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[article]Résistance au libre échange en Inde : les mouvements paysans montrent la voie GRAIN (Genetic resources action international) - In : ALTERNATIVES SUD, 2e trimestre 2021 (01/06/2021), VOL. 28-2021/2, P. 79-86
La décision de l'Inde de se retirer du grand accord de libre échange asiatique (Partenariat régional économique global ou RCEP) est le résultat d'une mobilisation populaire de plusieurs années. Les mouvements paysans ont été la cheville ouvrière d'un travail de sensibilisation en profondeur sur les conséquences néfastes de l'accord. La résistance s'est progressivement élargie aux autres secteurs de l'économie et aux partis d'opposition.
[article]
Titre : Résistance au libre échange en Inde : les mouvements paysans montrent la voie Type de document : texte imprimé Auteurs : ICCFM (Comité indien de coordination des mouvements paysans) ; GRAIN (Genetic resources action international) Année de publication : 2021 Article en page(s) : P. 79-86 Note générale : Bibliographie, résumé. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Accord économique ; Libre échange ; Relations internationales ; Partenariat ; Intégration économique régionale ; Résistance ; Mouvement populaire ; Paysannerie
Thésaurus Géographique
IndeRésumé : La décision de l'Inde de se retirer du grand accord de libre échange asiatique (Partenariat régional économique global ou RCEP) est le résultat d'une mobilisation populaire de plusieurs années. Les mouvements paysans ont été la cheville ouvrière d'un travail de sensibilisation en profondeur sur les conséquences néfastes de l'accord. La résistance s'est progressivement élargie aux autres secteurs de l'économie et aux partis d'opposition. Type de contenu : essai, réflexion, analyse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=79484
in ALTERNATIVES SUD > VOL. 28-2021/2 (2e trimestre 2021) . - P. 79-86[article]Exemplaires (8)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 49738 ALT-S 21-2 autres textes imprimés 31 - CIDES (Toulouse) Disponible 49736 CM G1863 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Disponible 49742 81/104 autres textes imprimés 54 - CLID (Nancy) Disponible BUHDL391932 PV 162/28-2 autres textes imprimés 69 - BU HDL (Lyon) Disponible 49744 RI-GEN-POL autres textes imprimés 69 - FORUM REFUGIES (Lyon) Disponible 060/282 ECO/ASI/IND/832 autres textes imprimés 72 - MONDE SOLIDAIRE (La Flèche) Disponible 49745 ECO MON autres textes imprimés 72 - TERRE HUMAINE (Le Mans) Disponible PSS0502 ECOALT autres textes imprimés 73 - PAYS DE SAVOIE SOLIDAIRES (Chambery) Disponible [article]The meaning of Fair Trade for wild plants - In : JOURNAL OF FAIR TRADE, June 2021 (01/06/2021), VOL. 2, N°2, 4 P.
Lorsqu'on veut faire du commerce équitable avec les plantes sauvages, deux objectifs contradictoires apparaissent : le premier de vouloir conserver des espèces de plantes, le second d'améliorer notablement le revenu des cueilleur·ses et de lutter contre la pauvreté. L'auteure se réfère à son travail de terrain en Inde, où une certification de commerce équitable pour des plantes sauvages a été introduite pour les raisons suivantes : réapprendre aux communautés locales la valeur oubliée des ressources naturelles (conservation), rendre les pratiques de cueillette plus durables en échange de meilleurs prix (conservation et lutte contre la pauvreté). Une étude réalisée par l'auteure en 2018 montre que la poursuite d'un seul objectif (soit conservation des plantes sauvages, soit amélioration des revenus) rend la certification plus pertinente car ciblée. Vu la rareté des plantes sauvages, il est important de clarifier l'objectif en amont de toute démarche de certification. https://www.scienceopen.com/document_file/333cc6aa-f52a-4c3a-8206-d6ae6476b4c6/ScienceOpen/jfairtrade.2.2.0001.pdf
[article]
Titre : The meaning of Fair Trade for wild plants Titre original : Commerce équitable des plantes sauvages Type de document : document électronique Auteurs : Rie MAKITA Année de publication : 2021 Article en page(s) : 4 P. Langues : Anglais (eng) Catégories : Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Agroforesterie ; Commerce équitable ; Flore ; Gestion des ressources naturelles ; Label ; Revenu
Thésaurus Géographique
IndeRésumé : Lorsqu'on veut faire du commerce équitable avec les plantes sauvages, deux objectifs contradictoires apparaissent : le premier de vouloir conserver des espèces de plantes, le second d'améliorer notablement le revenu des cueilleur·ses et de lutter contre la pauvreté. L'auteure se réfère à son travail de terrain en Inde, où une certification de commerce équitable pour des plantes sauvages a été introduite pour les raisons suivantes : réapprendre aux communautés locales la valeur oubliée des ressources naturelles (conservation), rendre les pratiques de cueillette plus durables en échange de meilleurs prix (conservation et lutte contre la pauvreté). Une étude réalisée par l'auteure en 2018 montre que la poursuite d'un seul objectif (soit conservation des plantes sauvages, soit amélioration des revenus) rend la certification plus pertinente car ciblée. Vu la rareté des plantes sauvages, il est important de clarifier l'objectif en amont de toute démarche de certification. Type de contenu : essai, réflexion, analyse En ligne : https://www.scienceopen.com/document_file/333cc6aa-f52a-4c3a-8206-d6ae6476b4c6/S [...] Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=81454
