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[article]Banque mondiale : Erreur sur la marchandise MARTIN-PRÉVEL, Alice - In : DEFIS SUD, mars-avril 2016 (01/03/2016), N°129, P. 9-40
Pierre Coopman, dans le premier article explique le pouvoir, la vision et le fonctionnement de la Banque mondiale (BM) et analyse les résultats d'une étude publiée par l'Oakland Institute intitulée "Les mythes de la Banque mondiale sur l'agriculture et le développement". Mythe n°1 : la banque assure l'accès des agriculteurs à la terre (mais la Société Financière Internationale ou SFI, sa branche de financement de l'agrobusiness, encourage les investissements menant vers l'accaparement des terres). Mythe n°2 : la BM s'intéresse aux petits agriculteurs (mais la SFI promeut un modèle de titrisation des terres et la banque met l'accent sur la nécessité d'une révolution productive = productiviste). Mythe N°3 : la BM appuie le secteur privé pour renforcer in fine le secteur public et la bonne gouvernance (mais elle facilite les entreprises étrangères qui veulent exploiter les ressources naturelles). Contrairement au droit commun des organisations internationales, la gouvernance de la Banque mondiale fonctionne sur le principe du "un dollar, une voix". Ce qui prime ce n'est pas l'égalité souveraine des États, ni leur poids démographique, mais la contribution au capital des États membres qui sont également actionnaires.
[article]
Titre : Banque mondiale : Erreur sur la marchandise Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre COOPMAN ; Alice MARTIN-PRÉVEL ; Antonio GAMBINI Année de publication : 2016 Article en page(s) : P. 9-40 Note générale : Dossier de 8 articles :
* Mythes et réalités de la banque mondiale. La banque mondiale nous raconte-t-elle de belles histoires ?
* Le musée des horreurs de la banque mondiale
* Agriculture privatisée. Les indicateurs de business de la banque mondiale favorisent l'agro-industrie
* Belgique. L'opacité d'une contribution
* Pérou. Un soutien discutable
* Équateur. Le divorce manqué
* Sénégal. Un projet "inclusif" qui se perd en procédures
* Afrique de l'Ouest. Entre espoirs et craintes face aux financements de la Banque.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL ; Institutions financières internationales ; Banque mondiale (BM) ; Agriculture ; Projet de développement ; Secteur privé
Thésaurus Géographique
Belgique ; Pérou ; Equateur ; Sénégal ; Burkina FasoRésumé : Pierre Coopman, dans le premier article explique le pouvoir, la vision et le fonctionnement de la Banque mondiale (BM) et analyse les résultats d'une étude publiée par l'Oakland Institute intitulée "Les mythes de la Banque mondiale sur l'agriculture et le développement". Mythe n°1 : la banque assure l'accès des agriculteurs à la terre (mais la Société Financière Internationale ou SFI, sa branche de financement de l'agrobusiness, encourage les investissements menant vers l'accaparement des terres). Mythe n°2 : la BM s'intéresse aux petits agriculteurs (mais la SFI promeut un modèle de titrisation des terres et la banque met l'accent sur la nécessité d'une révolution productive = productiviste). Mythe N°3 : la BM appuie le secteur privé pour renforcer in fine le secteur public et la bonne gouvernance (mais elle facilite les entreprises étrangères qui veulent exploiter les ressources naturelles). Contrairement au droit commun des organisations internationales, la gouvernance de la Banque mondiale fonctionne sur le principe du "un dollar, une voix". Ce qui prime ce n'est pas l'égalité souveraine des États, ni leur poids démographique, mais la contribution au capital des États membres qui sont également actionnaires. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69264
in DEFIS SUD > N°129 (mars-avril 2016) . - P. 9-40[article]Exemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 65633 AGR SOS déf129 autres textes imprimés 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible 63023 CM Défis-Sud N° 129 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt BU HDL 0063563 PV 63/129 autres textes imprimés 69 - BU HDL (Lyon) Disponible [article]La « barbarie moderne » de l’agrobusiness au Brésil - In : ALTERNATIVES SUD, 3e trimestre 2012 (22/09/2012), VOL. 19-2012/3, P. 133-148
Au Brésil, l'agrobusiness reproduit le modèle colonial des plantations destinées à l'exportation vers des pays industrialisés ; des entreprises transnationales contrôlent le commerce agricole international, les semences, la production de pesticides et l'agro-industrie. Ainsi le processus d'exploitation et de domination des travailleurs se perpétue, la concentration des terres s'intensifie et la paysannerie tend à disparaître. De plus, il y a une destruction accrue de l'environnement et de la biodiversité. Cette organisation laisse de moins en moins de place à une agriculture paysanne destinée à la population brésilienne.
