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Organisation mondiale du commerce (OMC) |
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[texte imprimé]Gestion des ressources naturelles : droits de propriété, institutions et marchés (actes de la journée de débat du 26 novrembre 1998) SOLAGRAL (Solidarités agricoles et alimentaires), - MONTPELLIER : SOLIDARITES AGRICOLES ET ALIMENTAIRES (SOLAGRAL) COLLECTION, 1999/02, 102 P.
Le débat sur les instruments de gestion des ressources naturelles a ouvert de nouveaux champs de recherche, dans les domaines économiques et juridique. Il concerne le type de propriété, publique, privée ou collective qu'il faut associer aux biens environnementaux. Il touche aussi au rôle du marché, des institutions et des différents acteurs impliqués dans la gestion des ressources naturelles. Au niveau international, l'articulation entre les négociations multilatérales sur l'environnement (changements climatiques, biodiversité, forêts, etc.) et le système de régulation du commerce international apparaît problématique. Les mesures mises en oeuvre pour protéger l'environnement vont elles à l'encontre des règles de l'OMC visant à libéraliser les échanges ? Au niveau théorique, les instruments économiques de gestion des ressources naturelles font l'objet de nombreuses interrogations. Quel est le bien-fondé des mécanismes de marché de droits (droits d'usage ou droit à polluer) et sont applicables à l'ensemble des ressources naturelles ? Ces mécanismes conduisent-ils à une privatisation des ressources naturelles ou s'agit-il d'un simple système de gestion collective des ressources ? Sur le plan juridique, les nouvelles formes de droit, privé, public et collectif, sont également sources de questionnements : quels sont leurs effets sur la régulation de l'environnement et sur la qualité de vie des communautés locales ? Ces nombreuses questions suscitent l'émergence de conflits politiques et sociaux et nous amènent à réfléchir aux instruments de gestion des ressources naturelles qui permettraient de favoriser la qualité de vie et la répartition équitable des biens publics nécessaires au développement des générations futures. Tel a été le thème de la journée de débat, retranscrite dans ce livre. (présentation de l'éditeur).
Titre : Gestion des ressources naturelles : droits de propriété, institutions et marchés (actes de la journée de débat du 26 novrembre 1998) Type de document : texte imprimé Auteurs : SOLAGRAL (Solidarités agricoles et alimentaires) Editeur : MONTPELLIER : SOLIDARITES AGRICOLES ET ALIMENTAIRES (SOLAGRAL) COLLECTION Année de publication : 1999/02 Importance : 102 P. Note générale : L'ensemble des contributions s'organisent autour des axes suivants :
* Les instruments économiques de gestion des ressources naturelles et de l'environnement
* La biodiversité et l'attribution des droits de propriété intellectuelle sur le vivant
Un certain nombre de documents de références ont été annéxés au débat, autour des thématiques suivantes :
* Droit de propriété et environnement
* Instruments des politiques de l'environnement
* Droits de propriété intellectuelle et appropriation des ressources biologiques
* Droits des communautés et gestion des ressources naturelles
Chaque axe est complété par une bibliographie.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Géographique
Monde
Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Gestion des ressources naturelles ; Biodiversité ; Forêt ; Effet de serre ; Protection de l'environnement ; Accord ; Propriété intellectuelle ; Brevet ; Peuple autochtone ; Négociation ; Politique nationale ; Commerce international ; Organisation mondiale du commerce (OMC) ; Libéralisme ; Législation ; Droit ; Accord international ; Biens publics mondiaux
Thésaurus Autre
