Catégories
Documents disponibles dans cette catégorie (4732)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le haut et vers le bas
[article]« Il faut sanctionner les pilleurs mais aussi les acquéreurs » - In : LE COURRIER DE L'UNESCO, octobre-décembre 2020 (12/10/2020), S.N.,
Au Moyen-Orient, les réseaux de trafiquants d'objets d'art étaient à l’œuvre bien avant que la région ne soit frappée par les conflits. Les pilleurs étaient souvent de connivence avec des fonctionnaires ou des militaires corrompus. L’évolution du paysage géopolitique n’a pas affecté les réseaux en eux-mêmes mais leurs interlocuteurs. Les trafiquants se sont adaptés en collaborant avec les nouveaux groupes aux commandes, en l’occurrence des groupes terroristes dans certaines régions. Depuis, le trafic d’antiquités en provenance de zones de guerre du Moyen-Orient n’a cessé de prendre de l’ampleur. Si la condamnation de ce trafic fait consensus à l’échelle internationale, il reste dans les faits difficile à combattre. "Pour enrayer ce fléau, il faut notamment alourdir les sanctions visant non seulement les pilleurs mais aussi les acquéreurs", explique Amr Al-Azm. https://courier.unesco.org/fr/articles/il-faut-sanctionner-les-pilleurs-mais-aussi-les-acquereurs
[article]
Titre : « Il faut sanctionner les pilleurs mais aussi les acquéreurs » Type de document : document électronique Auteurs : Amr AL-AZM, Personne interviewée Année de publication : 2020 Note générale : Amr Al-Amz est archéologue et professeur d’histoire et d’anthropologie du Moyen-Orient à l’université de Shawnee State en Ohio, aux États-Unis. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
CULTURE ; Art ; Corruption ; Économie criminelle ; Justice ; Patrimoine culturel ; Pillage du tiers monde ; Politique culturelle
Thésaurus Géographique
Moyen-OrientRésumé : Au Moyen-Orient, les réseaux de trafiquants d'objets d'art étaient à l’œuvre bien avant que la région ne soit frappée par les conflits. Les pilleurs étaient souvent de connivence avec des fonctionnaires ou des militaires corrompus. L’évolution du paysage géopolitique n’a pas affecté les réseaux en eux-mêmes mais leurs interlocuteurs. Les trafiquants se sont adaptés en collaborant avec les nouveaux groupes aux commandes, en l’occurrence des groupes terroristes dans certaines régions. Depuis, le trafic d’antiquités en provenance de zones de guerre du Moyen-Orient n’a cessé de prendre de l’ampleur. Si la condamnation de ce trafic fait consensus à l’échelle internationale, il reste dans les faits difficile à combattre. "Pour enrayer ce fléau, il faut notamment alourdir les sanctions visant non seulement les pilleurs mais aussi les acquéreurs", explique Amr Al-Azm. En ligne : https://courier.unesco.org/fr/articles/il-faut-sanctionner-les-pilleurs-mais-aus [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84829
in LE COURRIER DE L'UNESCO > S.N. (octobre-décembre 2020)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 40048 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 43962 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]L’Inde au défi du pillage - In : LE COURRIER DE L'UNESCO, octobre-décembre 2020 (12/10/2020), S.N.,
Confronté à un engouement mondial pour ses antiquités, l'Inde a adopté des lois strictes pour juguler l’exportation illicite de son patrimoine archéologique et culturel. Mais la mise en œuvre de ces lois reste un défi majeur en raison de la pauvreté endémique qui alimente le pillage et de l’insuffisance du personnel de surveillance des sites. Depuis des décennies, le patrimoine archéologique indien est pillé et trône dans les plus grands musées internationaux et collections privées. Des mécanismes de protection existent pourtant depuis longtemps, tels que la loi de 1972 sur les antiquités et trésors artistiques qui a interdit l’exportation de tout objet archéologique et imposé une vigilance stricte en matière de propriété individuelle. Depuis cette date, tous les objets et sites archéologiques sont la propriété de l’État qui a également multiplié ses efforts sur la récupération des antiquités indiennes volées. https://courier.unesco.org/fr/articles/linde-au-defi-du-pillage
[article]
