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Auteur Claire STAM |
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[article]En Amérique du Sud, défaillances des législations agricoles - In : DEFIS SUD, édition annuelle 2017-2018 (01/12/2017), N°135, P. 72-75
Les organisations qui représentent les intérêts de la société civile et des petits exploitants en Amérique du Sud dénoncent la mainmise et les agissements de la finance sur les terres agricoles. Les lois nationales ne protègent pas suffisamment les paysans. En Équateur, malgré le "Plan Tierra", des terres ont été attribuées à des groupes inconnus, en chassant les paysans sans aucune compensation. Au Brésil, des sociétés financières étrangères contournent la loi pour acquérir des terres. En Colombie, les trafiquants de drogue possèdent près de la moitié des terres agricoles.
[article]
Titre : En Amérique du Sud, défaillances des législations agricoles Type de document : texte imprimé Auteurs : Claire STAM Année de publication : 2017 Article en page(s) : P. 72-75 Note générale : Compte-rendu des entretiens de Défis Sud avec un fermier de la Confédération paysanne ASOMAC et de Monica Vera Puebla, de l'organisation Flan Equateur, de passage en Allemagne. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Accaparement de terres ; Législation ; Économie criminelle
Thésaurus Géographique
Equateur ; Brésil ; Colombie ; Amérique du sudRésumé : Les organisations qui représentent les intérêts de la société civile et des petits exploitants en Amérique du Sud dénoncent la mainmise et les agissements de la finance sur les terres agricoles. Les lois nationales ne protègent pas suffisamment les paysans. En Équateur, malgré le "Plan Tierra", des terres ont été attribuées à des groupes inconnus, en chassant les paysans sans aucune compensation. Au Brésil, des sociétés financières étrangères contournent la loi pour acquérir des terres. En Colombie, les trafiquants de drogue possèdent près de la moitié des terres agricoles. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=73557
in DEFIS SUD > N°135 (édition annuelle 2017-2018) . - P. 72-75[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 13757 CM Défis Sud N°135 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Disponible [article]Négociations climatiques. Quelle place pour quelle agriculture ? - In : DEFIS SUD, septembre-octobre 2016 (01/09/2016), N°132, P. 6-9
Le Comité de pilotage de la Conférence mondiale sur le Climat COP 22 en a présenté les 3 axes directeurs, rassemblés dans une initiative "Triple A" : Adaptation, Agriculture, Afrique. La montée en puissance de l'Afrique a été possible grâce au fort charisme des négociateurs africains pour prendre en compte l'impact désastreux du changement climatique sur la sécurité alimentaire du continent africain. Seulement de quelle adaptation parle-ton ? et de quelle agriculture ? Le programme "4 pour mille" reste dans un flou dangereux, aux conséquences redoutables pour la souveraineté et la sécurité alimentaire, aucune remise en cause du modèle agricole industriel n'a été envisagée. Or c'est l'agriculture industrielle qui contribue à plus de 20% des rejets mondiaux de gaz à effet de serre.
[article]
Titre : Négociations climatiques. Quelle place pour quelle agriculture ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Claire STAM Année de publication : 2016 Article en page(s) : P. 6-9 Note générale : Préparation de la COP22. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Changement climatique ; Accord international
Thésaurus Géographique
Afrique ; MondeRésumé : Le Comité de pilotage de la Conférence mondiale sur le Climat COP 22 en a présenté les 3 axes directeurs, rassemblés dans une initiative "Triple A" : Adaptation, Agriculture, Afrique. La montée en puissance de l'Afrique a été possible grâce au fort charisme des négociateurs africains pour prendre en compte l'impact désastreux du changement climatique sur la sécurité alimentaire du continent africain. Seulement de quelle adaptation parle-ton ? et de quelle agriculture ? Le programme "4 pour mille" reste dans un flou dangereux, aux conséquences redoutables pour la souveraineté et la sécurité alimentaire, aucune remise en cause du modèle agricole industriel n'a été envisagée. Or c'est l'agriculture industrielle qui contribue à plus de 20% des rejets mondiaux de gaz à effet de serre. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71073
in DEFIS SUD > N°132 (septembre-octobre 2016) . - P. 6-9[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 65630 AGR SOS déf132 autres textes imprimés 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible 44003 CM Défis Sud N°132 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt [article]Accaparement des terres - In : DEFIS SUD, décembre 2013-janvier 2014 (01/12/2013), N°116, P. 21-22
Avec ProSavana (monumental projet d'industrialisation agricole dans le nord du pays), le Mozambique entend rendre son secteur agricole performant. Seulement, ce sont des consultants brésiliens et japonais qui fixent la marche à suivre et la société civile mozambicaine n'a pas son mot à dire. Cela dure depuis dix ans. L'organisation ORAM (Organisation de défense des petits exploitants) proteste contre ce programme. Les petits paysans veulent participer à sa conception et au processus de décision. 14,5 millions d'hectares sont concernés.
