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Partager le résultat de cette rechercheN°36 - hiver 2013 - Chine-Cinémas (Bulletin de MONDE CHINOIS)
[article]L'extrémisme religieux en Asie centrale : réalité, chimère ou paravent ? - In : MONDE CHINOIS, hiver 2013 (30/12/2013), N°36, P. 117-123
A l'occasion d'une conférence internationale à Astana les 12-13 juin, les pays de la CEI ont discuté du rôle de la religion dans leur pays, des menaces liées à l'extrémisme religieux et du renforcement de la collaboration régionale face à celles-ci. Si tous les pays de la CEI sont concernés de diverse manière par des reconfigurations identitaires profondes qui peuvent nourrir fondamentalismes et nationalismes, les Etats de l'Asie centrale sont au cœur de ces enjeux.
Entre le Japon et ses partenaires, l'heure est à l'approfondissement des relations. En témoigne le contrat signé avec les Etats-Unis pour la modernisation des quatre avions-radars Awacs japonais. Si l'alliance avec les Etats-Unis demeure l'épine dorsale de la défense de l'Archipel nippon, celui-ci cherche aussi à constituer un réseau d'alliés ou de partenaires complémentaires de la puissance militaire américaine. Cette stratégie est notamment dirigée vers les autres pays d'Asie, qui craignent comme le Japon la croissance chinoise.
Les programmes sociaux de lutte contre la pauvreté connus sous le terme générique de "Conditional Cash Transfer Programs" lancés par les organisations internationales dans les années 2000, suscitent de nombreuses critiques. C'est le cas de la conclusion de cette enquête menée dans deux états du Mexique. Il s'agit du programme "Progresa-Oportunidas". Sans méconnaître ses effets positifs, l'article souligne ses aspects déstabilisants pour les familles rurales pauvres. Le dispositif d'assistance détourne les enfants et les jeunes du projet familial. La condition d'extrême pauvreté est plus stigmatisante à leurs yeux qu'à ceux de la société.
Cet article s'appuie sur une enquête de terrain menée aux Philippines de décembre 2010 à février 2011. Il s'agissait d'étudier l'impact d'un programme de lutte contre la pauvreté initié par la Banque mondiale sous le nom de "Conditional Cash Transfers (CCT). Ce programme consiste en une aide financière destinée aux familles les plus pauvres sous réserve d'engagements de la part des bénéficiaires dans les domaines de la santé, de l'éducation, et de la nutrition. La Banque mondiale joue alors un rôle d'entrepreneur par l'intermédiaire des experts qu'elle envoie sur place. De tels programmes ont été également expérimentés en Amérique latine. Ils jouissent d'une popularité croissante tant dans les sphères académiques que politiques.
Dans un contexte de mondialisation, les échanges entre pays du Sud ne cessent de se développer. Un examen attentif des relations bilatérales entre Madagascar et l'Afrique du Sud montre que les échanges entre ces deux pays voisins restent finalement d'une faible intensité, malgré le bénéfice mutuel qu'ils pourraient en retirer. Depuis une quinzaine d'années, l'Afrique du Sud a comme priorité le développement de ses liens avec le reste du continent africain. A l'inverse, Madagascar ne se considère pas comme pleinement africain, en raison d'un ancien tropisme asiatique et de sa volonté de se démarquer du continent pour des raisons identitaires. Néanmoins, puisque l'Afrique du Sud aujourd'hui veut intensifier ses relations avec les pays de l'Océan Indien, l'intérêt bien compris de Madagascar serait de s'arrimer à sa puissante voisine.
[document électronique]Tchad 2013 : la réhabilitation impossible d'un dictateur notoire Collectif SLSPAfrique (Collectif de solidarité avec les luttes sociales et politiques en Afrique), - PARIS : COLLECTIF DE SOLIDARITE AVEC LES LUTTES SOCIALES ET POLITIQUES EN AFRIQUE (COLLECTIF SLSPAFRIQUE), 2013/12/15, 40 P.
