.com/ce-que-la-crise-agricole-revele-des-contradictions-entre-objectifs-socio-ecologiques-et-competitivite-222293
[article]
Titre : Ce que la crise agricole révèle des contradictions entre objectifs socio-écologiques et compétitivité Type de document : document électronique Auteurs : Claire LEJEUNE Année de publication : 2024 Note générale : Schémas, liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Altermondialisme ; Capitalisme ; Commerce international ; Écologie ; Mondialisation ; Néolibéralisme ; Politique agricole ; Politique économique ; Politique socialeRésumé : En 1960, l'économiste canadien Robert Mundell proposait de représenter les contraintes de la mondialisation subies par les économies nationales sous forme d'un triangle d'incompatibilité. En 2002, l’économiste turc Dani Rodrik formulait un autre triangle d’incompatibilité, soulignant les contraintes politiques découlant de la globalisation capitaliste et pesant sur l’action des États démocratiques. La crise agricole actuelle en Europe révèle un triangle d’incompatibilité plus fondamental encore : celui de "l’Anthropo-capitalocène". Dans ce "trilemme", on ne peut tenir ensemble la transition écologique, la satisfaction des besoins sociaux et le capitalisme mondialisé. Il signifie aussi que séparer coût social et coût écologique fait de moins en moins sens : les rétributions sociales du modèle productiviste ont non seulement des coûts écologiques mais aussi des coûts sociaux systémiques. Pour résoudre ce "trilemme", il convient de détricoter les règles du capitalisme mondialisé, de mettre à mal la gestion néolibérale et l'impératif de compétitivité, plutôt que de rogner sur les politiques agricoles et socio-économiques. En ligne : https://theconversation.com/ce-que-la-crise-agricole-revele-des-contradictions-e [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84657
in THE CONVERSATION > 31/01/2024 (31 janvier 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 41430 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 41785 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]En Guinée, les vertus du « riz de boue » qui pousse dans les mangroves - In : THE CONVERSATION, 24 janvier 2024 (24/01/2024), 24/01/2024,
En Guinée, près d’un quart de la production de riz provient des plaines de mangroves, en zone côtière. Écosystèmes les plus productifs de la planète, les mangroves sont constituées de palétuviers, servant de bois de chauffe et de construction. L’association entre culture rizicole et production de poissons, ou rizipisciculture, est récente dans la mangrove guinéenne. C’est néanmoins un exemple intéressant d’association "à double bénéfice", le riz profitant des rejets organiques des poissons (engrais naturel) quand les poissons, vivant dans un écosystème de rizières relativement fermé, sont à l’abri des principaux prédateurs. Enfin, la saliculture, qui se fait en Guinée par évaporation solaire ou chauffage à bois des eaux salées, ou saliriziculture, en alternance avec les périodes de culture du riz, est de plus en plus pratiquée. Toutefois, la mise en œuvre de projets de développement est rendue complexe par la structure hydrogéologique de ces zones de balancement des marées et par la question de la maintenance des infrastructures. https://theconversation.com/en-guinee-les-vertus-du-riz-de-boue-qui-pousse-dans-les-mangroves-221126
Permalink[article]Les politiques climatiques : entre techno-optimisme et déni de réalité PILLOT, Julien ; NACCACHE, Philippe - In : THE CONVERSATION, 24 janvier 2024 (24/01/2024), 24/01/2024,
À l'issue de la COP28, une majorité de scientifiques juge déjà inatteignable l'engagement de limitation entre +1,5 °C et +2 °C du réchauffement climatique. L'incapacité de la communauté internationale à imposer une régulation contraignante sur l’extraction des combustibles fossiles illustre l'échec de la gouvernance mondiale. Malgré l'incitation des États à financer le développement des infrastructures industrielles nécessaires à la production d’énergies renouvelables ainsi que des projets de captation et de stockage du carbone, d'aucun·es doutent du réalisme de ce "scénario techno-optimiste". La possibilité d’une transition énergétique rapide reste à démontrer, la consommation mondiale d'énergie primaire ne cessant d'augmenter, de même que l'utilisation massive de métaux et de terres rares pour la fabrication de véhicules automobiles, dont l’extraction pose de graves problèmes sociaux et écologiques dans les pays du Sud. https://theconversation.com/les-politiques-climatiques-entre-techno-optimisme-et-deni-de-realite-221234
