
Tous les participants dessinent les mêmes projets : il faut changer la nature de la production économique, en limitant la consommation, en relocalisant la production, en fixant des taxes écologiques. Des produits plus chers, mais durables et réparables -dont la création et la distribution exigent le développement de transports groupés, notamment du ferroutage - sont créateurs d'emplois locaux. Il faut aussi partager le travail, promouvoir l'agroécologie grâce à la formation de nouvelles générations à ces techniques. F. Briens ajoute que ce changement exige une flexibilité des emplois qui doit être compensée par une sécurité accrue des personnes, à qui doivent être assurées de façon inconditionnelle les ressources minimales nécessaires à une vie décente.
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