L’actualité de 2013 marquée par l’influence française dans le Sahel semble masquer la réalité tragique du régime tchadien. Idriss Déby se présente comme un rempart et un acteur incontournable face au terrorisme islamique ou comme sous-traitant potentiel d’opérations militaires ou de maintien de la paix. La réhabilitation de ce dictateur reconnu nécessite une occultation des différents aspects de l’histoire et de la politique du Tchad : les guerres civiles, les massacres et crimes de l’armée tchadienne, le sous-développement, le détournement de la rente pétrolière, les élections fraudées, la répression des démocrates, de la presse et de la société civile, la déstabilisation de la région (Soudan 2004-2009, Libye 2011, Nigeria 2009-2013, Centrafrique 2012-2013). En lieu et place d'une politique de rupture avec la Françafrique, François Hollande a mis en œuvre une politique française axée sur la "Paix et la sécurité" sans considération pour la nature des régimes. Et le soutien français à Idriss Déby ne s'est jamais tari.
Public :
https://electionsafrique.files.wordpress.com/2013/12/131216tchaddossierinformationcollsolidaritevfinale.pdf
Avec l'appui de la DDC (Direction du développement et de la coopération) suisse, les organisations d'artisans structurent et modernisent les formations professionnelles. De nouvelles filières vont être disponibles pour une vingtaine de métiers.
Le chômage massif des jeunes a remis la formation professionnelle à l'agenda du développement. Avec l'aide des bailleurs de fonds, les gouvernements du Sud et de l'Est améliorent leurs systèmes d'apprentissage et l'adapte aux besoins du marché. L'agriculture et l'artisanat souffrent d'une image négative dans la plupart des pays en développement. Combiner formation pratique en entreprise et enseignement théorique est performant et limite le chômage, mais dans de nombreux pays en développement l'Etat et le secteur privé ne communiquent pas.
Dans la vie quotidienne des populations démunies sont inscrites la foi et la spiritualité ; le rôle des religions est controversé dans la coopération internationale bien que cela puisse constituer le fondement d'une cohésion sociale, mais aussi être oppressif. Dans beaucoup de pays pauvres, les institutions religieuses ont plus d'influence et d'autorité que l'Etat. Il peut y avoir des répercussions négatives sur la paix et le développement.
Les pays en développement doivent élargir l'accès aux formations en améliorant la qualité, l'équité, l'attrait, l'apprentissage continue de la formation professionnelle. L'absence de croissance, le chômage des jeunes, l'évolution technologique sont préoccupants. La mondialisation, les disparités entre les pays, les migrations demandent des formations professionnelles contribuant au développement durable. Les systèmes de formation doivent être adaptés au contexte local.
Avec ProSavana (monumental projet d'industrialisation agricole dans le nord du pays), le Mozambique entend rendre son secteur agricole performant. Seulement, ce sont des consultants brésiliens et japonais qui fixent la marche à suivre et la société civile mozambicaine n'a pas son mot à dire. Cela dure depuis dix ans. L'organisation ORAM (Organisation de défense des petits exploitants) proteste contre ce programme. Les petits paysans veulent participer à sa conception et au processus de décision. 14,5 millions d'hectares sont concernés.
De plus en plus d'acteurs puissants accaparent des grandes surfaces agricoles à travers le monde. Est-il possible de nommer précisément ceux qui les financent depuis la Belgique ? Pour répondre à cette question , les ONG SOS Faim, OXFAM, le CNCD 11.11.11 et Elf Elf ELF ont chargé le Réseau Financement Alternatif (RFA) d'étudier le rôle des institutions financières actives en Belgique sur le marché mondial des propriétés foncières agricoles. L'enquête réussit à dégager des données claires et nettes. La BNP Paribas Fortis et la Deutsche Bank sont pointées du doigt.
