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Auteur Antonio GAMBINI |
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[document électronique]Travail forcé ACHACT (Actions consommateurs travailleurs), GAMBINI, Antonio - NAMUR (BELGIQUE) : ACTIONS CONSOMMATEURS TRAVAILLEURS (ACHACT), 2023/11, 9 P.
Travail forcé, traite d’êtres humains, le nombre de personnes concernées par l'esclavage moderne augmente de façon alarmante, notamment dans les filières mondialisées de la confection. Au moment où l’Union européenne (UE) négocie une directive sur le devoir de vigilance des entreprises, elle discute également une proposition de règlement, émise par la Commission européenne en 2022, visant l’interdiction des produits issus du travail forcé sur le marché de l’UE. Antonio Gambini, en charge du plaidoyer pour la Coalition européenne du réseau Clean Clothes Campaign, analyse les enjeux liés au travail forcé dans l’industrie de l’habillement, puis il revient sur la proposition de règlement de la Commission européenne, avant de conclure sur le processus législatif en cours.
Public :
https://www.achact.be/content/uploads/2023/11/202311_Analyse_Interdire-les-produits-issus-du-travail-force-dans-lUE.pdf
Titre : Travail forcé : Interdire les produits issus du travail forcé dans l'UE ? Type de document : document électronique Auteurs : ACHACT (Actions consommateurs travailleurs), Coordinateur ; Antonio GAMBINI Editeur : NAMUR [BELGIQUE] : ACTIONS CONSOMMATEURS TRAVAILLEURS (ACHACT) Année de publication : 2023/11 Importance : 9 P. Format : fichier pdf Note générale : Notes de bas de pages. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Conditions de travail ; Droit du travail ; Esclavage ; Industrie textile ; Législation ; Multinationale ; Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) ; Union européenne (UE)
Thésaurus Géographique
EuropeRésumé : Travail forcé, traite d’êtres humains, le nombre de personnes concernées par l'esclavage moderne augmente de façon alarmante, notamment dans les filières mondialisées de la confection. Au moment où l’Union européenne (UE) négocie une directive sur le devoir de vigilance des entreprises, elle discute également une proposition de règlement, émise par la Commission européenne en 2022, visant l’interdiction des produits issus du travail forcé sur le marché de l’UE. Antonio Gambini, en charge du plaidoyer pour la Coalition européenne du réseau Clean Clothes Campaign, analyse les enjeux liés au travail forcé dans l’industrie de l’habillement, puis il revient sur la proposition de règlement de la Commission européenne, avant de conclure sur le processus législatif en cours. Type de contenu : essai, réflexion, analyse En ligne : https://www.achact.be/content/uploads/2023/11/202311_Analyse_Interdire-les-produ [...] Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84787 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 45548 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 46667 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Banque mondiale : Erreur sur la marchandise MARTIN-PRÉVEL, Alice - In : DEFIS SUD, mars-avril 2016 (01/03/2016), N°129, P. 9-40
Pierre Coopman, dans le premier article explique le pouvoir, la vision et le fonctionnement de la Banque mondiale (BM) et analyse les résultats d'une étude publiée par l'Oakland Institute intitulée "Les mythes de la Banque mondiale sur l'agriculture et le développement". Mythe n°1 : la banque assure l'accès des agriculteurs à la terre (mais la Société Financière Internationale ou SFI, sa branche de financement de l'agrobusiness, encourage les investissements menant vers l'accaparement des terres). Mythe n°2 : la BM s'intéresse aux petits agriculteurs (mais la SFI promeut un modèle de titrisation des terres et la banque met l'accent sur la nécessité d'une révolution productive = productiviste). Mythe N°3 : la BM appuie le secteur privé pour renforcer in fine le secteur public et la bonne gouvernance (mais elle facilite les entreprises étrangères qui veulent exploiter les ressources naturelles). Contrairement au droit commun des organisations internationales, la gouvernance de la Banque mondiale fonctionne sur le principe du "un dollar, une voix". Ce qui prime ce n'est pas l'égalité souveraine des États, ni leur poids démographique, mais la contribution au capital des États membres qui sont également actionnaires.
[article]
Titre : Banque mondiale : Erreur sur la marchandise Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre COOPMAN ; Alice MARTIN-PRÉVEL ; Antonio GAMBINI Année de publication : 2016 Article en page(s) : P. 9-40 Note générale : Dossier de 8 articles :
* Mythes et réalités de la banque mondiale. La banque mondiale nous raconte-t-elle de belles histoires ?
* Le musée des horreurs de la banque mondiale
* Agriculture privatisée. Les indicateurs de business de la banque mondiale favorisent l'agro-industrie
* Belgique. L'opacité d'une contribution
* Pérou. Un soutien discutable
* Équateur. Le divorce manqué
* Sénégal. Un projet "inclusif" qui se perd en procédures
* Afrique de l'Ouest. Entre espoirs et craintes face aux financements de la Banque.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL ; Institutions financières internationales ; Banque mondiale (BM) ; Agriculture ; Projet de développement ; Secteur privé
Thésaurus Géographique
Belgique ; Pérou ; Equateur ; Sénégal ; Burkina FasoRésumé : Pierre Coopman, dans le premier article explique le pouvoir, la vision et le fonctionnement de la Banque mondiale (BM) et analyse les résultats d'une étude publiée par l'Oakland Institute intitulée "Les mythes de la Banque mondiale sur l'agriculture et le développement". Mythe n°1 : la banque assure l'accès des agriculteurs à la terre (mais la Société Financière Internationale ou SFI, sa branche de financement de l'agrobusiness, encourage les investissements menant vers l'accaparement des terres). Mythe n°2 : la BM s'intéresse aux petits agriculteurs (mais la SFI promeut un modèle de titrisation des terres et la banque met l'accent sur la nécessité d'une révolution productive = productiviste). Mythe N°3 : la BM appuie le secteur privé pour renforcer in fine le secteur public et la bonne gouvernance (mais elle facilite les entreprises étrangères qui veulent exploiter les ressources naturelles). Contrairement au droit commun des organisations internationales, la gouvernance de la Banque mondiale fonctionne sur le principe du "un dollar, une voix". Ce qui prime ce n'est pas l'égalité souveraine des États, ni leur poids démographique, mais la contribution au capital des États membres qui sont également actionnaires. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69264
in DEFIS SUD > N°129 (mars-avril 2016) . - P. 9-40[article]Exemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 65633 AGR SOS déf129 autres textes imprimés 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible 63023 CM Défis-Sud N° 129 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt BU HDL 0063563 PV 63/129 autres textes imprimés 69 - BU HDL (Lyon) Disponible