[article]
Titre : Accaparement des terres : Le Mozambique sur le point de céder ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Claire STAM Année de publication : 2013 Article en page(s) : P. 21-22 Note générale : Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Accaparement de terres ; Organisation paysanne ; Projet ; Agriculture intensive
Thésaurus Géographique
MozambiqueRésumé : Avec ProSavana (monumental projet d'industrialisation agricole dans le nord du pays), le Mozambique entend rendre son secteur agricole performant. Seulement, ce sont des consultants brésiliens et japonais qui fixent la marche à suivre et la société civile mozambicaine n'a pas son mot à dire. Cela dure depuis dix ans. L'organisation ORAM (Organisation de défense des petits exploitants) proteste contre ce programme. Les petits paysans veulent participer à sa conception et au processus de décision. 14,5 millions d'hectares sont concernés. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60215
in DEFIS SUD > N°116 (décembre 2013-janvier 2014) . - P. 21-22[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 52037 CM Défis sud N°116 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt [article]Afrique de l'Ouest : Comment développer la filière du lait local ? - In : DEFIS SUD, mars-avril 2016 (01/03/2016), N°129, P. 6-8
L'importation de la poudre de lait est encore nécessaire mais il faut créer les conditions nécessaires à l'essor de la filière lait locale. Levier fiscal et investissements en sont les deux piliers. Le Gret recommande d'impliquer tous les acteurs de la filière, publics comme privés, locaux comme industriels. Il faut appuyer les mini-laiteries qui font preuve d'une formidable capacité d'adaptation sur les plans structurels et commerciaux. Différents modèles sont possibles. Le Gret donne en exemple la laiterie du Berger au Sénégal, modèle hybride entre la mini-laiterie et la laiterie industrielle : elle achète entre 3500 à 4000 litres par jour auprès de 600 à 800 fournisseurs qui, sans cette structure, se trouveraient dans l'incapacité de vendre ces volumes faute de marché urbain dans les environs. En Afrique de l'Ouest, la filière n'est pas homogène : le Sénégal se distingue par la faiblesse de sa production nationale, alors qu'aux Burkina, Mali ou Niger, la production couvre la majorité des besoins.
[article]
Titre : Afrique de l'Ouest : Comment développer la filière du lait local ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Claire STAM Année de publication : 2016 Article en page(s) : P. 6-8 Note générale : L'article est la synthèse d'une note de l'ONG française GRET (Groupe de Recherches et d’Échanges Technologiques) ; illustration d'une affiche couleur revalorisant la chaîne du lait. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Élevage ; Lait ; Production agricole ; Commercialisation ; Industrie agroalimentaire
Thésaurus Géographique
Afrique de l'ouestRésumé : L'importation de la poudre de lait est encore nécessaire mais il faut créer les conditions nécessaires à l'essor de la filière lait locale. Levier fiscal et investissements en sont les deux piliers. Le Gret recommande d'impliquer tous les acteurs de la filière, publics comme privés, locaux comme industriels. Il faut appuyer les mini-laiteries qui font preuve d'une formidable capacité d'adaptation sur les plans structurels et commerciaux. Différents modèles sont possibles. Le Gret donne en exemple la laiterie du Berger au Sénégal, modèle hybride entre la mini-laiterie et la laiterie industrielle : elle achète entre 3500 à 4000 litres par jour auprès de 600 à 800 fournisseurs qui, sans cette structure, se trouveraient dans l'incapacité de vendre ces volumes faute de marché urbain dans les environs. En Afrique de l'Ouest, la filière n'est pas homogène : le Sénégal se distingue par la faiblesse de sa production nationale, alors qu'aux Burkina, Mali ou Niger, la production couvre la majorité des besoins. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69297
in DEFIS SUD > N°129 (mars-avril 2016) . - P. 6-8[article]Exemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 65633 AGR SOS déf129 autres textes imprimés 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible 63023 CM Défis-Sud N° 129 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt BU HDL 0063563 PV 63/129 autres textes imprimés 69 - BU HDL (Lyon) Disponible [article]Se nourrir demain : Les alternatives agricoles positives ALTIERI, Miguel A. - In : DEFIS SUD, juin-juillet 2015 (01/06/2015), N°125, P. 10-27
Ces dernières décennies une prise de conscience croissante des limites et des contradictions du système agro-industriel productiviste a amené à ce que s'organisent des résistances et des alternatives susceptibles de proposer de nouvelles façons de penser et de pratiquer l'agriculture. Alors que le modèle dominant démontre des limites et des contradictions, de nombreuses alternatives voient le jour et tentent de répondre aux grands enjeux alimentaires de demain. Ces alternatives prennent en compte la spécificité des systèmes alimentaires. La transition requiert un accompagnement des agriculteurs. Le rôle joué par l'agriculture familiale est prioritaire, car ce sera l'agriculture de demain.
