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[article]Chine, Russie, Iran, Corée du Nord : le nouveau pacte des autocrates ? GUYOT, Marc - In : THE CONVERSATION, 29 avril 2024 (29/04/2024), 29/04/2024,
Le modèle démocratique libéral, combinant démocratie politique et économie de marché, n’a pas pu s’imposer à l’échelle mondiale. En Chine et en Russie, un modèle "autocratique libéral", s’est imposé au cours du temps, qui repose sur une gouvernance peu (ou pas) démocratique s’appuyant sur un mix de dirigisme et d’économie de marché pour assurer la croissance économique. En Corée du Nord et en Iran, la priorité des dirigeants est la suprématie de leurs technologies militaires et le contrôle des ressources. Dans ces quatre pays regroupés sous l'acronyme CRIC (Chine, Russie, Iran, Corée du Nord), les dirigeants sont ouvertement opposés à "l’hégémonie occidentale" et ses principes (démocratie, respect des droits humains et des libertés individuelles). Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, les CRIC coopèrent de plus en plus contre les démocraties occidentales et forment aujourd’hui une "alliance des puissances autoritaires". https://theconversation.com/chine-russie-iran-coree-du-nord-le-nouveau-pacte-des-autocrates-228058
[article]
Titre : Chine, Russie, Iran, Corée du Nord : le nouveau pacte des autocrates ? Type de document : document électronique Auteurs : Radu VRANCEANU ; Marc GUYOT Année de publication : 2024 Note générale : Liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
RELATIONS INTERNATIONALES ; Accord international ; Démocratie ; Dictature ; Géopolitique ; Impérialisme militaire ; Régime politique ; Relation Est-Ouest
Thésaurus Géographique
Chine ; Corée du nord ; Iran ; RussieRésumé : Le modèle démocratique libéral, combinant démocratie politique et économie de marché, n’a pas pu s’imposer à l’échelle mondiale. En Chine et en Russie, un modèle "autocratique libéral", s’est imposé au cours du temps, qui repose sur une gouvernance peu (ou pas) démocratique s’appuyant sur un mix de dirigisme et d’économie de marché pour assurer la croissance économique. En Corée du Nord et en Iran, la priorité des dirigeants est la suprématie de leurs technologies militaires et le contrôle des ressources. Dans ces quatre pays regroupés sous l'acronyme CRIC (Chine, Russie, Iran, Corée du Nord), les dirigeants sont ouvertement opposés à "l’hégémonie occidentale" et ses principes (démocratie, respect des droits humains et des libertés individuelles). Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, les CRIC coopèrent de plus en plus contre les démocraties occidentales et forment aujourd’hui une "alliance des puissances autoritaires". En ligne : https://theconversation.com/chine-russie-iran-coree-du-nord-le-nouveau-pacte-des [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=85188
in THE CONVERSATION > 29/04/2024 (29 avril 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 45731 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 49155 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Les guerres d’Ukraine et de Gaza vont-elles redynamiser le droit international ? - In : THE CONVERSATION, 26 mars 2024 (26/03/2024), 26/03/2024,
Le conflit russo-ukrainien et le conflit israélo-palestinien en cours, qui attirent particulièrement l’attention occidentale, pourraient conférer au droit international une dynamique nouvelle. En effet, les parties prenantes de ces deux conflits se sont saisies de l’outil judiciaire comme moyen complémentaire de combat. En réaction à l’agression russe entamée en 2014, l’Ukraine a saisi sept juridictions internationales, dont la Cour internationale de Justice (CIJ) pour des "allégations" de génocide. La Cour pénale internationale (CPI) est également impliquée pour enquêter sur les crimes de guerre et contre l'humanité qui auraient pu être commis sur le territoire ukrainien depuis la fin de l’année 2013. S’agissant de la Palestine, la dynamique judiciaire est similaire, au moins vis-à-vis de la CPI, pour enquêter sur les crimes qui auraient été commis par les autorités israéliennes depuis juin 2014, à Gaza et en Cisjordanie. https://theconversation.com/les-guerres-dukraine-et-de-gaza-vont-elles-redynamiser-le-droit-international-226253
[article]
Titre : Les guerres d’Ukraine et de Gaza vont-elles redynamiser le droit international ? Type de document : document électronique Auteurs : Samantha MARRO-BERNADOU Année de publication : 2024 Note générale : Liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