in JOURNAL OF FAIR TRADE > VOL. 2, N°2 (June 2021) . - 4 P.[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 40293 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible [article]Paradoxes verts d’un pays amazonien - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, mai-juin 2021 (02/05/2021), N°256, P. 17-20
L'industrie du balsa est fortement implantée en Équateur mais elle a fini par épuiser les plantations d’arbres pour satisfaire les exportations massives vers la Chine. La suppression de l'impôt sur les énergies renouvelables en Chine a attisé la demande en bois de balsa, qui constitue un intrant important des éoliennes. En plus des plantations d’arbres de balsa établies, la très forte demande chinoise a poussé les producteur·rices de l'Amazonie équatorienne à s’approvisionner en sources forestières, ce qui a repoussé la frontière des plantations jusqu'aux zones de végétation naturelles et jusqu'à des fermes paysannes vivant de l'agroforesterie. Cette ruée a augmenté non seulement la déforestation du balsa, mais aussi d’autres essences de bois commercialisées illégalement, ce qui menace les terres des populations amazoniennes et, par conséquent, leur autosuffisance alimentaire. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin-256_FR.pdf
[article]
Titre : Paradoxes verts d’un pays amazonien Type de document : document électronique Auteurs : Acción Ecológica Équateur Année de publication : 2021 Article en page(s) : P. 17-20 Note générale : Une photographie, notes. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Agriculture intensive ; Agriculture d'exportation ; Autosuffisance alimentaire ; Bois ; Déforestation ; Droit des peuples ; Peuple autochtone
Thésaurus Géographique
Amazonie ; Equateur ; ChineRésumé : L'industrie du balsa est fortement implantée en Équateur mais elle a fini par épuiser les plantations d’arbres pour satisfaire les exportations massives vers la Chine. La suppression de l'impôt sur les énergies renouvelables en Chine a attisé la demande en bois de balsa, qui constitue un intrant important des éoliennes. En plus des plantations d’arbres de balsa établies, la très forte demande chinoise a poussé les producteur·rices de l'Amazonie équatorienne à s’approvisionner en sources forestières, ce qui a repoussé la frontière des plantations jusqu'aux zones de végétation naturelles et jusqu'à des fermes paysannes vivant de l'agroforesterie. Cette ruée a augmenté non seulement la déforestation du balsa, mais aussi d’autres essences de bois commercialisées illégalement, ce qui menace les terres des populations amazoniennes et, par conséquent, leur autosuffisance alimentaire. En ligne : https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin-256_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82553
in MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES > N°256 (mai-juin 2021) . - P. 17-20[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 43941 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 44758 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible N°256 - mai-juin 2021 - Une transition vers quoi ? Les injustices de l’économie "bas carbone" et des "énergies vertes" (Bulletin de MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES) / Joanna CABELLO
[n° ou bulletin]
Titre : N°256 - mai-juin 2021 - Une transition vers quoi ? Les injustices de l’économie "bas carbone" et des "énergies vertes" Type de document : document électronique Auteurs : Joanna CABELLO Année de publication : 2021 Importance : 41 P. Format : fichier pdf Note générale : Dossier comprenant :
* La transition vers une économie "bas carbone" : un camouflage vert pour un capitalisme plus destructeur, p. 2
* Véhicules électriques : moteurs de souffrance et de pollution, p. 5
* Consommation industrielle : une cause profonde de la crise, largement invisible, mais pourtant décisive, p. 12
* Paradoxes verts d’un pays amazonien, p. 17
* Énergies renouvelables et "hydrogène vert" : une destruction renouvelée ?, p. 21
* L'énergie éolienne sur la côte nord-est du Brésil et les contradictions entre "énergie propre", injustices et racisme environnementaux, p. 26
* L’"économie numérique" : consolider l'expansion de l'extraction et de la pollution, p. 30
* Une économie qui détruit la planète peut-elle être responsable, durable, renouvelable et certifiée ?, p. 35.