Politique de l'environnement ; Gouvernance mondialeRésumé : Le débat sur les instruments de gestion des ressources naturelles a ouvert de nouveaux champs de recherche, dans les domaines économiques et juridique. Il concerne le type de propriété, publique, privée ou collective qu'il faut associer aux biens environnementaux. Il touche aussi au rôle du marché, des institutions et des différents acteurs impliqués dans la gestion des ressources naturelles. Au niveau international, l'articulation entre les négociations multilatérales sur l'environnement (changements climatiques, biodiversité, forêts, etc.) et le système de régulation du commerce international apparaît problématique. Les mesures mises en oeuvre pour protéger l'environnement vont elles à l'encontre des règles de l'OMC visant à libéraliser les échanges ? Au niveau théorique, les instruments économiques de gestion des ressources naturelles font l'objet de nombreuses interrogations. Quel est le bien-fondé des mécanismes de marché de droits (droits d'usage ou droit à polluer) et sont applicables à l'ensemble des ressources naturelles ? Ces mécanismes conduisent-ils à une privatisation des ressources naturelles ou s'agit-il d'un simple système de gestion collective des ressources ? Sur le plan juridique, les nouvelles formes de droit, privé, public et collectif, sont également sources de questionnements : quels sont leurs effets sur la régulation de l'environnement et sur la qualité de vie des communautés locales ? Ces nombreuses questions suscitent l'émergence de conflits politiques et sociaux et nous amènent à réfléchir aux instruments de gestion des ressources naturelles qui permettraient de favoriser la qualité de vie et la répartition équitable des biens publics nécessaires au développement des générations futures. Tel a été le thème de la journée de débat, retranscrite dans ce livre. (présentation de l'éditeur). Type de contenu : conférence, congrès, colloque Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=23607 [texte imprimé]Globalization and Africa's options TANDON, Yash, - QUEZON CITY (PHILIPPINES) : RESEAU INTERNATIONAL DU GROUPE DU SUD (ISGN), 1999/03, 58 P.
Après avoir défini dans une première partie ce qu'il entend par mondialisation, l'auteur en analyse les instruments : FMI, Banque Mondiale, OMC, etc. Enfin, l'auteur s'interroge sur ce que devrait être le chemin de l'Afrique, après avoir critiqué les expériences russes, chinoises ou de l'Afrique orientale.
Titre : Globalization and Africa's options Titre original : Les choix de l'Afrique face à la globalisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Yash TANDON Editeur : QUEZON CITY [PHILIPPINES] : RESEAU INTERNATIONAL DU GROUPE DU SUD (ISGN) Année de publication : 1999/03 Collection : MONOGRAPH Importance : 58 P. Langues : Anglais (eng) Catégories : Thésaurus Géographique
Afrique
Thésaurus Thématique
RELATIONS INTERNATIONALES ; Mondialisation ; Banque mondiale (BM) ; Fonds monétaire international (FMI) ; Organisation mondiale du commerce (OMC) ; Agriculture ; Biodiversité ; Propriété intellectuelle ; Industrialisation ; Secteur tertiaire ; Investissement ; Capital ; ÉtatRésumé : Après avoir défini dans une première partie ce qu'il entend par mondialisation, l'auteur en analyse les instruments : FMI, Banque Mondiale, OMC, etc. Enfin, l'auteur s'interroge sur ce que devrait être le chemin de l'Afrique, après avoir critiqué les expériences russes, chinoises ou de l'Afrique orientale. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26974 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 26944 CRD FL autres textes imprimés 69 - BU HDL (Lyon) Disponible [texte imprimé]L'OMC et les droits de l'Homme "une équation difficile à résoudre" : rapport de position FIDH (Fédération internationale pour les droits humains), - PARIS : FEDERATION INTERNATIONALE POUR LES DROITS HUMAINS (FIDH), 1999/11, 24 P.
