

En mars 2013, la République centrafricaine a vu le nombre de conflits armés se multiplier sur son territoire, notamment avec le groupe Seleka qui a profité de l'ancrage de sa rébellion pour provoquer un coup d'État à Bangui. Les groupes de défense comme Anti-Balaka et les "Nomadic pastoralists" (pastoralistes nomades) tentent d'endiguer ces mouvements en vain. Néanmoins le pays enregistre une inquiétude grandissante par rapport à l'accroissement de ces violences, fait inédit lors du coup d'État précédent. L'inaction gouvernementale est surtout due à un manque total de présence de l'État dans les régions concernées, qui contient déjà difficilement les conflits dans la capitale Bangui, notamment en raison du nombre conséquent d'armes depuis la rébellion. Affiché comme priorité, un projet de désarmement, de démantèlement des groupes et une réhabilitation au sein du pays pour réapprendre à vivre ensemble, devrait voir le jour.
Public :
https://www.alnap.org/system/files/content/resource/files/main/drc-avr-assessment-car.pdf
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Exemplaires (2)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
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13075 | W | document électronique | DISPONIBLE SUR LE WEB | Disponible |
BIOF201310CENDRC | BIOF AFR N4.71 | document électronique | 69 - BIOFORCE (Vénissieux) | Disponible |
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