DROITS ET LIBERTÉS ; Crime de guerre ; Crime contre l'humanité ; Droit international ; Génocide ; Guerre ; Justice ; Tribunal pénal international (TPI)
Thésaurus Géographique
Israël ; Palestine ; Russie ; UkraineRésumé : Le conflit russo-ukrainien et le conflit israélo-palestinien en cours, qui attirent particulièrement l’attention occidentale, pourraient conférer au droit international une dynamique nouvelle. En effet, les parties prenantes de ces deux conflits se sont saisies de l’outil judiciaire comme moyen complémentaire de combat. En réaction à l’agression russe entamée en 2014, l’Ukraine a saisi sept juridictions internationales, dont la Cour internationale de Justice (CIJ) pour des "allégations" de génocide. La Cour pénale internationale (CPI) est également impliquée pour enquêter sur les crimes de guerre et contre l'humanité qui auraient pu être commis sur le territoire ukrainien depuis la fin de l’année 2013. S’agissant de la Palestine, la dynamique judiciaire est similaire, au moins vis-à-vis de la CPI, pour enquêter sur les crimes qui auraient été commis par les autorités israéliennes depuis juin 2014, à Gaza et en Cisjordanie. En ligne : https://theconversation.com/les-guerres-dukraine-et-de-gaza-vont-elles-redynamis [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=85005
in THE CONVERSATION > 26/03/2024 (26 mars 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 18777 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 26706 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Pourquoi y a-t-il encore des élections présidentielles en Azerbaïdjan ? - In : THE CONVERSATION, 18 mars 2024 (18/03/2024), 18/03/2024,
Après une campagne électorale qualifiée de campagne "la plus ennuyeuse de tous les temps", le scrutin s’est soldé par la cinquième victoire à l'élection présidentielle, avec 92 % des suffrages dès le premier tour, d’Ilham Aliev (au pouvoir depuis 2003, après dix années de présidence de son père Heydar Aliev). Bien que les libertés fondamentales soient régulièrement bafouées et toutes les manifestations d’opposition muselées, l'Azerbaïdjan reste un partenaire de choix pour de nombreux acteurs internationaux, en raison de ses immenses réserves de pétrole et de gaz, qui lui ont conféré une position inespérée depuis les sanctions imposées à la Russie avec l'invasion de l’Ukraine. Après un rappel historique des crises politiques qui ont émaillé l'Azerbaïdjan depuis les années 1990, l'article revient sur le simulacre de scrutin qui permet d’afficher le mirage d'une opposition à Ilham Aliev, afin de servir un récit acceptable sur la scène internationale. https://theconversation.com/pourquoi-y-a-t-il-encore-des-elections-presidentielles-en-azerba-djan-224679
[article]
Titre : Pourquoi y a-t-il encore des élections présidentielles en Azerbaïdjan ? Type de document : document électronique Auteurs : Elodie GAVRILOF Année de publication : 2024 Note générale : Liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
POLITIQUE ; Démocratie ; Élection ; Homme d’État ; Liberté politique ; Opposition ; Régime politique ; Répression
Thésaurus Géographique
AzerbaïdjanRésumé : Après une campagne électorale qualifiée de campagne "la plus ennuyeuse de tous les temps", le scrutin s’est soldé par la cinquième victoire à l'élection présidentielle, avec 92 % des suffrages dès le premier tour, d’Ilham Aliev (au pouvoir depuis 2003, après dix années de présidence de son père Heydar Aliev). Bien que les libertés fondamentales soient régulièrement bafouées et toutes les manifestations d’opposition muselées, l'Azerbaïdjan reste un partenaire de choix pour de nombreux acteurs internationaux, en raison de ses immenses réserves de pétrole et de gaz, qui lui ont conféré une position inespérée depuis les sanctions imposées à la Russie avec l'invasion de l’Ukraine. Après un rappel historique des crises politiques qui ont émaillé l'Azerbaïdjan depuis les années 1990, l'article revient sur le simulacre de scrutin qui permet d’afficher le mirage d'une opposition à Ilham Aliev, afin de servir un récit acceptable sur la scène internationale. En ligne : https://theconversation.com/pourquoi-y-a-t-il-encore-des-elections-presidentiell [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=85006
in THE CONVERSATION > 18/03/2024 (18 mars 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 19125 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 26402 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]BRICS+ : Une alternative pour le Sud global ? - In : ALTERNATIVES SUD, 1er trimestre 2024 (01/03/2024), VOL. 31-2024/1, 170 P.
