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[article]La répression de la dissidence reste une priorité du régime en Chine - In : ASIALYST, 3 octobre 2025 (03/10/2025), 03/10/2025,
La chasse impitoyable à toute forme de dissidence ou de déviance idéologique demeure l’une des priorités du régime chinois (enlèvements et emprisonnements abusifs des opposant·es, répression des manifestations en faveur de la culture tibétaine, censure des arts jugés non orthodoxes, violation des droits humains et de la liberté d'expression, etc.). Celles et ceux qui dérangent sont systématiquement châtié·es, alors que le pouvoir absolu incarné le président Xi Jinping devrait s'estimer assez fort pour faire fi d’expressions non conformes à l’idéologie communiste, qui ne représentent guère de danger pour la stabilité du régime chinois. https://asialyst.com/fr/2025/10/03/repression-dissidence-reste-priorite-regime-chine/
[article]La désinformation, l’arme de destruction massive de Pékin à Taïwan - In : ASIALYST, 19 septembre 2025 (19/09/2025), 19/09/2025,
L’une des armes les plus redoutables dont dispose la Chine contre Taïwan est la désinformation, grâce à des techniques de plus en plus sophistiquées telles que l'intelligence artificielle (IA), qui permet de cloner des personnages et de modifier leurs propos pour salir leur réputation. La Chine diffuse également des "fake news" de manière massive sur les réseaux sociaux et les plateformes numériques, ainsi que des clips vidéos au contenu détourné. La désinformation d'État est difficile à endiguer, l’objectif chinois étant de semer la confusion dans l’opinion publique taïwanaise, afin de saboter les fondements de la démocratie. https://asialyst.com/fr/2025/09/19/desinformation-arme-destruction-massive-pekin-taiwan/
Malgré des différences, l'histoire du Tibet et du Xinjiang présente beaucoup de similitudes. Les deux régions ont été annexées à la Chine en 1950, un an après l'arrivée au pouvoir de Mao Zedong. Depuis cette date, elles connaissent une répression impitoyable qui s'articule autour d'une surveillance très étroite de la population, des sévices physiques et psychologiques, une immigration importante de Han (Chinois de souche) et une politique d'assimilation sur les plans de la culture, de la religion et de la langue.
[texte imprimé]Tibet mort ou vif DONNET, Pierre-Antoine, BADINTER, Elisabeth - PARIS : GALLIMARD, 1993/09, 416 P.
Depuis l'annexion du Tibet par la Chine en 1950, un véritable génocide linguistique et culturel sévit dans ce territoire aux traditions pacifiques. Exilé depuis cette époque, le Dalaï lama, chef spirituel tibétain, parcourt le monde montrant la détermination des Tibétains à rompre le silence et sortir de cette tragédie.
Pendant des siècles, le Tibet est resté fermé au monde extérieur. Il a été annexé par la Chine en 1951 et subit depuis de grands dommages, dont on ne peut faire le bilan exact, puisque les investigations ne sont pas possibles. Onze journalistes de cinq pays confrontent leurs avis sur ce sujet.
"L’agonie du Tibet, ce n’est pas seulement des hommes assassinés, des nonnes et des prêtres torturés, des milliers de gens déportés dans des camps de rééducation, c’est aussi un véritable génocide culturel, linguistique et religieux. La sinisation systématique du Tibet est à moyen terme sa mort assurée. Et cela dans l’indifférence quasi générale" (Elisabeth Badinter, préface). Depuis l'annexion du Tibet par la Chine en 1950, un véritable génocide linguistique et culturel sévit dans ce territoire aux traditions pacifiques. Exilé depuis cette époque, le Dalaï lama, chef spirituel tibétain, parcourt le monde pour témoigner de la détermination des Tibétains à rompre le silence et à sortir de cette tragédie.