Notes bibliographiques, liens sitographiques, photographies, recommandations.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Déforestation ; Économie verte ; Empreinte écologique ; Énergie éolienne ; Énergie hydroélectrique ; Extractivisme ; Infrastructure ; Relation Nord-Sud ; Terres rares
Thésaurus Géographique
Amazonie ; Brésil ; Chine ; Equateur ; Indonésie ; République démocratique du Congo ; ZimbabweRésumé : Les discours trompeurs des pays du Nord sur l'économie verte, bas carbone et durable camouflent la poursuite d'un modèle fondé sur l'extractivisme des multinationales, qui repose sur la dépendance et l'exclusion des pays du Sud. Le "verdissement" affiché de l'énergie ne remet pas en cause le modèle économique dominant lié aux combustibles fossiles et se réduit à un débat sur la technologie énergétique, plutôt que sur la gestion responsable des sources d'énergie. Ce bulletin examine certains aspects de ce camouflage vert et vise à mettre en lumière les intérêts, les acteurs et les menaces qu'il permet de dissimuler. Quelques articles mettent en évidence les impacts de l'extractivisme dans différentes régions du monde : gaz au Mozambique, pourtant considéré comme "combustible propre", terres rares (nickel en Indonésie, cobalt en République démocratique du Congo, diamant au Zimbabwe). Deux articles s'intéressent à l'énergie éolienne : parcs éoliens à grande échelle au Brésil ; exploitation forestière croissante du bois de balsa en Équateur, exporté vers la Chine pour la construction d'éoliennes. Un article traite de la production d'hydrogène vert grâce à l'énergie produite par les méga-barrages (comme le projet Grand Inga en République démocratique du Congo). Type de contenu : essai, réflexion, analyse En ligne : https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin-256_FR.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=28047 [n° ou bulletin]Contient
- [article]La transition vers une économie "bas carbone" : un camouflage vert pour un capitalisme plus destructeur - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, mai-juin 2021 (02/05/2021), N°256, P. 2-4
Les réponses dominantes à la crise climatique et à la destruction environnementale entraînent une expansion inexorable de l'économie capitaliste. Les discours sur l'énergie verte, bas carbone et durable ne font que camoufler la poursuite d'un modèle économique et politique fondé sur l'extractivisme, qui repose sur l'oppression, l'exclusion, le patriarcat et le racisme envers les communautés des pays du Sud. La transition énergétique prônée par les pays du Nord ne remet en cause aucun des problèmes systémiques à l'origine de la crise climatique et environnementale, tels que la surproduction et la surconsommation. La transition énergétique est réduite à un débat sur la technologie ou les sources d'énergie à utiliser, plutôt que sur les responsabilités, le contrôle et l'utilisation des sources d'énergie potentielles. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin-256_FR.pdf- [article]Véhicules électriques : moteurs de souffrance et de pollution - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, mai-juin 2021 (02/05/2021), N°256, P. 5-11
Les voitures électriques exigent d'énormes quantités de minéraux et de métaux, ainsi qu'un approvisionnement énergétique centralisé. Tandis que les multinationales et les gouvernements font des voitures électriques une composante essentielle de la lutte contre le changement climatique, les impacts négatifs de l'extraction des terres rares nécessaires à la production automobile sont minimisés et qualifiés d'impacts "locaux". Les multinationales affirment que les impacts seront corrigés par des pratiques commerciales plus durables, des politiques de responsabilité sociale des entreprises, des certifications, des activités minières respectueuses des forêts, ainsi qu'un recyclage accru des minéraux et des métaux. Ce discours trompeur des pseudo-avantages mondiaux masque un nouveau modèle économique synonyme d'exploitation et de pollution des pays du Sud global par les pays du Nord. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin-256_FR.pdf- [article]Consommation industrielle : une cause profonde de la crise, largement invisible, mais pourtant décisive - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, mai-juin 2021 (02/05/2021), N°256, P. 12-16
Le monde traverse une crise grave et multiforme, qui englobe la destruction de l'environnement, le changement climatique, la perte de biodiversité, la déforestation, les inégalités sociales, l'insécurité alimentaire, l'augmentation de la pauvreté et l'accaparement de terres. La consommation industrielle s'entend comme une conséquence de la logique systémique d'accumulation toujours croissante de l'économie capitaliste. Des quantités massives d'énergie sont distribuées aux industries pour alimenter leurs chaînes de production, des milliers de terres fertiles sont transformés en cultures de rapport à des fins industrielles. Cet article met en avant les points de vue de deux organisations : Justiça Ambiental! au Mozambique, qui accompagne les luttes populaires contre l'exploitation des gisements de gaz offshore et onshore ; WoMin, une alliance écoféministe africaine qui soutient les mouvements de femmes et les communautés locales contre les activités minières. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin-256_FR.pdf- [article]Paradoxes verts d’un pays amazonien - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, mai-juin 2021 (02/05/2021), N°256, P. 17-20