PermalinkN°45 - janvier 2024 - Madagascar : Une malédiction nommée saphir (Bulletin de PUBLIC EYE - LE MAGAZINE) / Ariane BAHRI
Permalink[article]Peut-on « restaurer » la nature ? THOREAU, François - In : THE CONVERSATION, 18 janvier 2024 (18/01/2024), 18/01/2024,
L’Europe en fait-elle assez pour protéger l’environnement ? Au-delà de la protection de la nature, ne faudrait-il pas s’engager proactivement à la "restaurer" ? Le constat de départ est la perte considérable de biodiversité et l'incapacité à endiguer la déplétion des écosystèmes terrestres et marins. Ce constat de l’Agence européenne de l’environnement désigne les facteurs responsables de cette situation : l’emprise toujours croissante du bâti et des modèles agricoles intensifs, mais surtout une inefficacité du cadre réglementaire. Ce diagnostic a conduit la Commission européenne à faire de la restauration de la nature un enjeu politique majeur de son Pacte vert, en renforçant le caractère contraignant des mesures. En juillet 2023, les débats au sein de la commission Agriculture de l'Union européenne ont porté sur le périmètre de ce règlement (dont les terres agricoles ont finalement été exclues) ainsi que sur le niveau de contrainte exercé sur les États membres. https://theconversation.com/peut-on-restaurer-la-nature-220297
Permalink[article]Nos villes doivent être plus perméables : comment le biochar peut être une solution durable face aux inondations KANE, Abdoulaye - In : THE CONVERSATION, 8 janvier 2024 (08/01/2024), 08/01/2024,
En Europe, le changement climatique est identifié comme l'une des causes de l’augmentation de la fréquence et l’intensité des précipitations. En raison d’une urbanisation croissante, l’utilisation de matériaux imperméables dans les constructions routières aggrave les ravages de ces phénomènes météorologiques. En milieu urbain, le modèle conventionnel de collecte intégrale des eaux pluviales via un système de canalisations, évacuant des eaux de pluie seules ou mélangées aux eaux usées, a atteint ses limites. Une nouvelle approche vise à se rapprocher du cycle naturel de l’eau en réduisant l’imperméabilisation des surfaces urbaines tout en favorisant l’infiltration des eaux de pluie dès leur chute. En plus de maîtriser la pollution à sa source, cette gestion contribue au rechargement des nappes phréatiques tout en favorisant le verdissement urbain. Appelée "gestion à la source des eaux pluviales" cette approche intéresse de plus en plus les pays européens. Pour rendre les sols urbains perméables tout en accroissant la végétalisation des villes, le biochar (matériau poreux et riche en carbone, issu de résidus organiques) apparaît comme un allier de choix. https://theconversation.com/nos-villes-doivent-etre-plus-permeables-comment-le-biochar-peut-etre-une-solution-durable-face-aux-inondations-220115
Permalink[texte imprimé]Agriculture biologique : déconstruire la fabrication du doute Commerce Équitable France, TISSIER, José - NOGENT SUR MARNE : COMMERCE EQUITABLE FRANCE, 2024/01, 10 P.
L’agriculture biologique contribue à réduire la dépendance des producteur·rices aux intrants, ce qui en fait une cible privilégiée pour les lobbys de l’agroalimentaire ou de l’agrochimie. Un élément clef de leur stratégie de désinformation vis-à-vis du grand public consiste à produire du doute. Cette fabrique du doute vise d'abord à définir l’agriculture biologique comme une agriculture "qui n’utilise pas de pesticides" pour ensuite dénoncer le fait que cette "promesse" n’est pas tenue. Or ce postulat est faux ! En France, 33 substances chimiques naturelles sont autorisées en agriculture biologique. Et, pour utiliser encore moins de pesticides, l’agriculture biologique met en place des pratiques culturales utilisant les possibilités de protection des cultures offertes par les écosystèmes, ce qui n'arrange pas les affaires des fournisseurs d’intrants industriels (engrais ou pesticides de synthèse, semences "certifiées" de type OGM).