Ce rapport se place du point de vue du droit international et affirme tout d'abord la primauté de la déclaration universelle des droits de l'homme sur tout autre norme, notamment en matière de commerce international. La FIDH rappelle que, si le commerce n'est pas un fait nouveau, il doit se mettre au service des individus et pas seulement des marchés et des profits. Il est nécessaire que les échanges internationaux soient régulés de manière équitable, ce que ne fait pas l'OMC, qui sert les intérêts des puissants groupes et dont le fonctionnement n'est pas du tout démocratique. La société civile n'y est pas représentée et les négociations qui se déroulent en son sein demeurent secrètes. Le fonctionnement de l'organisme de règlement des différends (ORD) pose aussi un certain nombre de problèmes, notamment pour les pays en développement ou d'un point de vue juridique, au niveau de la charge de la preuve ou du principe de précaution qui ne peut être invoqué. Après une critique du fonctionnement, la FIDH s'attache à décortiquer les accords conclus sous l'égide de l'OMC et qui mettent en danger les droits de l'homme : droit à la santé, droit à l'alimentation, droit à l'éducation, droit à la culture, les droits du travail et le droit au travail, droit de disposer des ressources naturelles, droit au développement durable. Par exemple, l'accord relatif aux droits de propriété intellectuelle (ADPIC) doit particulièrement être revu afin de corriger certains effets qui nuisent à la sécurité alimentaire, au savoir traditionnel, à la sécurité biologique et à l'accès aux soins de santé. La FIDH défend l'idée d'une OMC réformée, axée sur le développement durable et respectueuse des normes universelles protectrices des droits fondamentaux, tant pour son fonctionnement que les conséquences de son action.
Titre : L'OMC et les droits de l'Homme "une équation difficile à résoudre" : rapport de position Type de document : texte imprimé Auteurs : FIDH (Fédération internationale pour les droits humains) Editeur : PARIS : FEDERATION INTERNATIONALE POUR LES DROITS HUMAINS (FIDH) Année de publication : 1999/11 Collection : RAPPORT Importance : 24 P. Note générale : Ce rapport de position de la FIDH (Fédération Internationale des ligues des Droits de l'Homme) s'organise en trois parties :
* La primauté du droit international des droits de l'homme
* L'institution de l'OMC : inéquité, opacité et manque de démocratie
* Les droits en danger : le cas de quelques accords spécifiques.
Le rapport se conclut par les recommandations de la FIDH.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Organisation mondiale du commerce (OMC) ; Relations internationales ; Droits humains ; Accord international ; Commerce international ; Droit international ; Libre échange ; Clause sociale ; Société civile ; Développement durable ; Droits économiques sociaux et culturelsRésumé : Ce rapport se place du point de vue du droit international et affirme tout d'abord la primauté de la déclaration universelle des droits de l'homme sur tout autre norme, notamment en matière de commerce international. La FIDH rappelle que, si le commerce n'est pas un fait nouveau, il doit se mettre au service des individus et pas seulement des marchés et des profits. Il est nécessaire que les échanges internationaux soient régulés de manière équitable, ce que ne fait pas l'OMC, qui sert les intérêts des puissants groupes et dont le fonctionnement n'est pas du tout démocratique. La société civile n'y est pas représentée et les négociations qui se déroulent en son sein demeurent secrètes. Le fonctionnement de l'organisme de règlement des différends (ORD) pose aussi un certain nombre de problèmes, notamment pour les pays en développement ou d'un point de vue juridique, au niveau de la charge de la preuve ou du principe de précaution qui ne peut être invoqué. Après une critique du fonctionnement, la FIDH s'attache à décortiquer les accords conclus sous l'égide de l'OMC et qui mettent en danger les droits de l'homme : droit à la santé, droit à l'alimentation, droit à l'éducation, droit à la culture, les droits du travail et le droit au travail, droit de disposer des ressources naturelles, droit au développement durable. Par exemple, l'accord relatif aux droits de propriété intellectuelle (ADPIC) doit particulièrement être revu afin de corriger certains effets qui nuisent à la sécurité alimentaire, au savoir traditionnel, à la sécurité biologique et à l'accès aux soins de santé. La FIDH défend l'idée d'une OMC réformée, axée sur le développement durable et respectueuse des normes universelles protectrices des droits fondamentaux, tant pour son fonctionnement que les conséquences de son action. Type de contenu : rapport, rapport d'activités Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=24883 [texte imprimé]OMC : les enjeux d'un nouveau round de négociations commerciales internationales : quel commerce, quel développement ? GRESEA (Groupe de recherche pour une stratégie économique alternative), - BRUXELLES (BELGIQUE) : OXFAM SOLIDARITE, 1999/10, 40 P.
