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[article]Entre services rendus par la nature et préservation de la biodiversité, des injonctions contradictoires COUVET, Denis - In : THE CONVERSATION, 23 avril 2024 (23/04/2024), 23/04/2024,
Dans un contexte mondial où les enjeux agricoles semblent opposer préservation de la biodiversité et réalités économiques, intégrer les logiques économiques dans les politiques de transition agroécologique conduit à des injonctions contradictoires : il s'agit, soit de protéger la biodiversité afin d’améliorer la conservation des sols ou l’épuration des eaux, soit d'utiliser des intrants chimiques pour conserver, voire augmenter, les rendements agricoles. Pour expliquer ce phénomène, l'article explore la notion de "contribution de la nature aux humains", qui distingue trois types de relations humaines à la biodiversité : contributions matérielles, immatérielles et régulatrices. Or l’arbitrage le plus répandu entre ces contributions se fait généralement en faveur des premières car il est économiquement plus intéressant à court terme d’utiliser la biodiversité que de la préserver. Des évaluations plus longues et portant sur de plus larges échelles soulignent pourtant la pertinence économique à protéger la nature associée aux contributions régulatrices et immatérielles, qui profitent plus durablement à l’ensemble des êtres vivants. https://theconversation.com/entre-services-rendus-par-la-nature-et-preservation-de-la-biodiversite-des-injonctions-contradictoires-224198
[article]
Titre : Entre services rendus par la nature et préservation de la biodiversité, des injonctions contradictoires Type de document : document électronique Auteurs : Hélène SOUBELET ; Denis COUVET Année de publication : 2024 Note générale : Photographies, liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Agroécologie ; Biodiversité ; Développement durable ; Économie ; Conservation des sols ; Gestion des ressources naturelles ; Production agricole ; Transition écologiqueRésumé : Dans un contexte mondial où les enjeux agricoles semblent opposer préservation de la biodiversité et réalités économiques, intégrer les logiques économiques dans les politiques de transition agroécologique conduit à des injonctions contradictoires : il s'agit, soit de protéger la biodiversité afin d’améliorer la conservation des sols ou l’épuration des eaux, soit d'utiliser des intrants chimiques pour conserver, voire augmenter, les rendements agricoles. Pour expliquer ce phénomène, l'article explore la notion de "contribution de la nature aux humains", qui distingue trois types de relations humaines à la biodiversité : contributions matérielles, immatérielles et régulatrices. Or l’arbitrage le plus répandu entre ces contributions se fait généralement en faveur des premières car il est économiquement plus intéressant à court terme d’utiliser la biodiversité que de la préserver. Des évaluations plus longues et portant sur de plus larges échelles soulignent pourtant la pertinence économique à protéger la nature associée aux contributions régulatrices et immatérielles, qui profitent plus durablement à l’ensemble des êtres vivants. En ligne : https://theconversation.com/entre-services-rendus-par-la-nature-et-preservation- [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=85174
in THE CONVERSATION > 23/04/2024 (23 avril 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 25899 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 49084 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Le glyphosate réduit la biodiversité du sol et diminue la proportion d’espèces natives El JAOUHARI, Meryem - In : THE CONVERSATION, 8 avril 2024 (08/04/2024), 08/04/2024,
Le glyphosate est l’herbicide le plus utilisé dans le monde, pour tuer les "mauvaises herbes" et protéger les cultures. Le récent renouvellement de son autorisation par l’Union européenne a relancé les controverses. On parle beaucoup des effets du glyphosate sur la santé mais une étude récente menée en Martinique a permis de montrer ses effets dévastateurs sur la biodiversité (diminution de 21 % en moyenne dans les parcelles de banane fréquemment traitées au glyphosate). Étudier l’effet du glyphosate sur le terrain demeure compliqué car, souvent, les pratiques agricoles et les paramètres environnementaux interfèrent mais son impact sur les écosystèmes et la biodiversité est incontestable, notamment en raison de son mode d'épandage par pulvérisation qui a des conséquences néfastes sur la flore et la faune environnantes. https://theconversation.com/le-glyphosate-reduit-la-biodiversite-du-sol-et-diminue-la-proportion-despeces-natives-226580
[article]