[article]
Titre : La « barbarie moderne » de l’agrobusiness au Brésil Type de document : texte imprimé Auteurs : Alvaro CAMACHO GUIZADO Année de publication : 2012 Article en page(s) : P. 133-148 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Néocolonialisme ; Multinationale ; Exportation ; Biodiversité ; Environnement ; Agriculture paysanne ; Industrie agroalimentaire
Thésaurus Géographique
BrésilRésumé : Au Brésil, l'agrobusiness reproduit le modèle colonial des plantations destinées à l'exportation vers des pays industrialisés ; des entreprises transnationales contrôlent le commerce agricole international, les semences, la production de pesticides et l'agro-industrie. Ainsi le processus d'exploitation et de domination des travailleurs se perpétue, la concentration des terres s'intensifie et la paysannerie tend à disparaître. De plus, il y a une destruction accrue de l'environnement et de la biodiversité. Cette organisation laisse de moins en moins de place à une agriculture paysanne destinée à la population brésilienne. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=56031
in ALTERNATIVES SUD > VOL. 19-2012/3 (3e trimestre 2012) . - P. 133-148[article][article]La Belgique doit-elle miser sur Feronia ? CAUCHIE, Charline ; PISSOORT, Virginie ; ZONNEVELD, Luuk - In : DEFIS SUD, juillet-août 2016 (01/07/2016), N°131, P. 18-20
En 2008, la firme canadienne Feronia rachète à hauteur de 75% les "Plantations et huileries du Congo" en RDC, appartenant auparavant à Unilever. En 2012, cette société subit de lourdes pertes. En 2013, divers organismes financiers européens, dont la Société belge d'investissement pour les pays en développement (BIO) renflouent la firme. Mais, en 2015, des ONG dénoncent les conditions d'exploitation des travailleurs congolais. Virginia Pissoort insiste sur la nécessité de consulter les populations.
[article]
Titre : La Belgique doit-elle miser sur Feronia ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre COOPMAN, Intervieweur ; Charline CAUCHIE, Intervieweur ; Virginie PISSOORT, Personne interviewée ; Luuk ZONNEVELD, Personne interviewée Année de publication : 2016 Article en page(s) : P. 18-20 Note générale : Débat entre Luuk Zonneveld, directeur général de BIO, société belge d'investissement pour les pays en développement et Virginia Pissoort, responsable campagne et plaidoyer chez SOS Faim. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Accaparement de terres ; Conflit social ; Sécurité alimentaire ; Huile et oléagineux ; Industrie agroalimentaire ; Communauté villageoise
Thésaurus Géographique
République du Congo ; BelgiqueRésumé : En 2008, la firme canadienne Feronia rachète à hauteur de 75% les "Plantations et huileries du Congo" en RDC, appartenant auparavant à Unilever. En 2012, cette société subit de lourdes pertes. En 2013, divers organismes financiers européens, dont la Société belge d'investissement pour les pays en développement (BIO) renflouent la firme. Mais, en 2015, des ONG dénoncent les conditions d'exploitation des travailleurs congolais. Virginia Pissoort insiste sur la nécessité de consulter les populations. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=70733
in DEFIS SUD > N°131 (juillet-août 2016) . - P. 18-20[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 65631 AGR SOS déf131 autres textes imprimés 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible 64831 CM DéfisS N°131 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt [article]La Belgique et l'Europe complices des accaparements de terres EGGEN, Manuel - In : DEFIS SUD, juillet-août 2016 (01/07/2016), N°131, P. 8-24
Plusieurs ONG belges (Fian, Entraide, Sos Faim, Oxfam Solidarité, CADTM, AEFIN, CNCD-11-11-11) ne quittent pas des yeux trois entreprises actives dans l'huile de palme, qu'elles soupçonnent d'accaparement de terres : d'une part, Siat et Socfin, des sociétés d'origine belge, et, d'autre part, Feronia financée par BIO, la Société belge d'investissement pour les pays en développement.
