Résumé : |
Alors que la précarité sous toutes ses formes s'aggrave, les grandes entreprises de la planète, y compris en France, affichent des profits insolents et rémunèrent très confortablement leurs dirigeants. Un capitalisme qui prospère grâce à des investissements à court terme, mais qui profite de la mondialisation pour faire pression sur les salaires, est responsable de cette situation paradoxale. En ne préparant pas l'avenir, il n'évitera pas une nouvelle crise. La correction de cette dérive est de la responsabilité de chacun des acteurs. |