Titre : Le glyphosate réduit la biodiversité du sol et diminue la proportion d’espèces natives Type de document : document électronique Auteurs : Mathieu COULIS ; Meryem El JAOUHARI Année de publication : 2024 Note générale : Photographies, liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Agriculture d'exportation ; Banane ; Biodiversité ; Écosystème ; Pesticide ; Production agricole ; Santé
Thésaurus Géographique
MartiniqueRésumé : Le glyphosate est l’herbicide le plus utilisé dans le monde, pour tuer les "mauvaises herbes" et protéger les cultures. Le récent renouvellement de son autorisation par l’Union européenne a relancé les controverses. On parle beaucoup des effets du glyphosate sur la santé mais une étude récente menée en Martinique a permis de montrer ses effets dévastateurs sur la biodiversité (diminution de 21 % en moyenne dans les parcelles de banane fréquemment traitées au glyphosate). Étudier l’effet du glyphosate sur le terrain demeure compliqué car, souvent, les pratiques agricoles et les paramètres environnementaux interfèrent mais son impact sur les écosystèmes et la biodiversité est incontestable, notamment en raison de son mode d'épandage par pulvérisation qui a des conséquences néfastes sur la flore et la faune environnantes. En ligne : https://theconversation.com/le-glyphosate-reduit-la-biodiversite-du-sol-et-dimin [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=85175
in THE CONVERSATION > 08/04/2024 (8 avril 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 25939 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 48984 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Biodiversité et climat, pourquoi mobiliser le concept crucial de changement transformateur - In : THE CONVERSATION, 4 avril 2024 (04/04/2024), 04/04/2024,
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et la Plate-forme intergouvernementale scientifique et politique pour la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), aussi surnommée GIEC de la biodiversité, appellent à un changement transformateur pour réussir la transition écologique. L’IPBES le définit comme une "réorganisation fondamentale et systémique des facteurs économiques, sociaux, technologiques, y compris les paradigmes, les objectifs et les valeurs" de nos sociétés. Il s'agit d’une remise en question complète de notre mode de vie, qui mobilise toutes les disciplines scientifiques et reconfigure l’environnement socioécologique. Le changement transformateur doit contribuer à réduire les impacts des activités humaines qui menacent la survie de la planète, en "déconstruisant" les systèmes de surexploitation des ressources naturelles et en revenant à des niveaux de pression soutenables pour l'environnement. https://theconversation.com/biodiversite-et-climat-pourquoi-mobiliser-le-concept-crucial-de-changement-transformateur-225130
[article]
Titre : Biodiversité et climat, pourquoi mobiliser le concept crucial de changement transformateur Type de document : document électronique Auteurs : Dirk S. SCHMELLER Année de publication : 2024 Note générale : Liens sitographiques, photographies. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Biodiversité ; Changement climatique ; Consommation responsable ; Écologie ; Gestion des ressources naturelles ; Gouvernance ; Protection de l'environnement ; Transition écologiqueRésumé : Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et la Plate-forme intergouvernementale scientifique et politique pour la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), aussi surnommée GIEC de la biodiversité, appellent à un changement transformateur pour réussir la transition écologique. L’IPBES le définit comme une "réorganisation fondamentale et systémique des facteurs économiques, sociaux, technologiques, y compris les paradigmes, les objectifs et les valeurs" de nos sociétés. Il s'agit d’une remise en question complète de notre mode de vie, qui mobilise toutes les disciplines scientifiques et reconfigure l’environnement socioécologique. Le changement transformateur doit contribuer à réduire les impacts des activités humaines qui menacent la survie de la planète, en "déconstruisant" les systèmes de surexploitation des ressources naturelles et en revenant à des niveaux de pression soutenables pour l'environnement. En ligne : https://theconversation.com/biodiversite-et-climat-pourquoi-mobiliser-le-concept [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=85051
in THE CONVERSATION > 04/04/2024 (4 avril 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 29291 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 48769 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]How countries in conflict zones can recover from floods – lessons from Pakistan - In : THE CONVERSATION, 5 mars 2024 (05/03/2024), 05/03/2024,