L'industrie du balsa est fortement implantée en Équateur mais elle a fini par épuiser les plantations d’arbres pour satisfaire les exportations massives vers la Chine. La suppression de l'impôt sur les énergies renouvelables en Chine a attisé la demande en bois de balsa, qui constitue un intrant important des éoliennes. En plus des plantations d’arbres de balsa établies, la très forte demande chinoise a poussé les producteur·rices de l'Amazonie équatorienne à s’approvisionner en sources forestières, ce qui a repoussé la frontière des plantations jusqu'aux zones de végétation naturelles et jusqu'à des fermes paysannes vivant de l'agroforesterie. Cette ruée a augmenté non seulement la déforestation du balsa, mais aussi d’autres essences de bois commercialisées illégalement, ce qui menace les terres des populations amazoniennes et, par conséquent, leur autosuffisance alimentaire. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin-256_FR.pdf- [article]Énergies renouvelables et "hydrogène vert" : une destruction renouvelée ? - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, mai-juin 2021 (02/05/2021), N°256, P. 21-25
Les énergies renouvelables à l'échelle industrielle se positionnent comme une solution à la consommation d'énergie toujours croissante des pays du Nord. De nombreux acteurs poussent à l'augmentation de leur capacité de production et d'utilisation de l'"hydrogène vert" dans le cadre des plans de relance post crise de Covid-19. Les industriels du secteur hydroélectrique font également pression pour activer la construction de grands barrages alimentés en hydrogène vert, en raison d'une émission nette zéro carbone. La production d'hydrogène vert est devenue une justification de plus qui permet à des groupes d'intérêt d'accélérer la construction d'infrastructures d'énergie renouvelable à grande échelle. Les impacts néfastes pour les communautés autochtones dus à l'accaparement des terres restent largement passés sous silence. C'est le cas du projet Grand Inga en République démocratique du Congo, avec la construction planifiée du méga barrage controversé Inga 3, qui menace les communautés habitant le long du fleuve Congo. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin-256_FR.pdf- [article]L'énergie éolienne sur la côte nord-est du Brésil et les contradictions entre "énergie propre", injustices et racisme environnementaux FERNANDES, Beatriz - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, mai-juin 2021 (02/05/2021), N°256, P. 26-29
Au Brésil, les projets énergétiques liés à l'augmentation de la demande alimentent les inégalités, les conflits, les risques et préjudices socio-
environnementaux, dus à l'accaparement des terres des peuples autochtones par un pouvoir politique basé sur la suprématie héritée de la colonisation. Malgré les conquêtes sociales, ces héritages sont ancrés dans les pratiques des pouvoirs dominants des Blancs, au détriment des populations noires, des peuples autochtones, des peuples de l'eau, des communautés quilombolas, entre autres. Dans ce contexte, même si la source de production énergétique via l'industrie éolienne au Brésil et surtout dans la Région du Nord-Est est considérée comme écologiquement plus propre, la mise en œuvre sur le terrain des complexes éoliens est marquée par la logique productiviste et dominatrice, qui contribue à la destruction de l'environnement, entrave les droits des peuples autochtones et alimente le racisme structurel. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin-256_FR.pdf- [article]L’"économie numérique" : consolider l'expansion de l'extraction et de la pollution - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, mai-juin 2021 (02/05/2021), N°256, P. 30-34
Au-delà du niveau alarmant de concentration des entreprises de l'économie numérique, les impacts socio-environnementaux de leurs activités sont patents. Ils concernent non seulement les sous-produits toxiques associés à sa production, mais aussi la pollution causée par les quantités massives d'énergie et d'eau nécessaires aux centres de données. Les quantités d’électricité supplémentaires pour faire fonctionner les bibliothèques de mégadonnées des GAFAM exercent une pression encore plus forte sur les terres forestières qui abritent les ressources hydrauliques et fossiles. L'économie numérique est loin d'être propre et ses impacts sur l'environnement, le climat et les populations autochtones sont incommensurables. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin-256_FR.pdf- [article]Une économie qui détruit la planète peut-elle être responsable, durable, renouvelable et certifiée ? - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, mai-juin 2021 (02/05/2021), N°256, P. 35-40
