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Auteur Paul H. DEMBINSKI |
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[texte imprimé]Marchés financiers, la vocation trahie DEMBINSKI, Paul H., SCHOENBERGER, Alain - PARIS : EDITIONS CHARLES LEOPOLD MAYER (ECLM), 1993/09, 105 P.
Le marché financier a une ou plusieurs fonctions dans la société. Ces dernières années, la finance a connu une croissance supérieure à tous les autres secteurs de l'économie : ainsi, la contribution de ce secteur à l'emploi et à la valeur ajoutée dans les pays développés ne cesse de croître. De ce fait, elle a un coût croissant pour les autres secteurs de l'économie. Parallèlement, les sociétés modernes se sont financiarisées par le biais de la multiplication des transactions et de la globalisation. Par l'intégration internationale, la puissance des marchés financiers n'a cessé de croître, rivalisant de plus en plus avec celle des gouvernements. Aujourd'hui, les marchés financiers se préoccupent peu du financement des activités productrices et du commerce, mais plutôt de gérer le patrimoine acquis. Face à cette évolution vers une financiarisation de plus en plus prononcée, qui est porteuse de fragilité pour le tissu économique et social, le défi consiste à trouver les moyens pour la domestiquer de façon à ce qu'elle n'entraîne pas les effets pervers signalés précédemment.
Titre : Marchés financiers, la vocation trahie Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul H. DEMBINSKI ; Alain SCHOENBERGER Editeur : PARIS : EDITIONS CHARLES LEOPOLD MAYER (ECLM) Année de publication : 1993/09 Collection : DOSSIER POUR UN DEBAT, ISSN 1254-9800 num. 24 Importance : 105 P. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Finance ; Système monétaire ; Bourse ; Banque ; MondialisationRésumé : Le marché financier a une ou plusieurs fonctions dans la société. Ces dernières années, la finance a connu une croissance supérieure à tous les autres secteurs de l'économie : ainsi, la contribution de ce secteur à l'emploi et à la valeur ajoutée dans les pays développés ne cesse de croître. De ce fait, elle a un coût croissant pour les autres secteurs de l'économie. Parallèlement, les sociétés modernes se sont financiarisées par le biais de la multiplication des transactions et de la globalisation. Par l'intégration internationale, la puissance des marchés financiers n'a cessé de croître, rivalisant de plus en plus avec celle des gouvernements. Aujourd'hui, les marchés financiers se préoccupent peu du financement des activités productrices et du commerce, mais plutôt de gérer le patrimoine acquis. Face à cette évolution vers une financiarisation de plus en plus prononcée, qui est porteuse de fragilité pour le tissu économique et social, le défi consiste à trouver les moyens pour la domestiquer de façon à ce qu'elle n'entraîne pas les effets pervers signalés précédemment. Type de contenu : essai, réflexion, analyse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9777 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 14617 CD FPH/DEB.24 autres textes imprimés 75 - CDTM (Paris 09) Disponible