Environ 20 000 personnes sont mortes ou portées disparues après les inondations dévastatrices de septembre 2023 au nord-est de la Libye et les infrastructures ont été sérieusement endommagées. La Libye, comme d'autres pays touchés par les inondations, en particulier dans les zones de conflit, pourraient s'inspirer du Pakistan, où des plans innovants de redressement après les inondations de 2022 ont montré leur efficacité. La réponse du Pakistan incluait une évaluation globale des besoins des populations touchées, un plan d'actions clair pour la reconstruction des moyens de subsistance, de l'agriculture et des infrastructures publiques pour les cinq ans à venir. Selon les travaux de l'auteur, la meilleure stratégie de reconstruction et de résilience est celle qui aide en priorité les communautés touchées, répare les infrastructures endommagées et garantit un soutien sanitaire, économique et social durable. S'inspirant du modèle d'auto-résilience, une stratégie de reconstruction efficiente implique une participation populaire, qui renforce la durabilité des actions, fournit de l'emploi à la main d'œuvre locale et réutilise les matériaux récupérés sur place. https://theconversation.com/how-countries-in-conflict-zones-can-recover-from-floods-lessons-from-pakistan-224707
[article]
Titre : How countries in conflict zones can recover from floods – lessons from Pakistan Titre original : Comment les pays en zones de conflit peuvent se relever après des inondations - leçons du Pakistan Type de document : document électronique Auteurs : Olasunkanmi Habeeb OKUNOLA Année de publication : 2024 Note générale : Liens sitographiques, photographies. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Aide humanitaire ; Besoins essentiels ; Catastrophe naturelle ; Infrastructure ; Participation populaire ; Reconstruction ; Résilience
Thésaurus Géographique
Libye ; PakistanRésumé : Environ 20 000 personnes sont mortes ou portées disparues après les inondations dévastatrices de septembre 2023 au nord-est de la Libye et les infrastructures ont été sérieusement endommagées. La Libye, comme d'autres pays touchés par les inondations, en particulier dans les zones de conflit, pourraient s'inspirer du Pakistan, où des plans innovants de redressement après les inondations de 2022 ont montré leur efficacité. La réponse du Pakistan incluait une évaluation globale des besoins des populations touchées, un plan d'actions clair pour la reconstruction des moyens de subsistance, de l'agriculture et des infrastructures publiques pour les cinq ans à venir. Selon les travaux de l'auteur, la meilleure stratégie de reconstruction et de résilience est celle qui aide en priorité les communautés touchées, répare les infrastructures endommagées et garantit un soutien sanitaire, économique et social durable. S'inspirant du modèle d'auto-résilience, une stratégie de reconstruction efficiente implique une participation populaire, qui renforce la durabilité des actions, fournit de l'emploi à la main d'œuvre locale et réutilise les matériaux récupérés sur place. En ligne : https://theconversation.com/how-countries-in-conflict-zones-can-recover-from-flo [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84988
in THE CONVERSATION > 05/03/2024 (5 mars 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 12013 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 12582 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Après le « greenwashing », le « greenhushing » ? - In : THE CONVERSATION, 8 février 2024 (08/02/2024), 08/02/2024,
Depuis la crise de Covid-19, les multinationales sont réticentes sur leurs engagements climatiques. Ce nouveau phénomène appelé "greenhushing" (écosilence en français) s'inscrit en rupture avec les années de "greenwashing" (écoblanchiment). Les promesses vertes d'atteindre une neutralité carbone à un horizon lointain se sont heurtées à des réglementations plus strictes dans quelques pays, tels que la France, l'Union européenne et les États-Unis. Conséquence directe de ce nouvel environnement légal, les entreprises sont de plus en plus nombreuses à cesser de communiquer sur leurs engagements climatiques. Outre le fait de se conformer à la réglementation, elles évitent ainsi de s’exposer au jugement de l’opinion publique, mais aussi de leurs clients, des investisseurs et des médias, tout en se protégeant d’éventuelles poursuites judiciaires. https://theconversation.com/apres-le-greenwashing-le-greenhushing-223016
[article]