Après une présentation de l'OMC et une critique de son fonctionnement, qui manque de transparence et de démocratie, cette brochure s'attache à analyser les enjeux des négociations au sein de l'OMC pour les pays du Sud, notamment dans le domaine agricole, mais aussi sur la question de la propriété intellectuelle, sur la question des services et sur l'accès au marché (par la réduction progressive des droits de douane). Le bilan pour les pays du Sud des précédents accords économiques (issus des négociations de l'Uruguay Round) est globalement négatif, car si ces derniers ont ouvert leurs régimes commerciaux, ils n'ont pas bénéficié de la libéralisation des échanges, qui s'est faite de manière déséquilibrée, comme le souligne le rapport de la CNUCED. Quant à l'objectif de développement durable, l'OMC ne peut être le cadre adéquat à sa réalisation, car elle défend avant tout les intérêts des grandes puissances exportatrices à la recherche de nouveaux marchés et ne fait qu'aggraver la pauvreté et les inégalités Nord Sud. Elle ne contribue pas au développement économique et social des pays du Sud. Enfin, les auteurs rappellent le rôle des autres institutions financières internationales (FMI, Banque mondiale) dans la stratégie de libéralisation que soutient l'OMC : par leurs mécanismes de coopération structurelle, le FMI, la Banque mondiale et l'OMC ont un pouvoir inégalé sur les décisions macro-économiques qui régissent le sort des peuples et une capacité de pousser les membres de l'OMC aux "consensus" nécessaires pour faire avancer la libéralisation de nouveaux secteurs. Cela se fait au détriment d'autres organisations internationales et agences de l'ONU, comme la CNUCED, où les pays du Sud avaient pu se faire entendre de manière cohérente et qui ont été totalement "désactivée" politiquement sur la scène internationale. Les auteurs craignent que cette tendance se généralise et que les organisations jugées "gênantes" par certains états du Nord soient reléguées. Ils prônent le réinvestissement d'enceintes plus politiques pour faire contre-poids à l'OMC et aux institutions de Bretton Woods.
Titre : OMC : les enjeux d'un nouveau round de négociations commerciales internationales : quel commerce, quel développement ? Type de document : texte imprimé Auteurs : GRESEA (Groupe de recherche pour une stratégie économique alternative) Editeur : BRUXELLES [BELGIQUE] : OXFAM SOLIDARITE Année de publication : 1999/10 Importance : 40 P. Note générale : Pour chacun des domaines abordés, la brochure développe un axe stratégique pour les pays du Sud. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Géographique
Monde ; Tiers Monde
Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Organisation mondiale du commerce (OMC) ; Pays en développement (PED) ; Libre échange ; Pauvreté ; Accord économique ; Agriculture ; Propriété intellectuelle ; Secteur tertiaireRésumé : Après une présentation de l'OMC et une critique de son fonctionnement, qui manque de transparence et de démocratie, cette brochure s'attache à analyser les enjeux des négociations au sein de l'OMC pour les pays du Sud, notamment dans le domaine agricole, mais aussi sur la question de la propriété intellectuelle, sur la question des services et sur l'accès au marché (par la réduction progressive des droits de douane). Le bilan pour les pays du Sud des précédents accords économiques (issus des négociations de l'Uruguay Round) est globalement négatif, car si ces derniers ont ouvert leurs régimes commerciaux, ils n'ont pas bénéficié de la libéralisation des échanges, qui s'est faite de manière déséquilibrée, comme le souligne le rapport de la CNUCED. Quant à l'objectif de développement durable, l'OMC ne peut être le cadre adéquat à sa réalisation, car elle défend avant tout les intérêts des grandes puissances exportatrices à la recherche de nouveaux marchés et ne fait qu'aggraver la pauvreté et les inégalités Nord Sud. Elle ne contribue pas au développement économique et social des pays du Sud. Enfin, les auteurs rappellent le rôle des autres institutions financières internationales (FMI, Banque mondiale) dans la stratégie de libéralisation que soutient l'OMC : par leurs mécanismes de coopération structurelle, le FMI, la Banque mondiale et l'OMC ont un pouvoir inégalé sur les décisions macro-économiques qui régissent le sort des peuples et une capacité de pousser les membres de l'OMC aux "consensus" nécessaires pour faire avancer la libéralisation de nouveaux secteurs. Cela se fait au détriment d'autres organisations internationales et agences de l'ONU, comme la CNUCED, où les pays du Sud avaient pu se faire entendre de manière cohérente et qui ont été totalement "désactivée" politiquement sur la scène internationale. Les auteurs craignent que cette tendance se généralise et que les organisations jugées "gênantes" par certains états du Nord soient reléguées. Ils prônent le réinvestissement d'enceintes plus politiques pour faire contre-poids à l'OMC et aux institutions de Bretton Woods. Type de contenu : rapport, rapport d'activités Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=24880 [texte imprimé]L'organisation mondiale du commerce COMBE, Emmanuel, - MALAKOFF : ARMAND COLIN, 1999, 95 P.