Pour se légitimer face aux effets dévastateurs de leurs activités, les industries extractives abusent de stratégies de "greenwashing". Les "certifications" des chaînes de production ou de matières premières, l’utilisation de concepts "verts" et les mécanismes de compensation carbone sont des tactiques dénoncées par les mouvements écologistes. Ces solutions "vertes" sont critiquées par la société civile parce qu’elles relancent la conquête mondiale des matières premières, notamment des terres rares. Le terme "durable" est si imprécis que les activités extractives ou les monocultures industrielles à des fins énergétiques peuvent s’attribuer l'étiquette de production durable ou responsable. Pour que le système économique dominant s'engage réellement dans une transition énergétique et écologique juste, il est urgent de se doter de normes et de lois internationales relatives au comportement des entreprises concernant les droits humains, l'environnement et la certification des chaînes d’approvisionnement. https://www.wrm.org.uy/sites/default/files/bulletin-pdfs/Boletin-256_FR.pdfExemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 43941 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 44758 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Vaccine equality: who gets it? - In : NEW INTERNATIONALIST, May-June 2021 (01/05/2021), N°531,
"L'accès aux vaccins anti Covid-19 ne devrait pas être réservé aux riches". Heidi Chow se mobilise pour le partage de la technologie et la levée des brevets, afin que les vaccins puissent être fabriqués partout. Certes il est satisfaisant que les populations des pays développés reçoivent des doses de vaccins pour se protéger mais il est désespérant de constater que des "gens de moindre condition" vivant dans des pays moins développés n'auront pas accès aux vaccins dans les années à venir. En 2021, la majorité des pays les plus pauvres ne peuvent vacciner que 10 % de leur population et devront attendre 2024 pour élargir la vaccination à un niveau épidémiologique satisfaisant. De nombreux pays en développement, tels que l'Inde, demandent la levée des brevets, afin de garantir le respect des droits humains fondamentaux. Vacciner en premier les populations des pays riches est non seulement injuste mais moralement répréhensible car contraire à toute mesure de prophylaxie. Autoriser qu'une vaste partie du monde ne soit pas vaccinée revient à faire circuler le virus et à étendre la pandémie, avec tous les risques de mutations qu'elle entraîne, rendant les vaccins actuels obsolètes. https://newint.org/features/2021/04/06/big-story-vaccine-equality-who-gets-it
[article]
Titre : Vaccine equality: who gets it? Titre original : Égalité vaccinale : qui y a droit ? Type de document : document électronique Auteurs : Heidi CHOW Année de publication : 2021 Note générale : Une photographie intitulée : Des représentants gouvernementaux prient devant un container de vaccins anti Covid-19 avant de les distribuer dans différents centres de vaccination à Mumbai (Bombay), Inde, janvier 2021. L'Inde est l'un des pays qui demande la levée des brevets sur les vaccins anti Covid-19. Langues : Anglais (eng) Catégories : Thésaurus Thématique
SANTÉ ; Accès à la santé ; Brevet ; Épidémie ; Industrie pharmaceutique ; Inégalité ; Pays en développement (PED) ; Relation Nord-Sud ; Vaccination
Thésaurus Géographique
IndeRésumé : "L'accès aux vaccins anti Covid-19 ne devrait pas être réservé aux riches". Heidi Chow se mobilise pour le partage de la technologie et la levée des brevets, afin que les vaccins puissent être fabriqués partout. Certes il est satisfaisant que les populations des pays développés reçoivent des doses de vaccins pour se protéger mais il est désespérant de constater que des "gens de moindre condition" vivant dans des pays moins développés n'auront pas accès aux vaccins dans les années à venir. En 2021, la majorité des pays les plus pauvres ne peuvent vacciner que 10 % de leur population et devront attendre 2024 pour élargir la vaccination à un niveau épidémiologique satisfaisant. De nombreux pays en développement, tels que l'Inde, demandent la levée des brevets, afin de garantir le respect des droits humains fondamentaux. Vacciner en premier les populations des pays riches est non seulement injuste mais moralement répréhensible car contraire à toute mesure de prophylaxie. Autoriser qu'une vaste partie du monde ne soit pas vaccinée revient à faire circuler le virus et à étendre la pandémie, avec tous les risques de mutations qu'elle entraîne, rendant les vaccins actuels obsolètes. Type de contenu : essai, réflexion, analyse En ligne : https://newint.org/features/2021/04/06/big-story-vaccine-equality-who-gets-it Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82086
in NEW INTERNATIONALIST > N°531 (May-June 2021)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 49335 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 50605 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible S.N. - avril-juin 2021 - 20 ans, le plus bel âge vraiment ? (Bulletin de LE COURRIER DE L'UNESCO) / Agnès BARDON
Permalink[article]Inde : les jeunes à l’épreuve de la crise sanitaire - In : LE COURRIER DE L'UNESCO, avril-juin 2021 (09/04/2021), S.N.,