[article]
Titre : La Belgique et l'Europe complices des accaparements de terres Type de document : texte imprimé Auteurs : Charline CAUCHIE ; Manuel EGGEN Année de publication : 2016 Article en page(s) : P. 8-24 Note générale : Dossier de 4 articles :
* Comment la Belgique participe à l'accaparement
* Contrer la propagande pro-agrobusiness du groupe Socfin
* La Belgique doit-elle miser sur Feronia ?
* Des capitaux européens pour l'accaparement.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Accaparement de terres ; Huile et oléagineux
Thésaurus Géographique
Europe ; BelgiqueRésumé : Plusieurs ONG belges (Fian, Entraide, Sos Faim, Oxfam Solidarité, CADTM, AEFIN, CNCD-11-11-11) ne quittent pas des yeux trois entreprises actives dans l'huile de palme, qu'elles soupçonnent d'accaparement de terres : d'une part, Siat et Socfin, des sociétés d'origine belge, et, d'autre part, Feronia financée par BIO, la Société belge d'investissement pour les pays en développement. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=70731
in DEFIS SUD > N°131 (juillet-août 2016) . - P. 8-24[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 65631 AGR SOS déf131 autres textes imprimés 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible 64831 CM DéfisS N°131 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt [article]Du bio industriel ? C'est possible CARNÉ, Olivier de - In : ALTERNATIVES INTERNATIONALES, mai 2014 (01/05/2014), HORS-SERIE N°15, P. 68-70
Produire des biens alimentaires en quantité industrielle tout en respectant l'environnement n'est pas contradictoire. Mais cela demande un investissement humain et financier conséquent de la part du producteur comme du consommateur.
[article]
Titre : Du bio industriel ? C'est possible Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles TRYSTRAM, Personne interviewée ; Olivier de CARNÉ, Personne interviewée Année de publication : 2014 Article en page(s) : P. 68-70 Note générale : Ces deux spécialistes répondent aux questions de la rédaction de la revue. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
AGRICULTURE ; Agriculture biologique ; Système alimentaire ; Industrie agroalimentaire ; Consommation responsableRésumé : Produire des biens alimentaires en quantité industrielle tout en respectant l'environnement n'est pas contradictoire. Mais cela demande un investissement humain et financier conséquent de la part du producteur comme du consommateur. Type de contenu : témoignage ; expérience, entretien Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=61272
in ALTERNATIVES INTERNATIONALES > HORS-SERIE N°15 (mai 2014) . - P. 68-70[article]Exemplaires (5)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 58775 REV autres textes imprimés 22 - RESIA (St Brieuc) Disponible 53186 ALIM-ALTER autres textes imprimés 29 - CICODES (Quimper) Disponible 53224 CM ALT.INT. HS n° 15 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt MCM01368 MCM AG ALI autres textes imprimés 44 - MCM (Nantes) Disponible CRDTM AlterIntern HS 15 CD59 AlterIntern HS 015 autres textes imprimés 59 - CRDTM (Lille) Disponible [article]Le bio investit les assiettes - In : ARSEG INFO, novembre 2015 (04/11/2015), N°252, P. 40-42
Sécurité alimentaire, recherche de qualité des produits sains, de traçabilité etc. Les mentalités et les attentes des Français ont changé et le bio s'introduit progressivement dans les assiettes. 73 % des Français déclarent vouloir consommer bio sur leur lieu de travail. En face, l'offre s'adapte, doucement.
Permalink[texte imprimé]Biodiversité : Savoirs protégés, savoirs partagés CHETAILLE, Anne, BIAGIOTTI, Isabelle ; BAHRI, Sylvia - MONTPELLIER : SOLIDARITES AGRICOLES ET ALIMENTAIRES (SOLAGRAL) COLLECTION, S.D., 45 P.
