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Auteur Ebo Houmed ALWANE |
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[texte imprimé]Djibouti : tensions socio-politiques sur fond de succession ALWANE, Ebo Houmed, - PARIS : KARTHALA, 1997, P. 85-109
"La République de Djibouti, vingt ans après son indépendance est dans une impasse sur le plan politique : le parti dominant est politiquement désavoué par la majorité de la population. Les premières élections législatives de 1992 et présidentielles de 1993 n'ont pas eu de conséquences notables sur la recomposition de la classe politique et ont au contraire renforcé la nature autoritaire du régime en place. C'est dans un climat social tendu que se terminera, en juin 1997, le premier volet du programme d'ajustement structurel recommandé par la France et le FMI. Or les finances publiques djiboutiennes sont déjà mises à mal par une mauvaise gestion publique et par la corruption politique sur fond de guerre civile. L'anomie sociale est entrecoupée de grèves ponctuelles et d'espoirs déçus de voir un homme neuf à la tête du pays ; Hassan Gouled, âgé et épuisé, a pris le soin de verrouiller sa succession." (Résumé de l'auteur).
Titre : Djibouti : tensions socio-politiques sur fond de succession Type de document : texte imprimé Auteurs : Ebo Houmed ALWANE Editeur : PARIS : KARTHALA Année de publication : 1997 Importance : P. 85-109 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86537-753-4 Note générale : Chapitre extrait de l'ouvrage : L'Afrique politique 1997.
Références bibliographiques.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Géographique
Djibouti ; France
Thésaurus Thématique
POLITIQUE ; Parti politique ; Gouvernement ; Élection ; Opinion publique ; Ajustement structurel ; Corruption ; Guerre civile ; Grève ; Mouvement populaire ; Homme d’État ; Histoire ; Ethnie ; Colonialisme ; Drogue__1 ; Économie ; Politique extérieure ; Fonds monétaire international (FMI) ; SyndicatRésumé : "La République de Djibouti, vingt ans après son indépendance est dans une impasse sur le plan politique : le parti dominant est politiquement désavoué par la majorité de la population. Les premières élections législatives de 1992 et présidentielles de 1993 n'ont pas eu de conséquences notables sur la recomposition de la classe politique et ont au contraire renforcé la nature autoritaire du régime en place. C'est dans un climat social tendu que se terminera, en juin 1997, le premier volet du programme d'ajustement structurel recommandé par la France et le FMI. Or les finances publiques djiboutiennes sont déjà mises à mal par une mauvaise gestion publique et par la corruption politique sur fond de guerre civile. L'anomie sociale est entrecoupée de grèves ponctuelles et d'espoirs déçus de voir un homme neuf à la tête du pays ; Hassan Gouled, âgé et épuisé, a pris le soin de verrouiller sa succession." (Résumé de l'auteur). Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=14315 Exemplaires (1)
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