En Bolivie, l'actuel gouvernement déclare mener une politique favorable à l'agriculture familiale. Les nouvelles lois dites de la Madre Tierra (Terre-Mère) et de la Révolution productive sont conçues pour tenir compte des revendications des organisations paysannes boliviennes. Les observateurs avertis sont plus nuancés et décèlent des différences entre la théorie et la pratique. Depuis 2005, la tendance à l'importation de produits agricoles et agroindustriels s'aggrave. L'évolution vers la parcellisation extrême de la propriété contribue à aggraver la baisse de la production.
L'étude de deux communautés chrétiennes libanaises - la communauté grecque-orthodoxe et la communauté maronite - révèle de leur part des réactions très différentes face à la crise syrienne. Les Grecs-Orthodoxes se référent aux principes universels des Droits de l'Homme, tels que la citoyenneté et la séparation entre pouvoir temporel et spirituel, pour sauvegarder leur existence. Les Maronites en appellent aux valeurs chrétiennes pour défendre leur communauté face à un triomphe éventuel de l'islamisme en Syrie. Ceci contredit la thèse d'une solidarité chrétienne libanaise vis-à-vis de la crise syrienne et conduit à une réflexion sur la question des droits des minorités.
La crise syrienne se répercute sur le champ politico-religieux de Tripoli. Cette ville du nord-Liban de 320 310 habitants est l'une des zones dites "sensibles" à travers lesquelles la guerre syrienne risque de se propager au Liban. Des dynamiques très inquiétantes sont à l'oeuvre à Tripoli, renforçant son rôle d'espace de confrontation entre acteurs libanais, régionaux et membres de la nébuleuse salafiste jihadiste transnationale. Le leadership institutionnel sunnite est affaibli et manque d'une réelle volonté de mobiliser la "rue sunnite". Cela renforce la visibilité et l'influence des salafistes dans la ville.
Le traitement du conflit syrien par les médias libanais montre combien ceux-ci auraient besoin de surmonter leurs problèmes. La couverture des évènements en Syrie et leurs répercussions dans le pays contribuent à accentuer la bipolarisation politique des acteurs médiatiques locaux. L'opinion libanaise se tourne vers d'autres sources d'information arabes ou internationales.
Les exploitations familiales sénégalaises démontrent régulièrement leur capacité à nourrir les populations et à s'adapter aux dynamiques des politiques mises en place par les différents gouvernements. Néanmoins, sans un appui conséquent, elles peuvent difficilement exprimer tout leur potentiel de développement, et augmenter leur part dans la création de la richesse du pays.
Au Brésil, il y a dualité entre l'agriculture agro-industrielle exportatrice concentrée sur quelques monocultures et génératrice de devises, et d'autre part, une agriculture familiale diversifiée et à composante sociale beaucoup plus forte, notamment en termes d'emplois. Celle-ci bénéficie d'un soutien spécifique de l'Etat au travers d'une série de dispositifs d'action publique complexes et diversifiés.
En 2012, le président Evo Morales a subi une difficile opération du genou gauche. Ses thuriféraires ont montré dans un livre qu'il avait mis sa santé en jeu pour servir le peuple bolivien.En s'inspirant des travaux d'Ernest Kantorowicz sur les usages du corps en politique, cet article étudie comment s'est construite l'image ethnique de Morales et le rôle que joue son entourage dans l'instauration du culte de la personnalité.
L'implication du Hezbollah dans la crise syrienne a mis en évidence les contradictions inhérentes à ce mouvement aux multiples facettes. A ce jour, les réponses politiques et militaires du Hezbollah à cette crise ont toujours bénéficié de son identité par procuration basée sur le récit de sa résistance anti-israélienne. Idéologiquement, le Hezbollah a essayé de justifier son intervention en Syrie en combinant ce récit avec la mission de protéger la communauté chiite libanaise de l'extrémisme sunnite. Ce positionnement est très controversé et menace de saper l'élément le plus vulnérable de son pouvoir : la légitimité de son récit de la résistance.