https://www.commercequitable.org/wp-content/uploads/v5-240118-note-debats-idees-n2.pdf
Permalink[article]Guyane française : un site à la biodiversité unique menacé par un projet d’exploitation - In : THE CONVERSATION, 27 décembre 2023 (27/12/2023), 27/12/2023,
En Guyane française, le lac de Petit Saut, créé par la mise en eau d’un barrage en 1994, constitue un foyer de biodiversité où s'est développé un écotourisme dédié à l’observation de la faune, qui lui vaut le surnom de petit Pantanal (en référence à l'écorégion de prairies et savanes inondées au Mato Grosso do Sul, Brésil). Mais cet espace de forêt inondée riche en bois mort aiguise les appétits industriels d'une entreprise française qui a pour projet de couper et de collecter les bois immergés du lac, afin d'extraire 5 millions de tonnes de bois sur vingt-cinq ans, pour répondre à deux enjeux : récupérer en bois d’œuvre les bois précieux immergés et alimenter la future centrale biomasse de Petit-Saut. Ce projet pharaonique, qui couvrira la quasi-totalité du lac en saison sèche, questionne non seulement sur ses impacts environnementaux mais aussi sur sa compatibilité avec des activités touristiques durables. https://theconversation.com/guyane-francaise-un-site-a-la-biodiversite-unique-menace-par-un-projet-dexploitation-215934
Permalink[article]Le marché du carbone bleu, miracle ou mirage ? SOUMARE, Safietou - In : IRD LE MAG', 22 décembre 2023 (22/12/2023), 22/12/2023,
Depuis plusieurs décennies, les écosystèmes des littoraux tropicaux sont sous pression : ils ont connu d’importantes pertes de superficie en raison du développement des activités humaines, notamment de l'aquaculture intensive, de la pollution et de l’urbanisation. Paradoxalement, dans le contexte du changement climatique, la grande capacité de certains milieux côtiers, tels que les mangroves, marais salés et herbiers marins, à stocker du carbone intéresse les programmes de conservation. Mais cette ruée mercantile vers l'atout naturel des écosystèmes côtiers, appelés "carbone bleu", pourrait se révéler contreproductive car ces projets organisés dans le cadre de REDD+ aboutissent souvent à l’accaparement des espaces reboisés par les investisseurs, au détriment des communautés locales qui en vivent. https://lemag.ird.fr/fr/le-marche-du-carbone-bleu-miracle-ou-mirage
Permalink[article]Pour sauver nos systèmes alimentaires, restaurer nos sols en séquestrant le carbone - In : THE CONVERSATION, 20 décembre 2023 (20/12/2023), 20/12/2023,
On estime aujourd'hui que 35 % des terres mondiales sont utilisées à des fins agricoles, dont un cinquième est considéré comme dégradé, en raison de pratiques inadaptées. Après un rappel historique de l'utilisation agricole de la terre depuis la sédentarisation des humains il y a 12 000 ans, l'article aborde les questions de la surexploitation des terres liée à l'explosion démographique, du changement climatique comme facteur aggravant et de la conservation des sols et des services écosystémiques. Pour répondre à ces dégradations, de nombreux projets existent, tels que l’Initiative "4 pour 1000 : des sols pour la sécurité alimentaire et le climat" visant à apporter des solutions concrètes au défi posé par le changement climatique et la sécurité alimentaire, ou le projet DSCATT (Dynamique de la séquestration du carbone dans les sols des systèmes agricoles tropicaux et tempérés), qui étudie l’impact de différents agrosystèmes (agroforesterie, agriculture de conservation, systèmes agrosylvopastoraux) pour un développement durable des systèmes agricoles. https://theconversation.com/pour-sauver-nos-systemes-alimentaires-restaurer-nos-sols-en-sequestrant-le-carbone-212820
Permalink[article]Comment l’agriculture industrielle bouleverse le cycle de l’azote et compromet l’habitabilité de la terre - In : THE CONVERSATION, 7 décembre 2023 (07/12/2023), 07/12/2023,
