[document électronique]Comment mieux faire coopérer l'Éducation populaire et l'École pour former de jeunes citoyens actifs ?
COJ (Conseil d'orientation des politiques de jeunesse),
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PARIS : BUREAU DU PREMIER MINISTRE,
2020/09,
57 P.
La formation des futur·es citoyen·nes constitue un enjeu fondamental pour la vie démocratique française et pour la cohésion sociale, dont la mise en œuvre s’inscrit dans la durée. Le programme scolaire d’enseignement moral et civique est l’un des outils sur lequel la Commission de l’Éducation populaire a appuyé sa réflexion. Cependant, la formation des futur·es citoyen·nes est également assurée dans d’autres espaces (structures et associations hors établissements scolaires, relevant de l’éducation populaire). Cette politique nationale ambitieuse vise à développer des passerelles entre tou·tes les acteur·rices de formation, pour qu’il·elles s’enrichissent les un·es les autres au bénéfice des jeunes. Au-delà de la maîtrise partagée des concepts par tou·tes les acteur·rices, la formation doit s’accompagner d'actions de terrain, afin de rendre le rôle du·de la citoyen·ne le plus concret possible, ce qui implique de doter ces démarches de moyens financiers pour accompagner les projets. Cette politique nationale doit se décliner sur tous les territoires, pour adosser les actions à celles menées localement par les réseaux de l’éducation populaire. La question de la citoyenneté, qu’elle soit abordée à l’école ou en dehors, doit associer l’ensemble des parties prenantes : enseignant·es, personnels de l’éducation formelle, animateur·rices et acteur·rices de l’éducation non formelle (ou populaire), parents, enfants et jeunes.
Public :
https://www.jeunes.gouv.fr/IMG/pdf/coj_comeducpop_rapport_educpopecole_adopte_-_28sept20.pdf
La formation des futur·es citoyen·nes constitue un enjeu fondamental pour la vie démocratique française et pour la cohésion sociale, dont la mise en œuvre s’inscrit dans la durée. Le programme scolaire d’enseignement moral et civique est l’un des outils sur lequel la Commission de l’Éducation populaire a appuyé sa réflexion. Cependant, la formation des futur·es citoyen·nes est également assurée dans d’autres espaces (structures et associations hors établissements scolaires, relevant de l’éducation populaire). Cette politique nationale ambitieuse vise à développer des passerelles entre tou·tes les acteur·rices de formation, pour qu’il·elles s’enrichissent les un·es les autres au bénéfice des jeunes. Au-delà de la maîtrise partagée des concepts par tou·tes les acteur·rices, la formation doit s’accompagner d'actions de terrain, afin de rendre le rôle du·de la citoyen·ne le plus concret possible, ce qui implique de doter ces démarches de moyens financiers pour accompagner les projets. Cette politique nationale doit se décliner sur tous les territoires, pour adosser les actions à celles menées localement par les réseaux de l’éducation populaire. La question de la citoyenneté, qu’elle soit abordée à l’école ou en dehors, doit associer l’ensemble des parties prenantes : enseignant·es, personnels de l’éducation formelle, animateur·rices et acteur·rices de l’éducation non formelle (ou populaire), parents, enfants et jeunes.
Public :
https://www.jeunes.gouv.fr/IMG/pdf/coj_comeducpop_rapport_educpopecole_adopte_-_28sept20.pdf
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Exemplaires (2)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
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43769 | W | document électronique | DISPONIBLE SUR LE WEB | Disponible |
44043 | CD75 DE | document électronique | 75 - CDTM (Paris 09) | Disponible |