Titre : L’Inde au défi du pillage Type de document : document électronique Auteurs : Samayita BANERJEE Année de publication : 2020 Note générale : Liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
CULTURE ; Art ; Commerce international ; Économie criminelle ; Législation ; Patrimoine culturel ; Pillage du tiers monde ; Politique culturelle ; Surveillance
Thésaurus Géographique
IndeRésumé : Confronté à un engouement mondial pour ses antiquités, l'Inde a adopté des lois strictes pour juguler l’exportation illicite de son patrimoine archéologique et culturel. Mais la mise en œuvre de ces lois reste un défi majeur en raison de la pauvreté endémique qui alimente le pillage et de l’insuffisance du personnel de surveillance des sites. Depuis des décennies, le patrimoine archéologique indien est pillé et trône dans les plus grands musées internationaux et collections privées. Des mécanismes de protection existent pourtant depuis longtemps, tels que la loi de 1972 sur les antiquités et trésors artistiques qui a interdit l’exportation de tout objet archéologique et imposé une vigilance stricte en matière de propriété individuelle. Depuis cette date, tous les objets et sites archéologiques sont la propriété de l’État qui a également multiplié ses efforts sur la récupération des antiquités indiennes volées. En ligne : https://courier.unesco.org/fr/articles/linde-au-defi-du-pillage Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84828
in LE COURRIER DE L'UNESCO > S.N. (octobre-décembre 2020)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 40048 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 43962 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Aux Pays-Bas, le regard sans concession des musées sur le passé colonial - In : LE COURRIER DE L'UNESCO, octobre-décembre 2020 (12/10/2020), S.N.,
Le Musée national des cultures du monde (NMVW = Nationaal Museum van Wereldculture) aux Pays-Bas est l’un des premiers musées d’Europe à mettre en place des mécanismes de restitution des objets issus des anciennes colonies. En 2016, la publication sous le titre "Des trésors bien gardés" de la thèse de doctorat du chercheur Jos van Beurden, a relancé le débat néerlandais sur les objets datant de l’époque coloniale. Dès 2017, le NMVW a commencé à élaborer ses critères de restitutions, dont certaines avaient déjà eu lieu au cours des décennies précédentes, mais les réclamations avaient toujours été traitées au cas par cas. Aujourd'hui, le NMVW adopte une approche plus systématique et équitable, en s'engageant à examiner et évaluer de manière transparente les demandes de restitution d’objets culturels selon des normes de respect légitime, de coopération et de promptitude. https://courier.unesco.org/fr/articles/aux-pays-bas-le-regard-sans-concession-des-musees-sur-le-passe-colonial
[article]
Titre : Aux Pays-Bas, le regard sans concession des musées sur le passé colonial Type de document : document électronique Auteurs : Catherine HICKLEY Année de publication : 2020 Note générale : Liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
CULTURE ; Art ; Colonisation ; Décolonisation ; Justice ; Patrimoine culturel ; Pillage du tiers monde ; Politique culturelle ; Relation Nord-Sud
Thésaurus Géographique
Pays-BasRésumé : Le Musée national des cultures du monde (NMVW = Nationaal Museum van Wereldculture) aux Pays-Bas est l’un des premiers musées d’Europe à mettre en place des mécanismes de restitution des objets issus des anciennes colonies. En 2016, la publication sous le titre "Des trésors bien gardés" de la thèse de doctorat du chercheur Jos van Beurden, a relancé le débat néerlandais sur les objets datant de l’époque coloniale. Dès 2017, le NMVW a commencé à élaborer ses critères de restitutions, dont certaines avaient déjà eu lieu au cours des décennies précédentes, mais les réclamations avaient toujours été traitées au cas par cas. Aujourd'hui, le NMVW adopte une approche plus systématique et équitable, en s'engageant à examiner et évaluer de manière transparente les demandes de restitution d’objets culturels selon des normes de respect légitime, de coopération et de promptitude. En ligne : https://courier.unesco.org/fr/articles/aux-pays-bas-le-regard-sans-concession-de [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84825