Titre : Après le « greenwashing », le « greenhushing » ? Type de document : document électronique Auteurs : Mathis NAVARD Année de publication : 2024 Note générale : Photographies, liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Climat ; Communication ; Empreinte écologique ; Entreprise ; Législation ; Union européenne (UE)
Thésaurus Géographique
France ; Europe ; États-UnisRésumé : Depuis la crise de Covid-19, les multinationales sont réticentes sur leurs engagements climatiques. Ce nouveau phénomène appelé "greenhushing" (écosilence en français) s'inscrit en rupture avec les années de "greenwashing" (écoblanchiment). Les promesses vertes d'atteindre une neutralité carbone à un horizon lointain se sont heurtées à des réglementations plus strictes dans quelques pays, tels que la France, l'Union européenne et les États-Unis. Conséquence directe de ce nouvel environnement légal, les entreprises sont de plus en plus nombreuses à cesser de communiquer sur leurs engagements climatiques. Outre le fait de se conformer à la réglementation, elles évitent ainsi de s’exposer au jugement de l’opinion publique, mais aussi de leurs clients, des investisseurs et des médias, tout en se protégeant d’éventuelles poursuites judiciaires. En ligne : https://theconversation.com/apres-le-greenwashing-le-greenhushing-223016 Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84710
in THE CONVERSATION > 08/02/2024 (8 février 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 42731 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 45062 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible N°269 - février 2024 - En Amazonie, des luttes communautaires contre des menaces anciennes et nouvelles (Bulletin de MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES)
Permalink[article]Comment différentes formes d'extractivisme « vert » provoquent la destruction de la forêt amazonienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 6-13
L'Amazonie est l'une des dernières frontières de la résistance à l'expansion capitaliste, à travers ses mouvements de lutte populaire et par la présence des derniers peuples autochtones de la planète vivant en isolement volontaire. En Amazonie, la moitié de la déforestation à grande échelle est due à quatre activités : l'exploitation minière, l'exploitation forestière, le pâturage du bétail et l'agrobusiness des monocultures (soja, maïs, riz, palmier à huile et canne à sucre). Mais aujourd'hui différentes formes d'extractivisme "vert" envahissent de plus en plus ces territoires, notamment avec plusieurs projets d'extraction pétrolière, au prétexte de financer la transition énergétique, mais aussi avec la construction de grands barrages hydroélectriques, censés produire une énergie verte et renouvelable sans émissions de CO2. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf
Permalink[article]Les contradictions de la conservation : le territoire du peuple Ka’apor dans l’Amazonie brésilienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 43-47
Les Ka’apor sont un peuple autochtone qui vit dans l’Alto Turiacu, au nord-est de Maranhão, au Brésil. Il s’agit du territoire autochtone le plus grand de l’Amazonie orientale et de la portion de forêt préservée la plus importante de la région. C’est justement dans ces localités de choix que les sociétés de conservation étrangères, des ONG du Nord, se sont installées pour proposer des projets REDD. Or ces projets engendrent des conflits de territoire et suscitent le rejet d’une partie de la communauté locale qui s’organise pour leur résister. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf
Permalink[article]Les incendies et les commerces agricoles, moteurs de la déforestation dans l’Amazonie bolivienne - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 22-27
La déforestation du territoire amazonien bolivien et les incendies augmentent significativement depuis plusieurs années, à cause de l’expansion des plantations de soja ou d’huile de palme, de l’industrie minière et de la construction de grands barrages, qui accaparent les espaces vitaux des communautés autochtones et paysannes. Fin 2018, les populations se sont organisées au sein d’une coordination, la CONTIOCAP, afin de défendre leurs territoires et le droit à une vie digne, dans un contexte toujours plus hostile en raison des politiques extractivistes promues par le gouvernement bolivien et des travaux d’infrastructures nécessaires pour transformer et déplacer les marchandises produites et les matériaux de construction. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf
Permalink[article]La lutte pour la terre en Amazonie brésilienne contre les sociétés de palmiers à huile et les sociétés minières - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, février 2024 (01/02/2024), N°269, P. 14-21