Depuis une quinzaine d'années, les BRICS s'affirment sur la scène mondiale, bousculent les équilibres géopolitiques et questionnent les inégalités inhérentes au système économique postcolonial dominé par l'Occident. A l'origine, les BRICS comptaient 5 membres : Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud. Depuis le sommet de Johannesburg d'août 2023, six nouveaux pays ont intégré ce bloc : Iran, Argentine, Égypte, Arabie saoudite, Émirats arabes unis et Éthiopie. Désormais, les BRICS élargis (BRICS+) rassemblent 3,6 milliards d'habitant¸es, soit 46,6% de la population mondiale. Leur poids économique (36% du PIB mondial) dépasse celui du G7 et devrait atteindre 50% de la richesse produite mondialement d'ici 2050. Les BRICS+ contrôlent plus de la moitié des réserves d'énergie fossile et presque la moitié de la production alimentaire de la planète. Cette montée en puissance suscite un mélange de craintes ou d'enthousiasme que les auteur¸es des articles de ce dossier se proposent d'analyser.
[article]
Titre : BRICS+ : Une alternative pour le Sud global ? : Points de vue du Sud Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent DELCOURT Année de publication : 2024 Article en page(s) : 170 P. Note générale : Dossier comprenant un éditorial et 9 articles en 2 parties :
* Éditorial : BRICS+ , une perspective critique
* Première partie : les BRICS+ et le Sud global
* Les BRICS+, un nouvel anticolonialisme émancipateur ?
* Impérialisme occidental, BRICS et sous-impérialisme dans le Sud global
* La Chine et son rôle hégémonique en Amérique latine et en Argentine
* Coopération Sud-Sud et multinationales brésiliennes au Mozambique
* Deuxième partie : nouvel ordre multipolaire ?
* Les BRICS face au conflit russo-ukrainien
* Remodeler la "Nouvelle banque de développement" des BRICS
* Réaliste, le bousculement du monde voulu par les BRICS+ ?
* "Multipolarité", le mantra de l'autoritarisme
* Contre l'impérialisme multipolaire.
Bibliographies, résumés en français, index des noms de pays.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
RELATIONS INTERNATIONALES ; Relation Sud-Sud ; Coopération économique ; Mondialisation ; Impérialisme ; Décolonisation
Thésaurus Géographique
Brésil ; Russie ; Inde ; Chine ; Afrique du sud ; Egypte ; Argentine ; Arabie saoudite ; Iran ; Emirats arabes unis ; EthiopieRésumé : Depuis une quinzaine d'années, les BRICS s'affirment sur la scène mondiale, bousculent les équilibres géopolitiques et questionnent les inégalités inhérentes au système économique postcolonial dominé par l'Occident. A l'origine, les BRICS comptaient 5 membres : Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud. Depuis le sommet de Johannesburg d'août 2023, six nouveaux pays ont intégré ce bloc : Iran, Argentine, Égypte, Arabie saoudite, Émirats arabes unis et Éthiopie. Désormais, les BRICS élargis (BRICS+) rassemblent 3,6 milliards d'habitant¸es, soit 46,6% de la population mondiale. Leur poids économique (36% du PIB mondial) dépasse celui du G7 et devrait atteindre 50% de la richesse produite mondialement d'ici 2050. Les BRICS+ contrôlent plus de la moitié des réserves d'énergie fossile et presque la moitié de la production alimentaire de la planète. Cette montée en puissance suscite un mélange de craintes ou d'enthousiasme que les auteur¸es des articles de ce dossier se proposent d'analyser. Type de contenu : essai, réflexion, analyse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=85150
in ALTERNATIVES SUD > VOL. 31-2024/1 (1er trimestre 2024) . - 170 P.[article]Exemplaires (5)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 20940 ALT-S 24-1 affiche, photo 31 - CIDES (Toulouse) Disponible 11785 CM G1932 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Disponible 11778 81 autres textes imprimés 54 - CLID (Nancy) Disponible 060/311 POL/MON/664 autres textes imprimés 72 - MONDE SOLIDAIRE (La Flèche) Disponible 35576 REL GEO autres textes imprimés 72 - TERRE HUMAINE (Le Mans) Disponible [article]Lafarge, « complice de crimes contre l’humanité » en Syrie ? Vers un procès sans précédent pour une multinationale - In : THE CONVERSATION, 20 février 2024 (20/02/2024), 20/02/2024,