L'Organisation mondiale du commerce (OMC) a succédé au GATT en 1995 et constitue une nouvelle avancée du multilatéralisme face aux pratiques protectionnistes. Ce livre analyse les causes du protectionnisme, leurs effets sur l'économie d'un pays qui le pratique et sur le niveau de vie. Il passe ensuite en revue les différentes formes de protection : droits de douane élevés, restrictions volontaires d'exportation. Il étudie enfin les différentes politiques de lutte contre le protectionnisme, du GATT à l'OMC.
Titre : L'organisation mondiale du commerce Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuel COMBE Editeur : MALAKOFF : ARMAND COLIN Année de publication : 1999 Collection : SYNTHESE, ISSN 1286-9996 Importance : 95 P. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-01900-6 Note générale : Tableaux, cartes, bibliographie, index, glossaire. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Organisation internationale ; Commerce international ; Libre échange ; Protectionnisme ; Organisation mondiale du commerce (OMC) ; Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT)Résumé : L'Organisation mondiale du commerce (OMC) a succédé au GATT en 1995 et constitue une nouvelle avancée du multilatéralisme face aux pratiques protectionnistes. Ce livre analyse les causes du protectionnisme, leurs effets sur l'économie d'un pays qui le pratique et sur le niveau de vie. Il passe ensuite en revue les différentes formes de protection : droits de douane élevés, restrictions volontaires d'exportation. Il étudie enfin les différentes politiques de lutte contre le protectionnisme, du GATT à l'OMC. Type de contenu : essai, réflexion, analyse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25274 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 25785 CLID 1662 EC autres textes imprimés 54 - CLID (Nancy) Disponible [texte imprimé]Organisation mondiale du Commerce : Le cycle du millénaire AITEC (Association internationale de techniciens, experts et chercheurs), - PARIS : ASSOCIATION INTERNATIONALE DE TECHNICIENS, EXPERTS ET CHERCHEURS (AITEC), 1999/12, 124 P.
Ce dossier de presse expose les objectifs de l'Organisation mondiale du Commerce et les dangers qu'ils représentent, après avoir décrit l'histoire de cet organisme et son système de fonctionnement.
Permalink[texte imprimé]La proposition européenne en matière de commerce, libre-échange : libre échange ? JADOT, Yannick, - PARIS : FONDATION CHARLES LEOPOLD MAYER POUR LE PROGRES DE L'HOMME (FPH), 1999/01, 2 P.
L'UE souhaite mettre en oeuvre des zones de libre échange entre l'Europe et les pays ACP à partir de 2005. Ces derniers doivent mettre leur législation en conformité avec les accords de l'OMC et ouvrir leur marché aux produits européens face auxquels ils risquent de ne pas être compétitifs. La mise en place de ces accords de libre échange suppose une intégration régionale qui risque de se faire de manière forcée et d'aboutir à des pertes de préférences et donc de compétitivité dans certains secteurs. Le groupe ACP ainsi que les ONG émettent des critiques et demandent que les dispositions économiques des accords de Lomé soient maintenues.
Permalink[texte imprimé]Soumettre l'OMC aux droits fondamentaux de l'Homme Confédération paysanne, - BAGNOLET : CONFEDERATION PAYSANNE, 1999/11, 26 P.
