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Titre : |
Pour une socialisation des banques |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
94 P. |
Note générale : |
Dossier de 3 chapitres et 15 articles :
* Chapitre I : Banques et crises de la dette
* Quel est le rôle des banques privées ?
* 2007-2017 : les causes d'une crise financière qui a déjà dix ans
* Le capitalisme... ce sont les capitalistes qui en parlent le mieux
* Dexia : le CADTM et ATTAC contre l’État belge
* Chapitre II : réflexions pour une transformation radicale
* Alternatives bancaires au modèle dominant : banques islamiques, Triodos, la NEF...
* Le bail en est-il une solution ?
* Les Sparkassen : un modèle allemand en matière de banques ?
* Mobilisation contre les privatisations de banques
* Belfius est à nous ! Modes d'action et de mobilisation
* Des outils d'éducation populaire pour de réapproprier les banques et la finance
* Les prêts toxiques : une affaire classée
* Quelques exemples historiques d'actions décisives concernant les banques
* Chapitre III : Vers la socialisation du secteur bancaire
* Que faire des banques ? Mesures immédiates pour aller vers la socialisation
* La socialisation du secteur bancaire que nous voulons
* Pourquoi la socialisation du secteur bancaire est-elle préférable au système bancaire privé actuel ? Une proposition de réponse à la lumière du cas français.
Bibliographies et notes infrapaginales, illustrations, tableaux. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Thésaurus Thématique ÉCONOMIE ; Finance ; Finance éthique ; Banque ; Crise financière ; Privatisation ; Nationalisation ; Histoire Thésaurus Géographique France
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Résumé : |
L'idée de ce dossier est de poursuivre l'élaboration d'alternatives radicales en partant du postulat que les banques telles qu'elles sont aujourd'hui, font peser une charge très lourde sur les Etats et les populations : coût des crises et de l'austérité choisie pour les payer, coût des activités dévastatrices des banques, coût des choix qui nous sont imposés par les financements qu'elles privilégient. La fragilité des banques ne provient pas du poids des dettes publiques. Les banques privées ont une grande responsabilité dans le déclenchement des crises financières. La dérégulation du système bancaire concédée par les États du Nord depuis les années 1970 leur a donné un pouvoir sans limite. Après avoir exposé dans la première partie les dysfonctionnements des banques et leur logique de court terme, le deuxième chapitre est consacré aux réflexions pour une transformation radicale des banques et évoquent les premières mobilisations qui posent les jalons d'une pensée et d'une action vers la socialisation du système bancaire. Dans la dernière partie, l'histoire bancaire française fournit une analyse des débats qui ont eu cours depuis près d'un siècle et montre pourquoi la socialisation est souhaitable, un projet politique vital, au-delà d'une visée strictement économique et pour une réelle pratique économique. |
Type de contenu : |
essai, réflexion, analyse |
Permalink : |
https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=76868 |
in LES AUTRES VOIX DE LA PLANETE (AVP) > N°75 (2e trimestre 2018) . - 94 P.
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