En 2010, l'entreprise Lafarge, géant français de la construction, crée une filiale de droit syrien pour exploiter la cimenterie de Jalabiya, dans le nord de la Syrie. En 2013-2014, en raison des violents affrontements entre les groupes armés en Syrie, dont l’État islamique, Lafarge leur aurait distribué quelque 13 millions d’euros, dont près de 10 millions d’euros pour le seul État islamique, afin de poursuivre ses activités sans être inquiété. En 2016, au vu des crimes terroristes commis dans la période, une plainte est déposée en France par le ministère de l’Économie à la suite de révélations par diverses associations et des anciens salariés de Lafarge en Syrie, conduisant à l’ouverture d’une information judiciaire. En 2018, la société Lafarge est mise en examen en tant que personne morale pour "complicité de crimes contre l’humanité, financement d’une entreprise terroriste, mise en danger de la vie d’autrui et violation d’un embargo". En janvier 2024, la Cour de cassation confirme la mise en examen. Très attendue par la société civile et les victimes, cette reconnaissance de la compétence des juridictions françaises pour juger des crimes commis à l’étranger par des multinationales constitue un tournant décisif quant à la responsabilité pénale des entreprises. https://theconversation.com/lafarge-complice-de-crimes-contre-lhumanite-en-syrie-vers-un-proces-sans-precedent-pour-une-multinationale-223499
[article]
Titre : Lafarge, « complice de crimes contre l’humanité » en Syrie ? Vers un procès sans précédent pour une multinationale Type de document : document électronique Auteurs : Catherine MAIA Année de publication : 2024 Note générale : Liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
DROITS ET LIBERTÉS ; Crime contre l'humanité ; Économie criminelle ; Financement ; Industrie ; Justice ; Multinationale ; Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) ; Terrorisme
Thésaurus Géographique
France ; SyrieRésumé : En 2010, l'entreprise Lafarge, géant français de la construction, crée une filiale de droit syrien pour exploiter la cimenterie de Jalabiya, dans le nord de la Syrie. En 2013-2014, en raison des violents affrontements entre les groupes armés en Syrie, dont l’État islamique, Lafarge leur aurait distribué quelque 13 millions d’euros, dont près de 10 millions d’euros pour le seul État islamique, afin de poursuivre ses activités sans être inquiété. En 2016, au vu des crimes terroristes commis dans la période, une plainte est déposée en France par le ministère de l’Économie à la suite de révélations par diverses associations et des anciens salariés de Lafarge en Syrie, conduisant à l’ouverture d’une information judiciaire. En 2018, la société Lafarge est mise en examen en tant que personne morale pour "complicité de crimes contre l’humanité, financement d’une entreprise terroriste, mise en danger de la vie d’autrui et violation d’un embargo". En janvier 2024, la Cour de cassation confirme la mise en examen. Très attendue par la société civile et les victimes, cette reconnaissance de la compétence des juridictions françaises pour juger des crimes commis à l’étranger par des multinationales constitue un tournant décisif quant à la responsabilité pénale des entreprises. En ligne : https://theconversation.com/lafarge-complice-de-crimes-contre-lhumanite-en-syrie [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84778
in THE CONVERSATION > 20/02/2024 (20 février 2024)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 45444 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 13325 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Proche-Orient, extrême droite RIMBERT, Pierre - In : LE MONDE DIPLOMATIQUE, février 2024 (01/02/2024), N°839, P.1, P. 10-11
Depuis le 7 octobre 2023, les grands médias français se sont distingués par leur soutien inconditionnel à Israël qui s'accompagne de leur diffamation des opinions dissidentes, de leur mise en cause des libertés publiques et de leur chasse aux immigrés. En revanche, on observe un silence assourdissant sur le martyre que Tsahal (armée israélienne) fait subir à la population de Gaza.