Dans la région de Vale do Acará, dans l'État du Pará au Brésil, les communautés autochtones de Tembé, Turiwara, Quilombola et paysannes luttent pour récupérer une partie de leurs terres ancestrales. Si, dans le passé, les colonisateurs ont envahi leurs terres avec des plantations de canne à sucre et de tabac, ce sont aujourd'hui des monocultures de palmiers à huile et d'extraction de minerais qui ont conquis les territoires et sont responsables de la déforestation, avec l'autorisation du gouvernement brésilien. En 2021, les communautés de Tembé et de Quilombola ont engagé la lutte pour reprendre leurs terres, en créant le Mouvement de résistance IRQ (Indigène, Riverain et Quilombola). Mais ces communautés sont confrontées à la violence de divers groupes armés, y compris la police d'État, les gardes de sécurité et les milices privées, qui les accusent d'entraver le développement économique de la région. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/B269_FR.pdf
Permalink[article]Ce que la crise agricole révèle des contradictions entre objectifs socio-écologiques et compétitivité - In : THE CONVERSATION, 31 janvier 2024 (31/01/2024), 31/01/2024,
En 1960, l'économiste canadien Robert Mundell proposait de représenter les contraintes de la mondialisation subies par les économies nationales sous forme d'un triangle d'incompatibilité. En 2002, l’économiste turc Dani Rodrik formulait un autre triangle d’incompatibilité, soulignant les contraintes politiques découlant de la globalisation capitaliste et pesant sur l’action des États démocratiques. La crise agricole actuelle en Europe révèle un triangle d’incompatibilité plus fondamental encore : celui de "l’Anthropo-capitalocène". Dans ce "trilemme", on ne peut tenir ensemble la transition écologique, la satisfaction des besoins sociaux et le capitalisme mondialisé. Il signifie aussi que séparer coût social et coût écologique fait de moins en moins sens : les rétributions sociales du modèle productiviste ont non seulement des coûts écologiques mais aussi des coûts sociaux systémiques. Pour résoudre ce "trilemme", il convient de détricoter les règles du capitalisme mondialisé, de mettre à mal la gestion néolibérale et l'impératif de compétitivité, plutôt que de rogner sur les politiques agricoles et socio-économiques. https://theconversation.com/ce-que-la-crise-agricole-revele-des-contradictions-entre-objectifs-socio-ecologiques-et-competitivite-222293
Permalink[article]Les politiques climatiques : entre techno-optimisme et déni de réalité PILLOT, Julien ; NACCACHE, Philippe - In : THE CONVERSATION, 24 janvier 2024 (24/01/2024), 24/01/2024,
À l'issue de la COP28, une majorité de scientifiques juge déjà inatteignable l'engagement de limitation entre +1,5 °C et +2 °C du réchauffement climatique. L'incapacité de la communauté internationale à imposer une régulation contraignante sur l’extraction des combustibles fossiles illustre l'échec de la gouvernance mondiale. Malgré l'incitation des États à financer le développement des infrastructures industrielles nécessaires à la production d’énergies renouvelables ainsi que des projets de captation et de stockage du carbone, d'aucun·es doutent du réalisme de ce "scénario techno-optimiste". La possibilité d’une transition énergétique rapide reste à démontrer, la consommation mondiale d'énergie primaire ne cessant d'augmenter, de même que l'utilisation massive de métaux et de terres rares pour la fabrication de véhicules automobiles, dont l’extraction pose de graves problèmes sociaux et écologiques dans les pays du Sud. https://theconversation.com/les-politiques-climatiques-entre-techno-optimisme-et-deni-de-realite-221234
Permalink[article]Appréhender les liens complexes entre migration, climat et environnement MEISTER, Sofia ; BROUILLET, Audrey - In : IRD LE MAG', 23 janvier 2024 (23/01/2024), 23/01/2024,
"Réfugiés climatiques, déplacés environnementaux, migrants climatiques…" Les termes ne manquent pas pour désigner celleux qui fuient les conséquences du changement climatique dans leur pays. Pour autant, le changement climatique va-t-il entraîner une forte augmentation des mobilités humaines ? Des scientifiques de l’IRD exposent les enjeux à prendre en compte pour décrypter la complexité des liens entre ces phénomènes, dans une approche interdisciplinaire. Aborder le lien entre le changement climatique et les migrations implique de prendre en compte simultanément les écosystèmes et les systèmes sociaux impactés. Que ce soit face à une catastrophe naturelle ou à des transformations environnementales à long terme, des facteurs écologiques, socio-économiques, politiques et culturels interagissent, mais aussi les réglementations et les pratiques conditionnant l’accès aux ressources, ainsi que les pratiques culturelles en lien avec l’environnement local. https://lemag.ird.fr/fr/apprehender-les-liens-complexes-entre-migration-climat-et-environnement