L’Inde compte l’une des populations les plus jeunes au monde (près d’un Indien sur deux a moins de 25 ans, ce qui représente plus de 600 millions de personnes). Et beaucoup de jeunes éprouvent aujourd’hui des difficultés à entrer sur le marché du travail. Montée en flèche du chômage, études à distance dans des conditions parfois difficiles, sentiment d’isolement, retour aux tâches domestiques pour les jeunes filles issues de milieux défavorisés : les jeunes paient au prix fort la crise sanitaire liée à l'épidémie de Covid-19 et sont le plus menacé·es par le ralentissement économique. https://courier.unesco.org/fr/articles/inde-les-jeunes-lepreuve-de-la-crise-sanitaire
PermalinkN°62 - mars-avril-mai 2021 - Démocratie : avancées et reculs dans le monde (Bulletin de LES GRANDS DOSSIERS DES SCIENCES HUMAINES) / Jean-Vincent HOLEINDRE
PermalinkN°29 - avril 2021 - Industrie textile : Lutter pour survivre en temps de pandémie (Bulletin de PUBLIC EYE - LE MAGAZINE) / Ariane BAHRI
Permalink[article]Les stratégies insidieuses de l'industrie textile REGENASS, Romeo - In : PUBLIC EYE - LE MAGAZINE, avril 2021 (01/04/2021), N°29, P. 4-15
Bien avant la pandémie, les salaires de misère versés dans l'industrie textile en Asie du Sud-Est empêchaient déjà les employé.es d'épargner pour les situations d'urgence. Avec la crise du COVID-19, les pratiques irresponsables de nombreuses enseignes de la mode mettent les travailleuses du textile dans une situation d'extrême urgence. Au Cambodge, le secteur du textile est le premier employeur du pays. Depuis 2020, les conséquences de la pandémie de COVID-19 sont lourdes pour les personnes, en grande majorité des femmes, qui travaillent dans la fabrication de vêtements : des usines ferment, temporairement ou définitivement, tandis que celles qui restent actives ne reçoivent presque plus de commandes. Les stratégies d'achat irresponsables des grandes enseignes sont analysées.
Permalink[article]Love and other conspiracies - In : NEW INTERNATIONALIST, March-April 2021 (01/03/2021), N°530,
L'Inde n'est pas exempte de théories du complot : l'une des plus récentes, appelée ‘love jihad’ (djihad d'amour), engorge les tribunaux. La peur viscérale de l'Inde vis-à-vis des envahisseurs conquérants descendants du barbare Gengis Khan est toujours vivace et très éloignée de l'image du paisible musulman et ses promesses d'amour. Dans la communauté hindoue particulièrement, le concept de ‘love jihad’ et de l'enrôlement des jeunes filles hindoues par de jeunes hommes musulmans, qui les contraindraient à se convertir après le mariage pour donner naissance à des enfants musulmans, agite la société indienne. En novembre 2020, la loi sur l'interdiction de la conversion religieuse a été promulguée en Uttar Pradesh, sans grande protestation de la société civile. Dorénavant, les couples mixtes sont harcelés par une police de plus en plus zélée et témoignent d'actes de torture et d'internement illégal de jeunes mariés musulmans. https://newint.org/features/2021/02/08/love-and-other-conspiracies
Permalink[article]La lutte du peuple autochtone Kinggo pour défendre ses forêts coutumières en Papouasie SAMPERANTE, Franky - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, janvier-février 2021 (02/01/2021), N°254, P. 18-21
L'Indonésie est le premier exportateur mondial d'huile de palme, la Papouasie constituant la "nouvelle frontière" pour cette production, dont les forêts sont devenues un objectif pour les investissements. Dans les années 1990, la forêt coutumière de la communauté de cette zone a été transformée en concession forestière et cédée à la société PT Bade Makmur Orissa, une filiale du géant coréen d'huile de palme, le groupe Korindo. En 1993, profitant de ses relations étroites avec le gouvernement indonésien, Korindo a obtenu un permis d'exploitation forestière couvrant plus de terres en Papouasie que tout autre conglomérat. L'entreprise a rasé les forêts coutumières des peuples autochtones sans leur consentement, leur faisant subir des préjudices irréversibles. https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf
Permalink[article]Des parcs nationaux imposés en Thaïlande : la lutte du peuple autochtone Karen pour ses forêts et sa survie - In : MOUVEMENT MONDIAL POUR LES FORÊTS TROPICALES, janvier-février 2021 (02/01/2021), N°254, P. 5-7
En 1981, la création du parc national de Kaeng Krachan a causé l'expropriation du peuple karen de la région de Bang Kloi, en Thaïlande. En janvier 2021, après vingt années de lutte pour leur droit de vivre sur leurs territoires d'origine, les populations autochtones karen sont revenues sur leurs terres ancestrales. La pandémie de Covid-19, qui a aggravé la situation de quasi-famine de ces populations dans leur région d'accueil forcé, a montré que le retour sur leurs terres était la seule solution pour leur survie. Toutefois, la situation dans les forêts de Kaeng Krachan est tendue car les autorités du parc national accusent les communautés autochtones de défricher des parcelles de forêts, voire de détruire la forêt. Or, pour le peuple karen, revenir sur ses terres n'est pas seulement une question de survie, c'est aussi une tentative pour restaurer sa vie culturelle, son identité et sa dignité. https://www.wrm.org.uy//fr/files/2021/03/Boletin-254_FR.pdf
Permalink[texte imprimé]Afghanistan : Conflit et société AKRAM, Assem, - PARIS : L'HARMATTAN, 2021, 299 P.