Permalink[article]L’inquiétante progression d’Israël dans le classement des pays par nombre de journalistes emprisonnés - In : THE CONVERSATION, 28 janvier 2024 (28/01/2024), 28/01/2024,
Selon une étude récente du Comité pour la protection des journalistes (CPJ), Israël est désormais l’un des pays qui comptent le plus grand nombre de journalistes emprisonnés, ce qui est incompatible avec une démocratie. Après un rappel du sombre classement 2023 des six premiers pays les plus répressifs (Chine, Myanmar, Biélorussie, Russie, Vietnam, Iran), le CPJ examine les accusations dont les journalistes font l’objet dans ces démocratures. En 2023, les journalistes de ces pays sont emprisonnés pour des faits qualifiés "d'atteinte aux intérêts de l’État", une notion qui recouvre des inculpations pour espionnage, terrorisme, diffusion de fausses nouvelles, etc. Concernant Israël, qui ne cesse de répéter qu’il est l’unique démocratie du Moyen-Orient et le seul pays de la région qui respecte la liberté des médias, les journalistes emprisonnés sont en "détention administrative", sont tous palestiniens originaires de Cisjordanie occupée, et tous ont été arrêtés après les attaques terroristes du Hamas le 7 octobre 2023. L’euphémisme "détention administrative" signifie en réalité que les journalistes ont été incarcérés pour une durée indéterminée, sans procès ni inculpation. https://theconversation.com/linquietante-progression-disrael-dans-le-classement-des-pays-par-nombre-de-journalistes-emprisonnes-221627
PermalinkN°45 - janvier 2024 - Madagascar : Une malédiction nommée saphir (Bulletin de PUBLIC EYE - LE MAGAZINE) / Ariane BAHRI
Permalink[article]Qui sont les Houthis, cette milice yéménite visée par les frappes américaines et britanniques ? - In : THE CONVERSATION, 15 janvier 2024 (15/01/2024), 15/01/2024,
Les Houthis, également connus sous le nom d’Ansar Allah (partisans de Dieu), sont un groupe militaire qui contrôle la majeure partie du nord du Yémen. Formée dans les années 1990, la milice porte le nom de son fondateur, Hussein Badreddin al-Houthi, et suit la branche zaïdite de l’islam chiite. Après un retour sur l'histoire de l'émergence des Houthis, l'article aborde leur prise de pouvoir, motivée par des décennies de marginalisation politique, d’exclusion économique et de répression violente de la part du gouvernement central yéménite. Depuis l'assassinat du président Ali Abdallah Saleh en 2017 par le groupe rebelle, celui-ci constitue une force majeure dans la guerre civile en cours (qui a commencé en 2014) et il s'est emparé d’une grande partie du nord du Yémen, avec la prise d’assaut de la capitale Sanaa. Aujourd’hui, les Houthis comptent environ 20 000 combattants. Depuis la mort d’al-Houthi, le mouvement est dirigé par son frère, Abdul-Malik al-Houthi, qui désigne ouvertement les États-Unis et leurs alliés comme ennemis. Depuis le début de la guerre à Gaza en octobre 2023, les Houthis ont tenté de tirer parti du conflit à travers une démonstration de puissance visant à rehausser leur statut international. Se proclamant solidaires du peuple palestinien, les Houthis ont lancé une série d’attaques contre des navires commerciaux en mer Rouge. L’attaque la plus marquante a eu lieu le 19 novembre 2023, lorsque des combattants houthis ont enlevé l’équipage d’un cargo lié à un homme d’affaires israélien. https://theconversation.com/qui-sont-les-houthis-cette-milice-yemenite-visee-par-les-frappes-americaines-et-britanniques-221149
Permalink[article]Israël devant la Cour internationale de justice : celle-ci est-elle devenue un substitut à un Conseil de sécurité dysfonctionnel ? - In : THE CONVERSATION, 11 janvier 2024 (11/01/2024), 11/01/2024,
Le 29 décembre 2023, l’Afrique du Sud a déposé devant la Cour internationale de justice (CIJ) une Requête introductive d’instance contre l’État d’Israël, stipulant que ses actions dans la bande de Gaza, initiées au nom de son droit à la légitime défense, dans la foulée des attaques menées par le Hamas le 7 octobre 2023, revêtent "un caractère génocidaire". La CIJ tient les premières audiences publiques en janvier 2024 à La Haye. Le fait que l’Afrique du Sud ait choisi de déposer sa requête devant la CIJ n’est pas anodin. En effet, non seulement le bureau du procureur de la Cour pénale internationale, qui enquête sur la situation en Palestine depuis plusieurs années, n’aboutit pas à des résultats concrets, mais le Conseil de sécurité des Nations unies, l’organe qui devrait être le principal garant du maintien de la paix et de la sécurité internationale, apparaît foncièrement dysfonctionnel. https://theconversation.com/israel-devant-la-cour-internationale-de-justice-celle-ci-est-elle-devenue-un-substitut-a-un-conseil-de-securite-dysfonctionnel-220727
Permalink[article]L'erreur stratégique d'Israël - In : LE MONDE DIPLOMATIQUE, janvier 2024 (01/01/2024), N°838, P. 20
Le 7 octobre 2023, Israël a subi un traumatisme majeur avec l'attaque du Hamas contre la population civile et des sites militaires. L'une des causes de ces évènements tragiques est le refus de ses dirigeants de favoriser une réponse politique à la question palestinienne. La guerre menée à Gaza au prétexte d'anéantir le Hamas est porteuse de futurs drames.
Permalink[article]Le Hamas revendique désormais le leadership du mouvement palestinien - In : LE MONDE DIPLOMATIQUE, janvier 2024 (01/01/2024), N°838, P. 18-19
Au fil des ans, le mouvement islamiste a connu deux mutations majeures. Il s'est renforcé sur le plan militaire et sa direction établie à Gaza a pris l'ascendant sur ses dirigeants installés à l'étranger. En lançant son attaque sanglante du 7 octobre 2023, l'organisation entend faire figure d'unique défenseur de son peuple et compte jouer un rôle politique central après la fin des combats.