Biodiversité : ce mot est employé autant par ceux qui militent pour la préservation du patrimoine naturel, que par ceux qui voient dans les ressources génétiques la base d'une nouvelle révolution économique et technique. Aujourd'hui, ces deux courants se rencontrent à l'échelle internationale. La convention sur la Biodiversité signée en juin 1992, a ouvert le débat sur les responsabilités et les coûts de la conservation de la diversité du monde vivant. Qui doit supporter les coûts de conservation de ce bien collectif ?
Permalink[article]Le biorégionalisme, le monde d'après ? - In : SILENCE, février 2021 (01/02/2021), N°496, P. 4-16
L'idée de biorégionalisme est apparue à la fin des années soixante en même temps que se développait le mouvement écologiste. Il s'agit d'un mode d'organisation alternatif de la société basé sur les territoires : sortir des frontières administratives actuelles en prenant en compte les communautés humaines et les écosystèmes. Ce dossier présente le biorégionalisme à partir de l'ouvrage de Kirkpatrick Sale. L'auteur, Michel Bernard, est aussi allé à la rencontre de Thierry Paquot philosophe de l'urbain et tente de faire le lien avec d'autres influences de l'écologie.
Permalink[article]Bolivie : un tournant agroproductiviste - In : DEFIS SUD, juin-juillet 2015 (01/06/2015), N°125, P. 6-9
Le gouvernement bolivien semble avoir cédé aux sirènes de l'agroproductivisme. Le président Moralès , dans une situation économique moins favorable que lors de son premier mandat a manifestement scellé une nouvelle alliance productiviste avec les secteurs agro-industriels. Dans le sommet agro-pastoral à Santa Cruz de la Sierra le 22 avril, les termes et les conditions d'une "nouvelle révolution productive nationale" marquent un retour aux objectifs quantitatifs auxquels ont répondu les grands opérateurs de l'agro-business en conditionnant leur participation à plusieurs exigences, qui ont été en partie seulement repoussées par les organisations paysannes et indigènes. La législation est ambigüe sur l'introduction des OGM. La chute du prix des hydrocarbures et des minerais est une des raisons de ce revirement vers la production de denrées alimentaires exportables.
Permalink[article]A bon entendeur ! - In : UP LE MAG, automne 2014 (01/10/2014), N°5, P. 47
Entretien avec Pierre Rabhi autour des questions de sécurité alimentaire et d'épuisement des ressources naturelles sur la planète.
Permalink[texte imprimé]La brevetabilité biologique et la menace pour la sécurité alimentaire : une perspective chrétienne et de développement CIDSE (Coopération internationale pour le développement et la solidarité), - BRUXELLES (BELGIQUE) : COOPERATION INTERNATIONALE POUR LE DEVELOPPEMENT ET LA SOLIDARITE (CIDSE), S.D., 48 P.
Ce document réalisé par le groupe de travail "UE, commerce et sécurité alimentaire" de la Coopération internationale pour le développement et la solidarité (CIDSE) s'intéresse aux répercussions de la brevetabilité biologique sur la sécurité alimentaire des pays pauvres. Le droit à l'alimentation considéré comme un droit fondamental n'est pas seulement une affaire d'économie et de règles commerciales, notamment en matière de propriété intellectuelle. Sans remettre en cause la recherche scientifique, la puissance des multinationales et le dépôt de brevets biologiques ne peuvent se développer au détriment d'autres voies de lutte contre la faim. Ce document présente une série de recommandations précises à l'Union Européenne et à la communauté internationale sur la brevetabilté biologique et l'établissement de nouvelles règles dans les politiques de sécurité alimentaire et de relations commerciales.
PermalinkBULLETIN DE SYNTHESE SOUVERAINETE ALIMENTAIRE / Vital PELON
Permalink[article]Burkina Faso : Loi sur le foncier rural : cinq ans après ? - In : DEFIS SUD, septembre-octobre 2014 (01/09/2014), N°120, P. 12-14
En 2009, le Burkina Fasio a adopté une loi dédiée au foncier rural. Cinq ans après, la loi a été expérimentée dans 47 communes. Des registres fonciers ruraux ont été dressés. Des structures de gestion foncière ont été mises en place, le personnel de ces structures a reçu une formation. Des attestations de possession foncière rurale ont été délivrées à des producteurs ruraux parmi lesquels 11 femmes. Mais beaucoup de structures prévues par la loi n'ont pas encore été mises en place et il reste encore 255 communes où la loi n'est pas appliquée. Des procès verbaux de palabres consignant les transactions
foncières, sont encore utilisés et sont facilement falsifiables. Le contexte de pauvreté est favorable à l'accaparement des terres. De nombreux problèmes restent à résoudre : coordination entre intervenants multiples, manque de ressources disponibles pour la mise en œuvre de la loi.
