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INSTITUT NOE JORDANIA
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[texte imprimé]Mon Passé : Mémoires du Président Noé Jordania : 1ère République de Géorgie (1918-1921) PAGAVA-BOULEZ, Christine, - PARIS : INSTITUT NOE JORDANIA, 2008, 226 P.
Le nom de Noé Jordania est lié au rapprochement entre la démocratie intellectuelle de la Géorgie, le prolétariat et les paysans. Il fût l'auteur du programme national et agraire du parti. Il resta président du Soviet de Tiflis, du Centre régional des Soviets, du Comité Central du Parti. Tous les sociaux-démocrates de Géorgie le considérait comme leur chef. Le ministre social-démocrate aussi bien que les mécontents du gouvernement, le consultaient. C'est à la satisfaction de tout le monde qu'il fût nommé Chef du Gouvernement. La force principale de Jordania résidait dans un don exceptionnel de vrai chef politique - celui de discerner la voie à prendre par le peuple, associé à un immense fond de bon sens pratique, une faculté de travail considérable, une grande persévérance, une grande prudence, convaincu que toute situation peut avoir une issue favorable. Refusant la capitulation, Noé Jordania s'est consacré jusqu'à la fin de sa vie (1953) au combat pour l'indépendance de la Géorgie.
Titre : Mon Passé : Mémoires du Président Noé Jordania : 1ère République de Géorgie (1918-1921) Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine PAGAVA-BOULEZ Editeur : PARIS : INSTITUT NOE JORDANIA Année de publication : 2008 Importance : 226 P. ISBN/ISSN/EAN : 978-1-4382-2312-4 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Géographique
Géorgie
Thésaurus Thématique
SOCIÉTÉ ; Biographie ; Communautarisme ; Politique sociale ; Communisme ; Homme d’État ; Indépendance nationaleRésumé : Le nom de Noé Jordania est lié au rapprochement entre la démocratie intellectuelle de la Géorgie, le prolétariat et les paysans. Il fût l'auteur du programme national et agraire du parti. Il resta président du Soviet de Tiflis, du Centre régional des Soviets, du Comité Central du Parti. Tous les sociaux-démocrates de Géorgie le considérait comme leur chef. Le ministre social-démocrate aussi bien que les mécontents du gouvernement, le consultaient. C'est à la satisfaction de tout le monde qu'il fût nommé Chef du Gouvernement. La force principale de Jordania résidait dans un don exceptionnel de vrai chef politique - celui de discerner la voie à prendre par le peuple, associé à un immense fond de bon sens pratique, une faculté de travail considérable, une grande persévérance, une grande prudence, convaincu que toute situation peut avoir une issue favorable. Refusant la capitulation, Noé Jordania s'est consacré jusqu'à la fin de sa vie (1953) au combat pour l'indépendance de la Géorgie. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46302 Exemplaires (1)
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