Permalink[article]Haut-Karabakh : l'autodétermlnation en échec - In : DROITS ET LIBERTES, janvier 2024 (01/01/2024), N°204, P. 29-31
Le Haut-Karabagh, peuplé essentiellement d'Arméniens depuis l'Antiquité, est rattaché à l'Azerbaïdjan depuis 1921 (rattachement contesté durant la période URSS). Après diverses dominations successives, une nouvelle fois (fin 2023), les Arméniens ont été obligés de s'exiler et amenés à l'auto-dissolution du Haut-Karabagh, suite à l'agression de l'Azerbaïdjan, et cela en totale violation du droit international. Quelle nouvelle résolution ou nouveau compromis faudra-t-il pour que les Arméniens reviennent sur leurs terres et vivent enfin en pleine confiance avec leurs pays voisins ?
Permalink[article]Créer pour exister, témoigner et combattre BATNIJI, Taysir - In : LE MONDE DIPLOMATIQUE, décembre 2023 (01/12/2023), N°837, P. 14-15
Pour les artistes palestiniens, l'art relève de la résistance contre l'occupation israélienne. Cette lutte patriotique entend cultiver la mémoire nationale et effacer les effets délétères de l'exil et du déracinement. De Jérusalem à Paris, ces créateurs, bien que mondialement reconnus, n'échappent pas à la censure.
Permalink[article]Gaza : l'onde de choc BESSIS, Sophie ; ACHCAR, Gilbert - In : LE MONDE DIPLOMATIQUE, décembre 2023 (01/12/2023), N°837, P. 1 ; P. 9-15
Que vont devenir les habitant·es de Gaza ? La vengeance aveugle exercée par le gouvernement de Netanyahou après les massacres commis par le Hamas le 7 octobre 2023 laisse présager une nouvelle Nakba (catastrophe), marquée par l'expulsion des populations civiles gazaouies. Certains membres du gouvernement d'extrême droite de Tel-Aviv, ne cachent pas que c'est bien le but final de leur guerre. La plupart des pays occidentaux, en particulier l'Allemagne, sont peu enclins ou impuissants à modérer cette ardeur vengeresse, bien que les victimes des bombardements israéliens se comptent par milliers et que la situation humanitaire à Gaza soit dramatique. Cette mansuétude s'explique par l'instrumentalisation de la mémoire de la Shoah et des autres crimes antisémites. Jadis caressé par une branche du sionisme, l'espoir d'un État binational pour Juifs et Arabes fait désormais figure d'utopie.
Permalink[article]Palestine, le spectre de l'expulsion BATNIJI, Taysir - In : LE MONDE DIPLOMATIQUE, décembre 2023 (01/12/2023), N°837, P. 1 ; P. 12-13
Les représailles aveugles d'Israël en réponse aux massacres commis par le Hamas ont dévasté Gaza. Aux milliers de morts et de blessés s'ajoute désormais le risque d'un déplacement massif de Palestinien·nes. Pour l'extrême droite israélienne, dominante dans le gouvernement formé par Netanyahou fin 2022, l'opération "Déluge d'Al-Aqsa" lancée par le Hamas le 7 octobre 2023, a fourni l'occasion idéale de mettre à exécution le projet d'un Grand Israël incluant la Cisjordanie et Gaza, soit l'intégralité de la Palestine du mandat britannique (1920-1948).
Permalink[article]Peurs croisées et instrumentalisation de la mémoire BATNIJI, Taysir - In : LE MONDE DIPLOMATIQUE, décembre 2023 (01/12/2023), N°837, P. 10-11
A la crainte de la résurgence d'une judéophobie violente fait face celle des Palestinien·es d'une répétition de la Nakba (catastrophe, expulsion) de 1948. Si la prise en compte de ces deux angoisses est nécessaire pour penser la paix, il convient de ne pas oublier que, dans cette guerre, les Palestinien·n·es sont les plus faibles et les moins bien protégé·es.