in LE COURRIER DE L'UNESCO > S.N. (octobre-décembre 2020)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 40048 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 43962 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Les réseaux sociaux, nouvel eldorado des trafiquants - In : LE COURRIER DE L'UNESCO, octobre-décembre 2020 (12/10/2020), S.N.,
Les sites de ventes aux enchères et les réseaux sociaux sont devenus en quelques années des plaques tournantes du trafic illicite de biens culturels. Si Facebook a récemment proscrit le commerce des antiquités sur sa plateforme, il reste beaucoup à faire pour juguler ce commerce qui offre aux trafiquant·es une vitrine planétaire. Selon les expert·es du projet ATHAR (antiquités en arabe), spécialisé dans la traque des trafiquant·es d’antiquités et l’anthropologie du patrimoine, qui ont dénoncé ces pratiques dès 2014, les plateformes en ligne ne se sont pas beaucoup mobilisées pour empêcher le commerce illicite de reliques et autres objets. La crise de Covid-19 a aggravé le phénomène, en poussant un nombre grandissant de revendeur·ses et d’acheteur·ses vers Internet, où iels découvrent qu’en rejoignant certains groupes non surveillés, iels peuvent entrer facilement sur le marché illégal. https://courier.unesco.org/fr/articles/les-reseaux-sociaux-nouvel-eldorado-des-trafiquants
[article]
Titre : Les réseaux sociaux, nouvel eldorado des trafiquants Type de document : document électronique Auteurs : Tom MASHBERG Année de publication : 2020 Note générale : Liens sitographiques. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
CULTURE ; Art ; Commerce international ; Économie criminelle ; Internet ; Patrimoine culturel ; Pillage du tiers monde ; Réseaux sociauxRésumé : Les sites de ventes aux enchères et les réseaux sociaux sont devenus en quelques années des plaques tournantes du trafic illicite de biens culturels. Si Facebook a récemment proscrit le commerce des antiquités sur sa plateforme, il reste beaucoup à faire pour juguler ce commerce qui offre aux trafiquant·es une vitrine planétaire. Selon les expert·es du projet ATHAR (antiquités en arabe), spécialisé dans la traque des trafiquant·es d’antiquités et l’anthropologie du patrimoine, qui ont dénoncé ces pratiques dès 2014, les plateformes en ligne ne se sont pas beaucoup mobilisées pour empêcher le commerce illicite de reliques et autres objets. La crise de Covid-19 a aggravé le phénomène, en poussant un nombre grandissant de revendeur·ses et d’acheteur·ses vers Internet, où iels découvrent qu’en rejoignant certains groupes non surveillés, iels peuvent entrer facilement sur le marché illégal. En ligne : https://courier.unesco.org/fr/articles/les-reseaux-sociaux-nouvel-eldorado-des-t [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84827
in LE COURRIER DE L'UNESCO > S.N. (octobre-décembre 2020)[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 40048 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 43962 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible S.N. - octobre-décembre 2020 - Trafic illicite des biens culturels, 50 ans de lutte (Bulletin de LE COURRIER DE L'UNESCO) / Agnès BARDON
[n° ou bulletin]
Titre : S.N. - octobre-décembre 2020 - Trafic illicite des biens culturels, 50 ans de lutte Type de document : document électronique Auteurs : Agnès BARDON, Coordinateur Année de publication : 2020 Présentation : ill. Format : web Note générale : Dossier comprenant 9 articles :
* Aux Pays-Bas, le regard sans concession des musées sur le passé colonial (HICKLEY, Catherine)
* L’Argentine, pays champion des restitutions (HARTMANN, Irene)
* Des bronzes chinois du monde entier réunis dans un musée virtuel (JIGEN, Tang)
* Les réseaux sociaux, nouvel eldorado des trafiquants (MASHBERG, Tom)
* Itinéraire d’une antiquité volée (TSIROGIANNIS, Christos)
* L’Inde au défi du pillage (BANERJEE, Samayita)
* « Il faut sanctionner les pilleurs mais aussi les acquéreurs » (propos recueillis par Laetitia KACI)
* Le marché de l’art victime de son succès (RENOLD, Marc-André)
* Convention de 1970 : la diversité culturelle avant la lettre (NEGRI, Vincent).