Permalink[article]Comment la crise climatique et la déforestation ont participé aux inondations meurtrières exceptionnelles en RDC - In : NOVETHIC, janvier 2024 (20/01/2024), 20/01/2024,
Depuis le mois de décembre 2023, la République démocratique du Congo (RdC) est submergée par les eaux dues à des précipitations intenses. Le fleuve Congo qui traverse le pays et ses affluents ont inondé les deux tiers du territoire, lors d’une crue qualifiée d’exceptionnelle. En ce début d'année 2024, malgré une amorce de décrue, un retour à la normale n’est pas prévu avant plusieurs semaines pour les centaines de milliers d’habitant·es sinistré·es. Derrière cette catastrophe qui a fait des centaines de victimes, le changement climatique mais aussi la déforestation sont pointés du doigt par les scientifiques et les autorités locales. https://www.novethic.fr/actualite/environnement/climat/isr-rse/crise-climatique-et-deforestation-main-dans-la-main-derriere-les-inondations-meurtrieres-en-rdc-152042.html
Permalink[article]« Catastrophes » et « naturelles » : deux mots qui vont si mal ensemble TOMASSI, Isabella ; CADAG, Jake Rom D. - In : THE CONVERSATION, 18 janvier 2024 (18/01/2024), 18/01/2024,
Au sein de la communauté scientifique, ces deux mots de "catastrophe" "naturelle" si mal assortis sont questionnés depuis longtemps. En effet, les catastrophes sont des constructions sociales et non la conséquence de phénomènes naturels extrêmes. Les catastrophes dites naturelles révèlent toujours des disparités d’accès aux moyens de protection qui reflètent elles-mêmes une inégalité sociale, au-delà de l'inégale distribution géographique des catastrophes dans le monde. Par ailleurs, l'article s'intéresse à la disparité de traitement de l'information en la matière, la recherche étant historiquement monopolisée par les pays occidentaux (impérialisme culturel prenant sa source dans l’histoire coloniale plutôt que dans la géographie). Au nom de la collecte de données "périssables", on observe un afflux de "scientifiques des Nord" pour parler des "sinistré·es des Sud", alors qu'iels ne connaissent souvent pas les territoires concernés ni la langue locale, mais sont motivé·es par la perspective d’être les premier·ères à publier sur l’événement. https://theconversation.com/catastrophes-et-naturelles-deux-mots-qui-vont-si-mal-ensemble-220118
Permalink[article]Peut-on « restaurer » la nature ? THOREAU, François - In : THE CONVERSATION, 18 janvier 2024 (18/01/2024), 18/01/2024,
L’Europe en fait-elle assez pour protéger l’environnement ? Au-delà de la protection de la nature, ne faudrait-il pas s’engager proactivement à la "restaurer" ? Le constat de départ est la perte considérable de biodiversité et l'incapacité à endiguer la déplétion des écosystèmes terrestres et marins. Ce constat de l’Agence européenne de l’environnement désigne les facteurs responsables de cette situation : l’emprise toujours croissante du bâti et des modèles agricoles intensifs, mais surtout une inefficacité du cadre réglementaire. Ce diagnostic a conduit la Commission européenne à faire de la restauration de la nature un enjeu politique majeur de son Pacte vert, en renforçant le caractère contraignant des mesures. En juillet 2023, les débats au sein de la commission Agriculture de l'Union européenne ont porté sur le périmètre de ce règlement (dont les terres agricoles ont finalement été exclues) ainsi que sur le niveau de contrainte exercé sur les États membres. https://theconversation.com/peut-on-restaurer-la-nature-220297
Permalink[article]Comment financer les politiques climatiques en Amérique latine et dans les Caraïbes ? PEREGO, Erica ; SCHAEFFER, Fanny - In : THE CONVERSATION, 14 janvier 2024 (14/01/2024), 14/01/2024,
Le nombre de catastrophes naturelles en Amérique latine et dans les Caraïbes a presque doublé entre les décennies 1980 et 2010, faisant de cette région la zone géographique la plus touchée. Face aux dégâts économiques et sociaux engendrés par les catastrophes naturelles en chaîne (destruction des infrastructures (routes, ponts et réseaux d’électricité), destruction du capital physique et dégradation du capital humain), il est nécessaire d’améliorer la résilience de la zone par la mise en place de politiques d’atténuation et d’adaptation au changement climatique qui se révèlent très coûteuses. Or le constat dressé lors de la COP28 à Dubaï est sans appel : l’Amérique latine et les Caraïbes font face à un important défaut de financement international de l’action pour le climat. Pour remédier aux effets du changement climatique, les financements multilatéraux devraient décupler par rapport à leurs niveaux de 2020. https://theconversation.com/comment-financer-les-politiques-climatiques-en-amerique-latine-et-dans-les-cara-bes-220866