Ce document retrace tout d'abord la naissance de l'OMC dans le contexte de la libéralisation des échanges commerciaux, des différents accords (Uruguay Round, Accord de Marrakech) et dénonce les conséquences néfastes de ces accords notamment dans le domaine agricole et de manière générale, l'accroissement des inégalités. La Confédération paysanne s'oppose au fonctionnement de l'OMC, qu'elle juge anti-démocratique et demande que l'OMC soit soumis au respect des droits fondamentaux de l'Homme et que les négociations qui s'y déroulent se fassent dans la transparence. Sur le plan agricole, la Confédération recommande une réforme du Codex alimentarius, la protection à l'importation, le respect de la sécurité alimentaire, le libre-choix d'un modèle de développement agricole et défend le droit des peuples à se nourrir eux-même. Des propositions concrètes pour un commerce équitable, un développement durable et solidaire, des positions d'éthique contre la marchandisation du vivant et de certains secteurs, vitaux pour l'homme (tels que la santé, l'éducation) y sont clairement exposés.
Permalink[texte imprimé]Après les feux de paille : politiques de sécurité alimentaire dans les pays du Sud et mondialisation ROCHER, Joseph, - PARIS : EDITIONS CHARLES LEOPOLD MAYER (ECLM), 1998, 88 P.
Le Sommet mondial de l'alimentation organisé par la FAO en novembre 1996 a pour objectif de réduire de moitié le nombre de personnes sous-alimentées (800 millions) d'ici 2015. Deux solutions sont proposées : l'autosuffisance alimentaire des pays du Sud ou leur approvisionnement par le marché mondial. La première voie a la faveur des Organisations non gouvernementales et s'inscrit dans la logique du droit des peuples à se nourrir eux mêmes. Pourtant, face aux crises économiques le sentiment de fierté nationale des peuples qui peuvent se nourrir eux-mêmes se disloque. En effet, ils peuvent obtenir des produits bon marché grâce aux agricultures très productives et fortement subventionnées des pays du Nord. Une leçon est à retenir : l'aide aux cultures vivrières n'est pas toujours un acte de solidarité pertinent.
Permalink[texte imprimé]La coopération de l'Union européenne avec les pays ACP : La prise en compte des organisations paysannes DANAU, Alex, - BRUXELLES (BELGIQUE) : COLLECTIF STRATEGIES ALIMENTAIRES (CSA), 1998, 48 P.
La Convention de Lomé arrive à son terme en février 2000 et les négociations pour son renouvellement ont déjà débuté.
La première partie de ce rapport retrace les grandes étapes de la constitution de la Convention de Lomé IV (1990-2000), du Traité de Rome à Lomé IV. La 2ème partie est consacrée aux organisations paysannes et en particulier à leur accès aux instruments de Lomé IV. Enfin, dans un dernier temps, ce document introduit les négociations pour la nouvelle Convention et présente les principales divergences entre l'UE et le groupe ACP à ce sujet.
Permalink[texte imprimé]Ecoféminisme MIES, Maria, SHIVA, Vandana - PARIS : L'HARMATTAN, 1998, 368 P.
Globalisation, mondialisation de l'économie sont des termes qui déferlent dans les discours en cette fin de millénaire. La recherche d'activités toujours plus productives, plus lucratives, se fait le plus souvent sans forcément réaliser que la planète nécessiterait une réorientation profonde de ses modes de production et de consommation actuels.
Désigné souvent comme un "terme nouveau pour une ancienne sagesse", "Ecoféminisme" est le fruit de la collaboration d'une scientifique du Sud, Vandana Shiva, et d'une sociologue du Nord, Maria Mies. Les deux femmes ont mis leur recherches et expériences en commun, et sont arrivées à des constats et à des perspectives similaires. Elles mettent en garde contre certaines institutions internationales, comme la Banque mondiale, le FMI, ou encore l'Organisation Mondiale du Commerce, dont les décisions engendrent l'inégale répartition des richesses et l'usage immodéré des ressources de notre planète, et qui contribuent à mettre en péril de fragiles équilibres écologiques.