En Bolivie, la mobilisation indianiste démarre au début de la décennie 1970 au sein des syndicats paysans de l'altiplano. Il prend le nom de Tupac Katari, chef d'un des soulèvements les plus importants de l'époque coloniale contre la couronne espagnole. Ce recours au passé symbolise la continuité du combat indianiste actuel avec celui du célèbre résistant aymara. Cet essai écrit en 1982 tente d'expliquer le sens politique de ce courant syndical particulier. Dans sa postface, Jean-Pierre Lavaud constate que les préjugés raciaux envers les Indiens n'ont pas disparu malgré les transformations récentes de la société bolivienne mais, il critique aussi les positions extrémistes de certains indianiste.
Dans le souci de trouver une origine commune aux peuples de Bolivie, un groupe d'intellectuels et d'archéologues firent des ruines de Tiwanaku dans les Andes le berceau mythique non seulement des Aymaras mais de toute la nation bolivienne. Cet article analyse le temps fort de cette construction nationaliste : la Semaine Indianiste Bolivienne en 1931.
Dans cet entretien, Jean-Pierre Lavaud retrace son itinéraire intellectuel. Il évoque à la fois la Bolivie, qu'il découvre en 1967, et les milieux intellectuels boliviens et français engagés dans l'étude et la réflexion sur les changements sociaux et politiques en Amérique latine. Ses recherches ont porté sur l'instabilité politique, les mobilisations paysannes ou celles des femmes de mineurs. Il s'interroge enfin sur certaines particularités des mœurs boliviennes et sur l'ancrage sociopolitique de la présidence d'Evo Morales.
La crise syrienne présente des similitudes avec la guerre civile libanaise, indépendamment des conditions internes qui ont provoqué le conflit. Elle est aussi rattrapée par la géopolitique régionale, dominée aujourd'hui par l'opposition entre l'Iran et l'Arabie Saoudite, et le retour d'une certaine guerre froide au niveau international. Sur le plan intérieur, le conflit politique en Syrie est devenu rapidement une guerre communautaire et désormais une guerre de religion. Dans ce nouveau contexte, le Liban est particulièrement vulnérable car le conflit syrien réveillent les vieux démons, d'autant plus que les acteurs locaux participent directement ou indirectement aux combats en Syrie.
De 2008 à 2010, l'économie libanaise a connu une forte croissance portée par les investissements immobiliers et le tourisme. On pouvait craindre l'effondrement du PIB avec la crise syrienne. C'est l'inverse qui s'est produit. En effet, le Liban est devenu la plate-forme par laquelle transitent des biens de base et des armes à destination de la Syrie ce qui génère des flux financiers. D'autre part, l'afflux des réfugiés stimule la demande interne. Toutefois, leur concurrence sur la marché du travail et la pression accrue sur les services publics font redouter une aggravation des tensions sociales.
Contrairement à l'agriculture industrielle, l'agriculture familiale est faiblement "capitalisée" et repose surtout sur une main d'oeuvre abondante (le plus souvent familiale, d'où le nom) plutôt que sur des investissements massifs dans une forme de mécanisation lourde. Sa priorité n'est pas le profit à tout prix, même si la rentabilité économique reste évidemment importante.
L'agriculture familiale est la forme dominante d'organisation dans ce secteur d'activité au niveau mondial. Pas la plus puissante, mais la plus nombreuse. Redevenue prioritaire depuis la fin des années 2000, ses réalités restent mal connues. Pour profiter de ses avantages (sécurité alimentaire, respect de l'environnement), il faut inciter les Etats à la mettre au cœur de leurs politiques de développement. En l'associant à l'agroécologie, c'est une piste prometteuse.
Les deux questions des réfugiés de Syrie et le clivage sunnito-chiite constituent des pommes de discorde extrêmement dangereuse pour le Liban. L'investissement du Hezbollah chiite au côté du régime syrien semble avoir enclenché un cycle de violence qui menace la capitale au risque de provoquer le retour de l'ordre milicien en ville, au détriment d'un Etat qui n'arrive plus à maitriser les deux camps antagonistes. L'armée libanaise qui a violemment réprimé en juin 2013 le groupe armé sunnite de Sheikh el-Assir ne semble plus en mesure de jouer les médiateurs entre les adversaires qui recrutent des militants dans les camps de réfugiés syriens.