L’agriculture intensive porte une lourde responsabilité dans le dépassement de six des neuf limites planétaires (indicateurs de perturbation au-delà desquels l’habitabilité de la planète est compromise). La limite planétaire relative à l’azote est difficile à appréhender car son dépassement résulte en grande partie de l’industrialisation de la production agricole. L’azote étant reminéralisé dans le sol et prélevé par les racines des plantes, la fermeture du cycle de l’azote doit se faire localement, pour éviter toute perte risquant d'entraîner un appauvrissement du sol. Après chaque récolte qui génère une perte d'azote, il est donc nécessaire de le restituer par la fertilisation, qui s'est intensifiée au siècle dernier avec l'utilisation massive d'engrais chimiques dans l'agriculture industrielle, de sorte qu'à l'échelle mondiale la quantité d’azote introduite par les engrais dans la biosphère dépasse celle apportée par l’ensemble des processus naturels de fixation biologique. Cet excès d’azote dans les sols contamine les eaux souterraines, les eaux des rivières et des fleuves, conduisant à l’eutrophisation des zones marines côtières (marées vertes, efflorescences toxiques, anoxie des fonds) et menaçant la santé humaine. https://theconversation.com/comment-lagriculture-industrielle-bouleverse-le-cycle-de-lazote-et-compromet-lhabitabilite-de-la-terre-219276
PermalinkN°63 - novembre 2023 - TerriStories®, jeu sérieux de gestion du foncier et des ressources naturelles (Bulletin de PERSPECTIVE) / Patrick d' AQUINO
Permalink[article]Les émissions de CO₂ d’origine fossile ont atteint un nouveau record en 2023 - In : THE CONVERSATION, 5 décembre 2023 (05/12/2023), 05/12/2023,
Selon le 18e rapport annuel du Global Carbon Project sur l’état du budget carbone mondial, les émissions mondiales de dioxyde de carbone (CO₂) d’origine fossile ont augmenté de 1,1 % en 2023. La végétation et les océans continuent d’absorber environ la moitié de toutes les émissions de CO₂ mais le reste s’accumule dans l’atmosphère et provoque un réchauffement croissant de la planète. Au niveau actuel des émissions de CO₂, le budget carbone restant pour avoir une probabilité de 50 % de limiter le réchauffement à 1,5 °C sera dépassé dans sept ans. Seul point positif : les émissions nettes dues au changement d’affectation des terres montrent une baisse légère (mais relativement incertaine) au cours des deux dernières décennies, en raison de la diminution de la déforestation et d'une augmentation de la reforestation. https://theconversation.com/les-emissions-de-co-dorigine-fossile-ont-atteint-un-nouveau-record-en-2023-219133
Permalink[article]Cameroun : Les femmes sont décidées à récupérer leurs terres occupées par la société palmicole Socapalm/Socfin - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, décembre 2023 (01/12/2023), N°268, P. 24-26
L’association de femmes Afrise a lancé une pétition internationale pour arrêter la replantation de palmiers à huile par la multinationale Socapalm/Socfin près de leurs habitations et des tombes de leurs ancêtres. Les femmes dénoncent des décennies de souffrances, d'abus, de vols, de misère, de frustrations et de violations de leurs corps, de leurs droits et de leur dignité. Dans une pétition lancée le 25 novembre 2023, Journée internationale de l’élimination de la violence contre les femmes, elles exigent qu’on leur restitue leur territoire pour mener une vie digne. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B268_FR.pdf
Permalink[article]Chili : La résistance au modèle forestier dans le Wallmapu, territoire mapuche REYES HUENCHUMAN, Pablo - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, décembre 2023 (01/12/2023), N°268, P. 27-30
Les communautés mapuches au Chili résistent depuis des décennies aux effets dévastateurs du modèle forestier basé sur les monocultures à grande échelle. Cet article relate un entretien avec Pablo Reyes Huenchumán, porte-parole de la communauté de Paillakawe, qui explique comment les communautés mapuches organisent la résistance depuis vingt ans et quels sont leurs principaux défis dans la lutte pour récupérer leurs territoires et défendre leur culture traditionnelle. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B268_FR.pdf
Permalink[article]Confiance, vulnérabilité et résilience : le paradoxe des stratégies de diversification maraîchères en Martinique - In : MONDES EN DEVELOPPEMENT, 2023/4 (01/12/2023), N°204, P. 131-148
Grâce à une enquête sur l'agriculture maraîchère en Martinique, cet article dévoile des stratégies de diversification productive, commerciale, collective, formelle et surtout informelle. Mais on constate que ces stratégies, destinées à réduire les vulnérabilités, peuvent paradoxalement affaiblir la confiance.