Bien plus qu'un ouvrage préconisant l'extension du rôle de la femme dans la société, "Ecoféminisme" se veut pluridisciplinaire, humaniste et se présente comme une alternative à la pensée libérale grandissante.
Permalink[texte imprimé]Institutions et politiques commerciales internationales : du GATT à l'OMC PANTZ, Dominique, - MALAKOFF : ARMAND COLIN, 1998, 223 P.
"Le cycle d'Uruguay (1986-1993) a été une occasion sans précédent dans l'histoire des relations commerciales internationales de libéraliser les échanges et de redéfinir les règles du jeu applicables à l'accès aux marchés internationaux. Le 1er janvier 1995 l'OMC était créée. Elle succédait au GATT, devenant ainsi la première véritable instance "globale" de régulation des marchés internationaux. Cet ouvrage retrace la genèse de la création de l'OMC et met en perspective les principales caractéristiques et l'évolution du nouveau cadre multilatéral depuis sa création. Il présente les principes de base du système commercial multilatéral et brosse de façon synthétique l'économie des principaux accords multilatéraux issus du cycle de l'Uruguay." (Résumé de l'éditeur)
Permalink[texte imprimé]Mondialisation et développement durable : Quelles instances de régulation ? BIAGIOTTI, Isabelle, GUENEAU, Stéphane ; MONGRUEL, Sarah - MONTPELLIER : SOLIDARITES AGRICOLES ET ALIMENTAIRES (SOLAGRAL) COLLECTION, 1998, 78 P.
Documents de base "pour comprendre, anticiper, débattre".
Permalink[texte imprimé]Pour un commerce équitable : Expériences et propositions pour un renouvellement des pratiques commerciales entre les pays du Nord et ceux du Sud ALBERT, Odile, ritimo (Réseau d'information et de documentation pour le développement durable et la solidarité internationale) ; SOLAGRAL (Solidarités agricoles et alimentaires) - PARIS : EDITIONS CHARLES LEOPOLD MAYER (ECLM), 1998, 167 P.
En trente ans, même s'il reste marginal par rapport aux formes classiques du commerce, le mouvement du commerce équitable en Europe a su s'imposer et s'adapter. D'abord conçu pour apporter une aide spécifique à des groupements de producteurs particulièrement défavorisés des pays du Sud, il a progressivement réussi à affirmer les injustices des règles du commerce international pour les plus pauvres des pays pauvres. Cet ouvrage, à partir de 32 fiches, présente la vitalité de ce mouvement et ses différentes facettes. Il expose aussi les grandes préoccupations qui surgissent des règles du commerce international et que laisser faire les lois du marché présente bien des écueils. L'opinion publique des consommateurs européens réagit de plus en plus favorablement à toutes ces questions. Réconcilier l'économique et le social est du domaine du possible.
Permalink[texte imprimé]Rapport sur l'Accord multilatéral sur l'investissement (AMI) : rapport intérimaire - septembre 1998 LALUMIERE, Catherine, LANDAU, Jean-Pierre ; GLIMET, Emmanuel - PARIS : COUR DES COMPTES, 1998/09, N.P.
Ce rapport analyse les raisons de la contestation de l'opinion publique face aux négociations de l'AMI, Accord multilatéral sur l'investissement. Il prend note de l'importance de la société civile dans ce mouvement d'opposition. Il propose de nouvelles bases pour redémarrer cet accord. L'OCDE ne semble pas être la bonne structure et l'enceinte des négociations devrait se trouver à l'OMC.
Permalink[texte imprimé]Stratégies des multinationales : Résistances sociales : Dix fiches pour comprendre HORMAN, Denis, GRESEA (Groupe de recherche pour une stratégie économique alternative) - BRUXELLES (BELGIQUE) : GROUPE DE RECHERCHE POUR UNE STRATEGIE ECONOMIQUE ALTERNATIVE (GRESEA), 1998, 117 P.