Permalink[article]Pourquoi le climatoscepticisme séduit-il encore ? - In : THE CONVERSATION, 10 janvier 2024 (10/01/2024), 10/01/2024,
Alors que les effets du changement climatique sont de plus en plus visibles et incontestables, le climatoscepticisme reprend des forces partout dans le monde, bien loin du large consensus sur le climat, au moment de l'Accord de Paris en 2015. Aujourd'hui, les sphères climatosceptiques remettent en question la véracité des travaux du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), mettent en exergue les cycles climatiques à l’échelle du temps géologique, remettent en cause le rôle du CO2 ou bien encore expliquent que toute action mise en œuvre pour lutter contre le changement climatique relèverait de l’autoritarisme liberticide. Derrière ces discours climatosceptiques se cachent des intérêts économiques et la préservation d’un ordre social et de systèmes de domination spécifiques, mais aussi de puissants lobbys aux relents complotistes. https://theconversation.com/pourquoi-le-climatoscepticisme-seduit-il-encore-218639
Permalink[article]Nos villes doivent être plus perméables : comment le biochar peut être une solution durable face aux inondations KANE, Abdoulaye - In : THE CONVERSATION, 8 janvier 2024 (08/01/2024), 08/01/2024,
En Europe, le changement climatique est identifié comme l'une des causes de l’augmentation de la fréquence et l’intensité des précipitations. En raison d’une urbanisation croissante, l’utilisation de matériaux imperméables dans les constructions routières aggrave les ravages de ces phénomènes météorologiques. En milieu urbain, le modèle conventionnel de collecte intégrale des eaux pluviales via un système de canalisations, évacuant des eaux de pluie seules ou mélangées aux eaux usées, a atteint ses limites. Une nouvelle approche vise à se rapprocher du cycle naturel de l’eau en réduisant l’imperméabilisation des surfaces urbaines tout en favorisant l’infiltration des eaux de pluie dès leur chute. En plus de maîtriser la pollution à sa source, cette gestion contribue au rechargement des nappes phréatiques tout en favorisant le verdissement urbain. Appelée "gestion à la source des eaux pluviales" cette approche intéresse de plus en plus les pays européens. Pour rendre les sols urbains perméables tout en accroissant la végétalisation des villes, le biochar (matériau poreux et riche en carbone, issu de résidus organiques) apparaît comme un allier de choix. https://theconversation.com/nos-villes-doivent-etre-plus-permeables-comment-le-biochar-peut-etre-une-solution-durable-face-aux-inondations-220115
Permalink[exposition] L’écologie, un enjeu de justice sociale ritimo (Réseau d'information et de documentation pour le développement durable et la solidarité internationale), - PARIS : RESEAU D'INFORMATION ET DE DOCUMENTATION POUR LE DEVELOPPEMENT DURABLE ET LA SOLIDARITE INTERNATIONALE (RITIMO), 2024/03, 8 panneaux
Cette exposition aborde les enjeux liés à l’écologie. Elle propose à la fois des éclairages sur les mécanismes d’exploitation et de domination à l’origine du ravage environnemental et un démontage des principales idées reçues au sujet de l’écologie. Elle montre que l’écologie n’est pas une affaire individuelle mais collective, qu’elle ne peut pas se contenter de petits gestes, mais doit être imminemment reliée aux combats pour la justice sociale, pour la décolonialité, pour les droits des femmes et minorités de genre... Elle propose plusieurs moyens d'actions pour enrayer la crise. (D'après le résumé d'éditeur).
Public : Lycée (15-17 ans);Enseignement supérieur;Enseignant / animateur;Adulte
https://www.ritimo.org/L-ecologie-un-enjeu-de-justice-sociale
Permalink[article]Quelles écologies dans les quartiers populaires ? - In : SILENCE, janvier 2024 (01/01/2024), N°528, P. 4-17
Ces articles donnent la parole à des habitant.es, des militant.es, un sociologue et une porte parole pour montrer comment l'écologie dominante veut s'imposer aux plus précaires. Mais le mouvement écologiste peine à s'ouvrir aux classes sociales défavorisées. Pourtant les quartiers prioritaires concentrent les injustices sociales et environnementales alors que les personnes en précarité sont celles qui contribuent le moins au désastre écologique.