La situation afghane est complexe depuis que la pays est entré en conflit en 1978 sans perspective de sortie de crise. Afin de mieux comprendre l'Afghanistan et les crises que rencontre le pays, il est nécessaire de connaitre son histoire, sa culture, sa société et sa population. A travers des portraits et des analyses géopolitiques et historiques, l'auteur nous délivre sa vision de l'Afghanistan.
Permalink[texte imprimé]Une agriculture qui répare la planète SHIVA, Vandana, CAPLAT, Jacques - ARLES : ACTES SUD, 2021/09, 550 P.
Grâce à l'expérience de trente ans de l'association paysanne indienne Navadya, fondée par Vandana Shiva, les auteur·es ont découvert comment l'agriculture peut renouer avec le vivant et devenir une source de stabilité climatique, de production vivrière performante et de renaissance de la biodiversité. Après les expériences réussies en Inde et en France, iels proposent une nouvelle aspiration pour un projet planétaire fécond.
Permalink[texte imprimé]Atlas des migrations : De nouvelles solidarités à construire WIHTOL DE WENDEN, Catherine, - PARIS : AUTREMENT, 2021/04, 95 P.
Dans cette sixième édition, Catherine Wihtol de Wenden "souligne la nécessité de toujours penser un monde qui repose sur les mobilités". Elle met en exergue quatre points d'attention :
quels sont les facteurs réels des migrations ? Quelles sont les réponses politiques apportées aux migrations ? Quelles sont les destinations des migrant·es ? Quelles sont les conséquences de la crise sanitaire sur la mobilité de chacun·e et sur la vision de l'Autre ?
Permalink[document électronique]L'avenir de l'Accord Bangladesh ou la nécessité de contraindre les entreprises à garantir les droits fondamentaux tout au long de leur chaîne de valeur ACHACT (Actions consommateurs travailleurs), - NAMUR (BELGIQUE) : ACTIONS CONSOMMATEURS TRAVAILLEURS (ACHACT), 2021/06, 12 P.
En mai 2013, l’accord sur la protection contre les incendies et la sécurité des bâtiments au Bangladesh a été adopté après de longues tractations. A travers cet "Accord Bangladesh", qui constitue un mécanisme unique et efficace pour garantir la sécurité de millions de travailleur·ses, la responsabilité des multinationales du textile est reconnue quant aux conditions de travail désastreuses de leur personnel. Initialement prévu pour cinq ans, l’accord a été prolongé à échéance du 31 mai 2021, menaçant sévèrement les avancées obtenues en matière de sécurité depuis son adoption. Son actuelle remise en question témoigne de l’urgence d’imposer des obligations contraignantes aux entreprises, seules aptes à garantir les droits humains, et de parvenir à un accord international sur la sécurité des bâtiments pour interdire les pratiques dangereuses dans les usines de vêtements.
Public :
https://www.achact.be/content/uploads/2021/06/062021_ANALYSE-Accord-Bangladesh-et-devoir-de-vigilance_achACT_VF.pdf
PermalinkVOL. 33, N°183 - janvier-mars 2021 - Chinois en France : visibles, invisibles ? (Bulletin de MIGRATIONS SOCIETE) / Juan DU
Permalink[document électronique]Comment intégrer une approche genre dans les projets climat ? Coordination SUD (Solidarité Urgence Développement), - PARIS : COORDINATION SUD (SOLIDARITE URGENCE DEVELOPPEMENT), 2021/01, 24 P.
Cette publication présente différentes expériences d'ONG afin de mettre en avant des facteurs de réussite et des points de blocage pour la prise en compte du genre sur le terrain, au sein des équipes et dès la construction d’un projet pour le climat.
Public :
https://www.coordinationsud.org/wp-content/uploads/Capitalisation-Genre-Climat-CCD_Coordination-SUD.pdf
Permalink[texte imprimé]Compendium des bonnes pratiques pour une réponse humanitaire plus verte BRANGEON, Samantha, - PLAISIANS : GROUPE URGENCE REHABILITATION DEVELOPPEMENT (GROUPE URD), 2021/06, 63 P.