Permalink[article]Le Haut-Karabagh ou comment se termine un conflit - In : ORIENT XXI, 23 novembre 2023 (23/11/2023), 23/11/2023,
Le 19 septembre 2023, l’Azerbaïdjan lance une offensive sur le territoire arménien qui lui échappe encore au Haut-Karabagh. Vaincues, les autorités arméniennes locales remettent leurs armes à l’Azerbaïdjan et se dissolvent, c'est la fin de l'indépendance. Une semaine plus tard, l’ensemble des 100 000 Arménien·nes de la région montagneuse fuient vers l’Arménie. Cet article explique la naissance du conflit au Haut-Karabagh et comment il a évolué au cours des trente-cinq dernières années jusqu'à son terme, avec l’intervention en sous-main de la Russie et de la Turquie. https://orientxxi.info/magazine/le-haut-karabagh-ou-comment-se-termine-un-conflit,6845
Permalink[article]À Gaza, l’armée israélienne respecte-t-elle le droit international ? - In : THE CONVERSATION, 12 novembre 2023 (12/11/2023), 12/11/2023,
Parmi les nombreuses voix qui ont soutenu Israël depuis le massacre du 7 octobre 2023, certaines comme le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Jake Sullivan, lui ont demandé de conduire ses opérations dans Gaza de manière à cibler le Hamas, pas la population civile. D’autres voix, moins amènes, l’ont accusé de violer le droit international. En instaurant un siège complet dès le début de l’offensive sur Gaza, Israël s’est livré à un châtiment collectif, ce qui est banni par les conventions de Genève de 1949. Mais comment une démocratie en guerre contre une organisation terroriste peut-elle respecter ce principe de distinction, dès lors que le Hamas installe ses combattants dans des sites civils ? Par ailleurs, conscients que certaines attaques sont légitimes contre des objectifs militaires pouvant entraîner des dommages collatéraux, les rédacteurs du Protocole additionnel 1 aux Conventions de Genève ont admis la licéité de telles opérations, à condition qu’elles répondent au critère de proportionnalité. Le droit international a non seulement ouvert une brèche dangereuse, mais de plus il ne fournit pas les outils nécessaires à la juste appréciation des faits en cas de suspicion d’attaque "disproportionnée", ce qui est justement reproché à Tsahal. https://theconversation.com/a-gaza-larmee-israelienne-respecte-t-elle-le-droit-international-217394
Permalink[article]Guerrières de la paix, unissons-nous ! BRADO BAHAT, Yaël - In : CLARA MAGAZINE, novembre-décembre 2023 (01/11/2023), N°200, P. 11-19
Malgré l'horreur qui règne en Palestine, depuis l'attaque du Hamas du 7 octobre et de la riposte Israélienne provoquant la mort de milliers de civils à Gaza, de la destruction de toutes les infrastructures, les guerrières de la paix poursuivent leur action militante et demandent que le droit humanitaire soit appliqué. Elles oeuvrent à créer des espaces d'échange, de dialogue et de rencontre, à créer un réseau international de militantes autour des femmes palestiniennes et israéliennes. L'ONG israélienne "Women Wage Peace" s'est rapprochée de l'organisation palestinienne "Les femmes du soleil" pour rédiger l'Appel des mères, planifier des évènements communs.Le souhait de ces organisations est de remplacer les négociateurs et "irresponsables politiques" des deux côtés par des femmes de la société civile qui veulent réellement construire la paix.
Permalink[article]How Palestine became Israel’s spyware test-bed - In : NEW INTERNATIONALIST, November-December 2023 (01/11/2023), N°546,
Après s'être servie de la Palestine comme zone-test d'espionnage dans les années 2010, la société israélienne Pegasus a vendu ses dispositifs d'espionnage aux autorités mexicaines en 2011 à l'époque de la guerre contre la drogue. Alors que ce matériel était utilisé contre le crime organisé (Pegasus s'enorgueillit d'avoir contribué à l'arrestation du chef du cartel de la drogue El Chapo en 2019), des journalistes, des dissidents, des ennemis politiques et des activistes des droits sont désormais visés, ce qui place l'Amérique centrale au premier rang mondial des utilisateurs de matériel d'espionnage israélien. Aujourd'hui, Israël est à la tête de la très florissante industrie mondiale de l'espionnage qui menace les droits humains, la liberté de la presse et la démocratie, à travers le monde. Ces technologies de la surveillance, développées dans une opacité totale par des entreprises privées sans aucun respect du droit, permettent à n'importe quel hacker d'infiltrer les données personnelles des smartphones des personnes surveillées. L'auteur a rencontré des victimes de Pegasus en Palestine, au Togo, en Arabie saoudite, au Mexique et en Inde et témoigne de leurs craintes d'être épié·es au quotidien par la police, les gangs ou les militaires. https://newint.org/features/2023/10/02/spy-games
Permalink[article]Israël-Palestine : l'embrasement et après ? VESCOVI, Thomas ; BELKAÏD-ELLYAS, Akram ; BREVILLE, Benoît - In : LE MONDE DIPLOMATIQUE, novembre 2023 (01/11/2023), N°836, P. 13-19
L'assaut du Hamas le 7 octobre 2023 a réveillé un conflit assoupi, sinon oublié. Immédiatement, en France, les chaînes d'information en continu ont basculé en éditions spéciales pour imposer le qualificatif de terrorisme et pour imputer la responsabilité de l'opération à l'Iran. En Israël c'est l'union sacrée pour soutenir la vengeance guerrière de Netanyahou, mais la colère gronde contre ce pouvoir ultra-conservateur qui n'a pas pu empêcher le massacre. Depuis l'attaque israélienne sur Gaza, des milliers de Palestinien·nes meurent par milliers sous les bombes ou par manque de nourriture et de soins. Les pays arabes ont rompu les pourparlers de paix avec Tel-Aviv mais ils n'interviennent pas dans le conflit. Alignée sur la position américaine, la diplomatie française s'enferme dans une impuissance volontaire.