Permalink[article]Guyane française : un site à la biodiversité unique menacé par un projet d’exploitation - In : THE CONVERSATION, 27 décembre 2023 (27/12/2023), 27/12/2023,
En Guyane française, le lac de Petit Saut, créé par la mise en eau d’un barrage en 1994, constitue un foyer de biodiversité où s'est développé un écotourisme dédié à l’observation de la faune, qui lui vaut le surnom de petit Pantanal (en référence à l'écorégion de prairies et savanes inondées au Mato Grosso do Sul, Brésil). Mais cet espace de forêt inondée riche en bois mort aiguise les appétits industriels d'une entreprise française qui a pour projet de couper et de collecter les bois immergés du lac, afin d'extraire 5 millions de tonnes de bois sur vingt-cinq ans, pour répondre à deux enjeux : récupérer en bois d’œuvre les bois précieux immergés et alimenter la future centrale biomasse de Petit-Saut. Ce projet pharaonique, qui couvrira la quasi-totalité du lac en saison sèche, questionne non seulement sur ses impacts environnementaux mais aussi sur sa compatibilité avec des activités touristiques durables. https://theconversation.com/guyane-francaise-un-site-a-la-biodiversite-unique-menace-par-un-projet-dexploitation-215934
Permalink[article]COP28: what's the verdict? PANTULIANO, Sara - In : DISASTERS, December 18, 2023 (18/12/2023), 18/12/2023,
Les négociations climat de la COP28 à Dubaï se sont réduites à une rencontre mondaine, malgré le satisfecit du sultan Al-Jaber, président de la COP28, qui a qualifié le consensus final d'accord historique, avec le soutien de celleux qui célèbrent comme une victoire le "début de la fin de l'ère de l'énergie fossile". Toutefois, les pays les plus vulnérables au changement climatique ont exprimé leurs inquiétudes face à l'avenir. Madeleine Diouf Sarr, représentante des pays les moins avancés (PMA) a déclaré que l'accord était "le reflet de la plus petite ambition possible acceptable", tandis que Anne Rasmussen, porte-parole de l'Alliance des petits États insulaires, déplore l'absence de ces États à la table des négociations et l'adoption du texte final sans eux. L'article souligne néanmoins l'aspect crucial de six questions abordées lors de la COP28 : le Global Stocktake (examen régulier des progrès accomplis par rapport aux Accords de Paris), le Fonds de financement des pertes et dommages, la chasse aux énergies fossiles, l'objectif global d'adaptation au changement climatique, les critères d'éligibilité au financement climat, le financement climat pour les États en situation de conflit. https://odi.org/en/insights/cop28-whats-the-verdict/
Permalink[article]Des COP à la RSE, la face obscure des indicateurs environnementaux en entreprise - In : THE CONVERSATION, 11 décembre 2023 (11/12/2023), 11/12/2023,
La mise en place de démarches pour lutter contre le changement climatique passe par des systèmes et des indicateurs dédiés, dont il convient de connaître les limites pour mieux les dépasser. Or, pour la plupart des organisations publiques et entreprises privées, la gestion des indicateurs environnementaux est un sujet brûlant, afin de répondre aux nouvelles obligations réglementaires liées au Green Deal européen et aux déclinaisons des COP successives, qui impose de se coordonner entre parties-prenantes en interne et en externe. Or, si ces systèmes, outils et indicateurs de RSE incitent à mettre en œuvre des démarches plus responsables, ils peuvent poser de nouveaux problèmes ou détourner l’attention d’aspects moins visibles mais tout aussi importants, comme la mesure de l'empreinte carbone, dont la classification en trois scopes a l’avantage de la simplicité, mais aussi l’inconvénient de compartimenter les problèmes – et donc de diluer les responsabilités des acteurs, voire de les reporter sur d'autres. https://theconversation.com/des-cop-a-la-rse-la-face-obscure-des-indicateurs-environnementaux-en-entreprise-215722
Permalink[article]We know how gender-just climate action can work TAN, Elizabeth - In : DISASTERS, December 11, 2023 (11/12/2023), 11/12/2023,
Les expériences climatiques récentes montrent que les programmes d'adaptation et d'atténuation climatique doivent être dirigés spécifiquement vers l'autonomisation des femmes marginalisées et autres groupes sociaux marginalisés, en prenant soin de ne pas porter atteinte à leurs droits et conditions de vie. L'action climatique est plus urgente que jamais et doit s'inspirer des leçons d'équité hommes-femmes, en mettant en œuvre des approches ciblées vers une meilleure inclusion du genre. La COP28 de Dubaï en décembre 2023 a lancé le Partenariat pour des transitions justes et pour l'action climat, qui a été signé par 68 pays. Dans différents pays du Sud, les femmes engagées pour le climat adoptent une approche globale des actions, qui les aide à devenir économiquement autonomes et résilientes face au changement climatique. https://odi.org/en/insights/we-know-how-gender-just-climate-action-can-work/
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