En 2020, la Direction Générale d'ECHO a publié son approche pour la réduction de l’empreinte environnementale de l’aide humanitaire, encourageant tous ses partenaires à revoir à la hausse leurs ambitions pour améliorer leur empreinte climato-environnementale et concevoir des interventions plus durables sur le plan environnemental. Pour ce faire, le secteur humanitaire doit être davantage conscient de ses impacts sur l’environnement et le climat, des outils et ressources existants, mais aussi des nombreuses bonnes pratiques testées par diverses organisations à travers le monde. Ce compendium fournit des exemples de douze pratiques respectueuses de l’environnement qui ont déjà été mises en œuvre avec succès par des organisations. Leur objectif est de servir d’inspiration à d’autres organisations curieuses de savoir ce qui est nécessaire techniquement et financièrement pour mettre en œuvre différents types de projets et programmes écologiquement durables. Certaines fiches fournissent des détails sur la façon dont les questions environnementales peuvent être intégrées dans un projet humanitaire existant, d’autres montrent comment ces enjeux peuvent être abordés à un niveau plus organisationnel.
https://www.urd.org/wp-content/uploads/2021/06/DOC_EU_ENVIRONMENT_COMPENDIUM_FR_250621.pdf
Permalink[texte imprimé]Le cri afghan BARRY, Michael, - LE PRE SAINT GERVAIS : LANGUES ET MONDES/L'ASIATHEQUE, 2021/09, 618 P.
L’Afghanistan est retombé sous le joug des Talibans en août 2021, peu de temps après le retrait définitif des troupes étatsuniennes. L’auteur retrace les étapes de l'histoire du pays, décrit sa culture, analyse les conséquences des décisions qui ont conduit à la situation actuelle. Il met en avant le problème des mouvements islamistes et celui de la place des femmes afghanes dans la société. Selon lui, ce n’est qu’en prenant en compte leur place légitime dans la société que le pays pourra vivre dans la paix et la dignité. Il nous rappelle avec force que la condition de la femme, où que ce soit dans le monde, nous concerne tous.
Permalink[document électronique]DEC COVID-19 Appeal Real Time Response Review : Global Synthesis , - PLAISIANS : GROUPE URGENCE REHABILITATION DEVELOPPEMENT (GROUPE URD), 2021/02, 14 P.
En juillet 2020, le DEC a lancé un appel pour répondre à la pandémie de COVID-19 dans certains pays, parmi les plus fragiles. Les fonds ont été alloués aux 14 membres du DEC et à 42 projets dans 7 pays prioritaires où ces organisations travaillaient déjà : Afghanistan, Bangladesh, Syrie, Yémen, Somalie, Soudan du Sud et République démocratique du Congo. Cette revue en temps réel, confiée au Groupe URD par le DEC, permet de soutenir les organisations membres du DEC dans leur processus d'apprentissage tout au long de leurs interventions dans ces 7 pays affectés par la pandémie en plus de situations de pauvreté chronique, de violence, de conflits et de déplacements. L'analyse couvre les secteurs eau, hygiène, assainissement, sécurité alimentaire, moyens de subsistance, protection et assistance monétaire. Ce rapport de synthèse est complété par un rapport pour chacun des 7 pays.
Public :
https://www.urd.org/wp-content/uploads/2021/03/DEC_COVID_globalsynthesisreport_GroupeURD_2021.pdf
Permalink[texte imprimé]Le dessous des cartes AUBRY, Emilie, TETART, Frank - PARIS : TALLANDIER, 2021/09, 224 P.
Et si nous étions passés du monde d'avant au monde d'après avec la Covid-19 ? Les auteur·es proposent un atlas géographique et géopolitique qui décrypte les grandes évolutions de notre époque, de continent en continent, pour mieux comprendre les enjeux économiques et géopolitiques d'aujourd'hui et de demain.
Permalink[document électronique]Development actors at the nexus: Lessons from crises in Bangladesh, Cameroon and Somalia Development Initiatives, FAO (Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture) - BRISTOL (ROYAUME UNI) : DEVELOPMENT INITIATIVES, 2021/04, 66 P.
Ce rapport explique comment rendre opérationnel le « Triple nexus », c’est-à-dire le lien entre l’humanitaire, le développement et la paix. Il aborde cinq domaines clés : partenariats et stratégie, coordination et planification conjointe, programmation, financement et enjeux organisationnels. Ce travail se base sur les résultats d’études menées au Bangladesh, au Cameroun et en Somalie.
Public :
https://reliefweb.int/sites/reliefweb.int/files/resources/Development_actors_at_the_nexus_Lessons_from_crises_in_Bangladesh_Cameroon_and_Somalia.pdf
Permalink[texte imprimé]Les droits des migrants GAGNÉ, Johanne, MUIZON, Mathieu de - PARIS : A DOS D'ANE, 2021, 80 P.
Ce livre raconte les histoires de quatre familles qui ont tout quitté, de gré ou de force, pour démarrer une nouvelle vie ailleurs. Inspirées de faits réels, elles permettent de mieux comprendre les situations, souvent dramatiques et violentes, que vivent des millions de familles à travers le monde. Elles posent des questions simples dont les réponses sont souvent compliquées : Pourquoi partir ? Comment se reconstruire et commencer une nouvelle vie ?
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