Permalink[article]Proche-Orient : le retour de la « cause palestinienne » - In : THE CONVERSATION, 29 octobre 2023 (29/10/2023), 29/10/2023,
Depuis que l'enclave palestinienne est pilonnée par Israël en riposte aux attaques du Hamas le 7 octobre 2023, les manifestations organisées dans de nombreux pays arabes et musulmans en soutien à la population de la bande de Gaza ont replacé au cœur de l'agenda international la problématique de la "cause palestinienne". La conflagration au Proche-Orient remet en perspective l’avenir des Palestinien·nes, à Gaza mais aussi en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, où la situation s’est embrasée. La cause palestinienne, une formule qui recouvre de nombreuses significations aux fondements différents, semble fédérer les opinions publiques au Proche et au Moyen-Orient. L'article revient sur l'histoire du conflit israélo-palestinien et explicite la résurgence du soutien à la Palestine parmi les populations arabo-musulmanes. https://theconversation.com/proche-orient-le-retour-de-la-cause-palestinienne-216213
Permalink[document électronique]Le peuple palestinien a droit à la vie, à la terre et à la souveraineté GRAIN (Genetic resources action international), - BARCELONE (ESPAGNE) : GENETIC RESOURCES ACTION INTERNATIONAL (GRAIN), 2023/10/27,
Suite à l'attaque par le Hamas du 7 octobre 2023, Israël a bombardé Gaza et l'a coupée des approvisionnements essentiels en nourriture, en eau, en carburant, en électricité et en médicaments ce qui n'a fait qu'accentuer encore plus la crise humanitaire déjà présente. Depuis longtemps déjà Israël détruit les cultures palestiniennes et bloque l'accès à leurs terres aux agriculteurs, empêche les Gazaouis de pêcher en mer au-delà de 6 miles et impose un apartheid de l'eau. Ces restrictions ont des conséquences sur la souveraineté alimentaire et la santé de ce peuple, privé de ses droits et libertés.
Public :
https://grain.org/fr/article/7048-le-peuple-palestinien-a-droit-a-la-vie-a-la-terre-et-a-la-souverainete
Permalink[article]Quelle stratégie israélienne pour Gaza ? - In : THE CONVERSATION, 22 octobre 2023 (22/10/2023), 22/10/2023,
"Destruction du Hamas", "réoccupation militaire", "massacres et expulsions de civils"… Dans l’affrontement actuel entre l’armée israélienne et le Hamas, les qualificatifs ne manquent pas pour décrire les avenirs possibles de la bande de Gaza. Au-delà des objectifs militaires à court terme, la question est politique. Au vu de la position intransigeante du gouvernement israélien et de l'immobilisme de la communauté internationale, répondre à la question du devenir de Gaza implique de regarder en face l’échec de la politique israélienne vis-à-vis des territoires occupés palestiniens, enclaves aux conditions de vie misérables. Or, si les colons et militaires israéliens ont effectivement été évacués de Gaza en 2005 sur décision d’Ariel Sharon, Gaza n’en demeure pas moins un territoire contrôlé par Israël. Mais quelle peut être la stratégie israélienne à long terme ? Le gouvernement de droite et d’extrême droite de Benyamin Nétanyahou revendique une poursuite accrue de la colonisation, voire l’annexion de pans entiers de territoires palestiniens. En mars 2023, la ministre des Implantations et des Missions nationales Orit Strock appelait à une recolonisation de Gaza. https://theconversation.com/quelle-strategie-israelienne-pour-gaza-216050
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