Les sociétés transnationales sont bien souvent en haut de l'échelle de l'économie mondiale. Elles dictent parfois aux États la politique économique à suivre : la mondialisation. Face à la puissance de ces sociétés transnationales, que peuvent les syndicats, les ONG et les autres associations ? Afin de contrer la logique des grandes organisations internationales financières comme le FMI (Fonds Monétaire International) ou la Banque mondiale, ce document fait prendre conscience du danger que la mondialisation peut engendrer. Sous forme de dix fiches pédagogiques, il alimente le débat sur les résistances sociales à ce sujet.
Permalink[texte imprimé]Le Sud face à la mondialisation : 10 alternatives pour l'emploi ARTICO, Alfonso, CRABBE, Carole - POITIERS : ORGANISATION POUR LA RECHERCHE, LA COMMUNICATION ET L'ACTION EN FAVEUR D'UN DEVELOPPEMENT SOLIDAIRE ENTRE LE NORD ET LE SUD (ORCADES), 1998, 96 P.
"Partout dans le monde, des hommes et des femmes, parfois des enfants, mènent des luttes sociales, prennent des initiatives, inventent des alternatives, organisent des résistances. Ils sont chômeurs, exclus, ouvriers, paysans sans terre, victimes du racisme, pauvres urbains, peuples indigènes, étudiants, intellectuels, migrants, petits commerçants, hors castes, issus de classes moyennes en déclin ou simples citoyens. Ils affirment leur dignité, exigent le respect de leurs droits humains ou celui du patrimoine naturel. Tous différents, à travers chacun de leurs combats, ils font face à la même vague déferlante d'une économie qui se mondialise au profit d'une minorité. Des expériences esquissées au long de ce livre, de leurs similitudes et des interactions possibles doivent se dégager des aptitudes, des leviers, des perspectives, des projets communs et, dans cette démarche, se construire des rapports de force. De ces convergences, de ces coalitions, de ces partenariats à édifier entre acteurs sociaux nationaux au Nord comme au Sud de la planète émergeront des stratégies pour des alternatives." (Préface).
Permalink[texte imprimé]Economie politique internationale et mondialisation HUGON, Philippe, - PARIS : ECONOMICA, 1997, 112 P.
Cet ouvrage rappelle les fondements de l'économie internationale et présente leurs limites dans un contexte de globalisation et de régionalisation. Il montre ensuite l'importance d'une économie politique internationale et pose la question des modes adéquats de régulation.
Permalink[texte imprimé]Les grandes questions de l'économie internationale , - PARIS : NATHAN, 1997, 448 P.
Cet ouvrage collectif pose les grandes questions de l'économie mondiale à travers la perspective actuelle de la mondialisation. Il s'articule en trois grandes parties. La première partie étudie les flux migratoires et les échanges de biens et de services (y compris la drogue). La seconde partie présente l'acteur-clef de la mondialisation : les entreprises. les mouvements de capitaux deviennent aussi importants que les échanges commerciaux et obligent les États et les syndicats à se remettre en question. La troisième partie recherche les réponses que les économies nationales apportent à la mondialisation. Certaines se replient sur le protectionnisme. Les Organisations internationales (GATT, OMC) s'efforcent de mettre en place des règles du jeux cohérentes.
Permalink[texte imprimé]Les nouvelles intégrations latino-américaines et caraïbes : régionalisme ouvert et mondialisation VAN EEUWEN, Daniel, - AIX EN PROVENCE : CENTRE DE RECHERCHES ET D'ETUDES SUR L'AMERIQUE LATINE ET LES CARAÏBES (CREALC), 1997, 389 P.
Dans les pays d'Amérique latine et des Caraïbes, sous l'influence de la globalisation de l'économie, des processus d'intégration régionale et sous-régionale se sont produits sous de multiples formes, depuis les années 1980 : marché commun, unions douanières, accords de libre-échange, correspondant à un régionalisme ouvert, cherchant une insertion compétitive dans l'économie mondiale. Cette régionalisation génère à la fois des processus de dérégulation et une diplomatie civile. La constitution de zones birégionales (Mercosur et UE) peut aider à lutter contre les forteresses. Pourtant certains chercheurs signalent un déficit démocratique dans les processus de décision.
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