[article]
Titre : Se nourrir demain : Les alternatives agricoles positives Type de document : texte imprimé Auteurs : Nel VAN SLIJPE ; Miguel A. ALTIERI ; Claire STAM Année de publication : 2015 Article en page(s) : P. 10-27 Note générale : Dossier de 7 articles :
* Les alternatives agricoles positives
* Pas d'alternatives sans mouvements sociaux
* Pas d'alternative durable sans conviction de l'Etat
* Breveter les alternatives positives
* Bolivie. Modes de production alternatifs à El Alto
* Burkina Faso. Innover sans abîmer
* Wallonie. Dépasser le "small is beautiful".Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Technique agricole ; Technique alternative ; Agriculture paysanne ; Stratégie alimentaire ; Politique agricole ; Innovation ; Mouvement populaire ; Protection de l'environnement ; Brevetabilité du vivant ; Agriculture urbaine ; Organisation paysanne
Thésaurus Géographique
Chili ; Brésil ; Cuba ; Burkina Faso ; Bolivie ; BelgiqueRésumé : Ces dernières décennies une prise de conscience croissante des limites et des contradictions du système agro-industriel productiviste a amené à ce que s'organisent des résistances et des alternatives susceptibles de proposer de nouvelles façons de penser et de pratiquer l'agriculture. Alors que le modèle dominant démontre des limites et des contradictions, de nombreuses alternatives voient le jour et tentent de répondre aux grands enjeux alimentaires de demain. Ces alternatives prennent en compte la spécificité des systèmes alimentaires. La transition requiert un accompagnement des agriculteurs. Le rôle joué par l'agriculture familiale est prioritaire, car ce sera l'agriculture de demain. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66700
in DEFIS SUD > N°125 (juin-juillet 2015) . - P. 10-27[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 60242 CM DéfisS N°125 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt [article]Transformer l'agriculture familiale MISSER, François - In : DEFIS SUD, juin-juillet 2014 (01/06/2014), N°119, P. 7-30
Pour prouver que l'agriculture familiale est un modèle à défendre, il faut convaincre les Etats de mener des politiques volontaristes et souveraines de rénovation de l'agriculture. La première étape d'une politique efficace consiste à identifier les forces et les faiblesses de l'agriculture familiale, pour mieux savoir comment la transformer utilement. C'est ce que préconise Mamadou Goïta, le directeur de l'Irpad/Afrique dans un entretien. Les exploitations familiales savent très bien faire preuve de dynamisme social et économique. Les assemblées de famille qui se déploient actuellement au Sénégal en sont une des meilleures illustrations, si l'on en croit le témoignage de Nadjirou Sall, agriculteur sénégalais. Cependant, l'agriculture familiale doit affronter un défi majeur : l'abandon des terres par les jeunes générations d'agriculteurs qui préfèrent migrer vers les grands centres urbains. Il est urgent de rendre ce système agricole plus attractif en créant des emplois. Tout n'est pas négatif dans l'urbanisation rapide des pays du Sud : elle entraîne la création d'espaces hybrides, mi-villes mi-villages, qui ont un rôle à jouer dans le développement et la modernisation de l'agriculture. On assiste là à la naissance de trois types d'agriculture : une horticulture de survie, une agriculture commerciale sur des parcelles plus grandes, une petite agriculture mixte, pour l'autoconsommation et pour la rente. A l'opposé, le gouvernement congolais projette la création de parcs agro-industriels financés par des investisseurs privés étrangers. Cette politique agricole est combattue par les associations de défense de l'agriculture familiale. En Bolivie, le Plan national de développement, semble favoriser les petits, dans le cadre d'un programme qui a comme pilier fondamental la souveraineté alimentaire. Mais, en même temps, le cadre juridique avantage les entreprises privées nationales et internationales. Au Burkina Faso, des organisations ont su créer des liens durables avec le marché et travaillent à faire de l'agriculture familiale une source de revenu solide, enrichissante pour tous leurs membres, avec la solidarité comme valeur fondamentale. C'est également l'objectif de l'initiative AGIR au Sahel (Alliance globale pour l'Initiative Résilience) fondée à Bruxelles en 2012. Ainsi, à l'heure actuelle, 70% des personnes en situation de pauvreté extrême (moins de 1,25 dollar par jour) dépendent de l'agriculture. Face à cette situation d'urgence, le Comité de la sécurité alimentaire mondiale (CSA) propose d'investir dans la petite agriculture afin de garantir de la nourriture pour tous à long terme.
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