Permalink[article]Expansion des plantations d'arbres pour les marchés du carbone : de nouvelles preuves de fraudes à la compensation - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, décembre 2023 (01/12/2023), N°268, P. 13-16
L'article dénonce la tendance croissante de l'expansion des plantations industrielles d'arbres dans les pays du Sud, au prétexte que les arbres "compenseront" la pollution émise par les pays du Nord. Cela va des grandes plantations en monoculture soutenues par le secteur de la pâte à papier à des plantations aux noms séduisants porteurs d'économie "verte" soutenues par des fonds d'investissement via la signature de contrats abusifs avec les communautés autochtones. Qu’il s’agisse de grandes monocultures ou de projets trompeurs, les plantations d’arbres destinées à compenser les émissions de carbone ne sont ni une solution au chaos climatique ni un bénéfice pour les communautés locales dans les pays du Sud. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B268_FR.pdf
Permalink[article]Le parc industriel KIPI révèle le vrai visage sale et destructeur de la transition « verte » de l'Indonésie - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, décembre 2023 (01/12/2023), N°268, P. 5-12
Cet article met en évidence les contradictions de la supposée transition énergétique, en expliquant comment le parc industriel Kipi, "la plus grande zone industrielle verte du monde", située dans le Kalimantan en Indonésie, conduira en fait à une intensification de l'extraction du charbon dans la région. Dans le même temps, ce projet de plusieurs milliards de dollars menace de s'approprier et de détruire les moyens de subsistance et les espaces de vie dont dépendent les communautés locales, aussi bien sur terre qu'en mer. Ces communautés autochtones sont en première ligne pour résister à l'installation du parc industriel et défendre leurs terres et leurs conditions de vie. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B268_FR.pdf
Permalink[article]« Plantons des micro-forêts urbaines » : nouveau récit d’action publique et coproduction citoyenne d’une solution fondée sur la nature à Paris - In : DEVELOPPEMENT DURABLE ET TERRITOIRES, décembre 2023 (01/12/2023), VOL.14, N°3,
Cet article se base sur une étude de cas d'un projet citoyen de micro-forêts à Paris. Il y est question de leur gouvernance qui doit être collaborative entre citoyens et acteurs techniques. Plus précisément, il met le doigt sur l’émergence d’un nouveau modèle de gouvernance, celui d’une coproduction, en identifiant les succès et les défis de la matérialisation du projet de plantation sur plusieurs sites pilotes. https://journals.openedition.org/developpementdurable/23444
Permalink[article]Une seule santé - In : UN SEUL MONDE, décembre 2023 (01/12/2023), N°4/2023, P. 10-25
Ce dossier expose la corrélation entre les maladies animales (zoonoses) et la santé humaine, en particulier dans la Corne de l'Afrique où les familles de pasteurs nomades vivent en symbiose avec leur cheptel. Elles sont éloignées des centres médicaux et ignorent le plus souvent les mécanismes de transmission des pathologies animales aux humains. Or d'après l'OMS, 60% des pandémies ont pour origine une zoonose, d'où le concept "d'une seule santé" pour soigner en même temps les humains et les animaux. La Suisse est en pointe dans ce type de recherches et la coopération helvétique a mis en place un système de santé itinérant dans la région frontalière entre la Somalie, le Kenya et l’Éthiopie, associant les soins vétérinaires et les soins médicaux.
Permalink[article]Les stratégies paysannes entre riz et soja, productions et perceptions. L’exemple de Cachoeira do Sul/RS, Brésil - In : CONFINS, 2023/4 (01/12/2023), N°61,
Depuis le début du XXe siècle, la riziculture s’est accrue en surface et en poids économique dans le sud du Brésil, là où les terres et l’économie sont favorables. Cachoeira do Sul, district de la dépression centrale de l’État du Rio Grande do Sul, est la capitale nationale du riz, qui a pourtant des difficultés à maintenir son niveau de production face au soja. Pour comprendre les enjeux de cette relation entre la céréale et la légumineuse, l'article se découpe en deux parties : la première traite des enjeux spatiaux et tient compte des effets de localisation, d’accès à l’eau et des structures foncières pour expliquer les répartitions culturales et les choix techniques ; la seconde traite des enjeux identitaires qui interrogent la vocation historique rizicole de la région confrontée à des mutations agricoles et économiques majeures. https://journals.openedition.org/confins/55614
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