La vie politique bolivienne est célèbre pour son instabilité, notamment par la fréquence du recours au pronunciamento. Les militaires libéraux l'inventèrent en Espagne en 1820 pour abolir l'absolutisme. Rapidement adoptée dans tout l'univers hispanique, la pratique quitta les casernes pour le monde civil, au nom de la volonté du peuple. Le pronunciamento est redevenu d'actualité au cours du conflit TIPNIS (Territoire indigène du parc national Isoboro-Sécure). Les organisations représentant les groupes indigènes hostiles au tracé de la route traversant leur territoire l'emploient désormais pour affirmer un pouvoir local populaire s'opposant à l'Etat central et à une classe politique lointaine. Les deux étant soumis au groupe de pression des "cocaleros" c'est-à-dire des producteurs de coca.
Ce dossier a été conçu autour de l'oeuvre de Jean-Pierre Lavaud, spécialiste de l'étude socio-politique de la Bolivie depuis la fin des années 1960, lorsqu'il a découvert pour la première fois ce pays. Depuis il lui a consacré sa thèse et d'autres ouvrages et articles. Il intervient trois fois dans ce dossier : dans un entretien retraçant son parcours scientifique ; avec un texte écrit en 1982 pour une discussion avec des chercheurs de l'Equipe de Recherche sur les Sociétés Indiennes d'Amérique Latine (ERSIPAL) et peu diffusé ; et dans une postface à ce texte rédigée à l'occasion de ce dossier.
Entre insécurité foncière, aléas climatiques, faible soutien de l'Etat, l'agriculture burkinabé, essentiellement familiale, est à la croisée des chemins. Dans un contexte marqué par le décuplement des enjeux et des contraintes, celle-ci doit nécessairement se transformer pour répondre aux besoins d'une population en pleine croissance.
La révolte syrienne s'est transformée en trois ans en une crise humanitaire de grande ampleur, il s'agit d'une crise majeure selon tout une série d'indicateurs. le Liban est une destination privilégiée pour les réfugiés syriens en raison des facilités d'accès et des liens traditionnels entre les populations. La poursuite de la guerre civile va accroître le problème, en l'absence d'une solution diplomatique. La défaite du régime Assad serait un coup dur pour le Hezbollah qui le soutient militairement, d'où la perspective d'une nouvelle crise intérieure au Liban.
[texte imprimé]Kililana song : Seconde partie FLAO, Benjamin, - PARIS : FUTUROPOLIS, 2013/10/10, 136 P.
Le territoire kényan de Kililana situé sur l’archipel de Lamu se trouve être convoité depuis l’indépendance du Sud Soudan. Dans un premier temps cible des promoteurs immobiliers, cette région est désormais convoitée par les industriels et les islamistes désirant s’emparer des ressources pétrolières. Les populations et la biodiversité se retrouvent mises de côté, la culture et les traditions étant écrasés par les enjeux financiers. Cette BD fictionnelle rejoint la réalité en montrant les conditions de vie des populations locales et en parlant de la lutte pour la sauvegarde des ressources.
Ce dossier expose les défis qui attendent Ibrahim Boubacar Keïta, le nouveau président du Mali. A son gouvernement incombe la responsabilité de remettre le Mali sur les rails après une rébellion, un putsch, une guerre et une transition houleuse de dix-huit mois.
[texte imprimé]La Palestine expliquée à tout le monde SANBAR, Elias, BALEZ, Olivier - PARIS : SEUIL, 2013/10/01, 112 P.
L'auteur retrace l'histoire de la Palestine depuis le mandat britannique à partir de 1917 jusqu'à aujourd'hui. Il montre que ce pays est polychrome, terre de pluralité, des origines et des croyances. C'est aussi un pays absent que les Palestiniens ont emporté dans leur exil.
