[texte imprimé]Nous pouvons (vraiment) vivre ensemble
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IVRY SUR SEINE : ATELIER,
2012,
96 P.
Les auteurs commencent par rappeler quelques chiffres assez impressionnants et inquiétants sur la situation en France : 4 millions de demandeurs d'emploi, 8,2 millions de personnes sous le seuil de pauvreté, 150 000 jeunes sans aucun diplôme à la fin de leur scolarité, 1 famille sur 4 en difficulté financière (1 sur 5 en 2009), 70 % d'emplois précaires et les inégalités en progrès constants : ainsi, en 1995 les 1 500 salariés les mieux payés gagnaient 25 fois plus que la moyenne des autres salariés, aujourd'hui c'est 60 fois plus et la médiocrité ambiante voit émerger des hyper-riches. Les auteurs ne se contentent pas de dénoncer, ils avancent aussi des propositions, concernant, entre autres, l'entreprise et la création d'emplois stables, y compris pour les moins qualifiés, le logement, le traitement, jugé ici scandaleux (sic) des migrants. Pour renforcer le lien social qui se délite, il faut davantage faire droit aux besoins des plus défavorisés, non pour les assister, mais pour les aider à prendre eux-mêmes la parole (publique), afin de défendre leurs droits et d'obtenir la reconnaissance de leur dignité. Le critère de toute mesure, c'est l'impact sur les plus vulnérables. Les auteurs font volontiers leur ce conseil de GANDHI : "Quand vous prenez une décision, ayez devant vous l'image de l'homme le plus pauvre que vous ayez jamais rencontré et demandez-vous si cette décision va l'aider. Si la réponse est oui, prenez-la sans hésitation".
Les auteurs commencent par rappeler quelques chiffres assez impressionnants et inquiétants sur la situation en France : 4 millions de demandeurs d'emploi, 8,2 millions de personnes sous le seuil de pauvreté, 150 000 jeunes sans aucun diplôme à la fin de leur scolarité, 1 famille sur 4 en difficulté financière (1 sur 5 en 2009), 70 % d'emplois précaires et les inégalités en progrès constants : ainsi, en 1995 les 1 500 salariés les mieux payés gagnaient 25 fois plus que la moyenne des autres salariés, aujourd'hui c'est 60 fois plus et la médiocrité ambiante voit émerger des hyper-riches. Les auteurs ne se contentent pas de dénoncer, ils avancent aussi des propositions, concernant, entre autres, l'entreprise et la création d'emplois stables, y compris pour les moins qualifiés, le logement, le traitement, jugé ici scandaleux (sic) des migrants. Pour renforcer le lien social qui se délite, il faut davantage faire droit aux besoins des plus défavorisés, non pour les assister, mais pour les aider à prendre eux-mêmes la parole (publique), afin de défendre leurs droits et d'obtenir la reconnaissance de leur dignité. Le critère de toute mesure, c'est l'impact sur les plus vulnérables. Les auteurs font volontiers leur ce conseil de GANDHI : "Quand vous prenez une décision, ayez devant vous l'image de l'homme le plus pauvre que vous ayez jamais rencontré et demandez-vous si cette décision va l'aider. Si la réponse est oui, prenez-la sans hésitation".
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Exemplaires (3)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
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43538 | INEG-AUR | autres textes imprimés | 29 - CICODES (Quimper) | Disponible |
65524 | DIS COL | autres textes imprimés | 40 - C KOI CA (Rion des Landes) | Disponible |
43467 | MCM SOC AUR | livre, album | 44 - MCM (Nantes) | Disponible |