Permalink[article]Burkina Faso, le pays des hommes intègres, terre d'agricultrices KOROROUMOU GARIKO, Sanogo - In : DEFIS SUD, novembre 2014 (01/11/2014), N°121, P. 21-24
En réinjectant la quasi-totalité de leurs revenus dans l'économie familiale au profit de ses membres, les femmes du Burkina Faso jouent un rôle prépondérant dans la pérennité de l'exploitation, le bien-être et la sécurité alimentaire de la famille.
Permalink[article]Burundi : La "bombe" foncière - In : DEFIS SUD, septembre-octobre 2014 (01/09/2014), N°120, P. 17-21
En 2011, le Burundi s'est doté d'un nouveau code foncier. Mais celui-ci n'a pas désamorcé les tensions autour de l'accès à la terre, issues du choc entre conceptions antagoniques du droit, de l'exiguïté croissante des exploitations et des conflits entre occupants et réfugiés rentrés d'exil. Une loi récente a révisé la Commission Nationale des Terres et autres Biens (CNTB), qui a maintenant priorité sur les tribunaux. Cela provoque les inquiétudes de la communauté tutsie et risque de rendre restitution et réconciliation impossibles en privilégiant la restitution pure et simple par rapport à la solution à l'amiable. Un inventaire complet des terres domaniales est en cours.
Permalink[texte imprimé]Le cacao : culture et transformation Nestlé France, - COURBEVOIE : SOCIETE DES PRODUITS ALIMENTAIRES ET DIETETIQUES (SOPAD), S.D., 46 P.
Culture et production de cacao. Transformation industrielle. Utilisation du chocolat en confiserie. Utilisation et consommation.
PermalinkCAHIERS AGRICULTURES / Jean-Yves JAMIN
Permalink[article]La Caisse générale de compensation en Tunisie : l’impasse d’un mécanisme de régulation artificiel - In : MONDES EN DEVELOPPEMENT, 2021/4 (01/12/2021), N°196, P. 123-140
Impulsé par les pressions exercées par les organisations internationales, le débat sur la Caisse générale de compensation en Tunisie refait surface depuis quelques années et tend à se réduire à la seule dimension du coût budgétaire de la subvention. Certes, la problématique du déficit public ne peut être négligée, mais le débat ne doit pas se situer exclusivement par rapport aux seules finances publiques. Toute analyse en termes de coût de la compensation doit être mise en parallèle avec une analyse des conséquences économiques, sociales et politiques éventuelles de sa suppression ou de sa modération (résumé de la revue).
Permalink[texte imprimé]Calendrier agricole : Bas-Zaïre INADES (Institut africain pour le développement économique et social) République démocratique du Congo, - KINSHASA (REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO) : INSTITUT AFRICAIN POUR LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL (INADES), S.D., 16 P.
Cet ouvrage donne la liste des plantations à faire tout au long de l'année avec un calendrier précis.
Permalink[article]Cambodge : les voleurs de terre bientôt jugés - In : LA CHRONIQUE D'AMNESTY, juillet-août 2017 (11/07/2017), N°368-369, P. 24-27
Au Cambodge, l'accaparement de terre concerne à la fois les terres agricoles pour les plantations industrielles et les terres de la capitale (lac Boeung Kak, 4252 familles expropriées). La résistance, menée par les femmes concerne 1000 familles.
Une arme juridique inédite est le recours à la Cours Pénale Internationale (CPI), en effet les accaparements de terre peuvent être qualifiés de "crime contre l'humanité". Une plainte a été déposée en 2014 par un avocat britannique au nom d'un groupe de victimes cambodgiennes. 770 000 personnes ont été affectées par le vol de terre dont 145 000 à Phnom Penh. Elles n'ont aucune chance d'obtenir justice dans leur pays.
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