Illustrations, photographies, liens sitographiques, témoignages.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
CULTURE ; Art ; Colonialisme ; Économie criminelle ; Identité culturelle ; Internet ; Mafia ; Marché mondial ; Patrimoine culturel ; Pillage du tiers monde ; Terrorisme
Thésaurus Géographique
Argentine ; Chine ; Inde ; Pays-BasRésumé : Le nombre record de saisies atteste de l’ampleur du trafic illicite des biens culturels au cours des dernières décennies, mais aussi de l’envergure de la réponse policière au niveau international. La Convention de 1970 concernant les mesures à prendre pour interdire et empêcher l’importation, l’exportation et le transfert de propriété illicite de biens culturels reste un pivot de la lutte contre ce commerce illégal. En 50 ans d’existence, l’UNESCO a contribué à sensibiliser l’opinion publique mondiale aux enjeux de ce trafic. Elle a aussi aidé les pays signataires à élaborer des lois et des mesures préventives, pour encourager la restitution des biens déplacés. Or, si le commerce des biens culturels n’est pas un phénomène nouveau, il n’a jamais été aussi prospère. Portée par l’engouement des collectionneurs, des galeries et des musées, la valeur des objets d’art et des antiquités s’est envolée, de sorte que ce commerce de l'ombre attire des investisseurs en quête de placements mais aussi des acteurs peu scrupuleux, et, de plus en plus, des organisations mafieuses et terroristes. Un renforcement des législations et des sanctions est d’autant plus nécessaire que l’essor du commerce en ligne apparaît comme une aubaine pour les trafiquants et que la crise sanitaire de Covid-19 a encore accentué ce phénomène. Plus délicate, la question de la restitution d’objets pillés pendant la période coloniale reste une source de tensions entre les pays abritant de riches collections muséales et ceux qui réclament le retour d’objets qui participent de leur culture et de leur identité. Type de contenu : témoignage ; expérience, entretien En ligne : https://courier.unesco.org/fr/articles/trafic-illicite-des-biens-culturels-50-an [...] Format de la ressource électronique : web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=29068 [n° ou bulletin]Contient
- [article]Aux Pays-Bas, le regard sans concession des musées sur le passé colonial - In : LE COURRIER DE L'UNESCO, octobre-décembre 2020 (12/10/2020), S.N.,
Le Musée national des cultures du monde (NMVW = Nationaal Museum van Wereldculture) aux Pays-Bas est l’un des premiers musées d’Europe à mettre en place des mécanismes de restitution des objets issus des anciennes colonies. En 2016, la publication sous le titre "Des trésors bien gardés" de la thèse de doctorat du chercheur Jos van Beurden, a relancé le débat néerlandais sur les objets datant de l’époque coloniale. Dès 2017, le NMVW a commencé à élaborer ses critères de restitutions, dont certaines avaient déjà eu lieu au cours des décennies précédentes, mais les réclamations avaient toujours été traitées au cas par cas. Aujourd'hui, le NMVW adopte une approche plus systématique et équitable, en s'engageant à examiner et évaluer de manière transparente les demandes de restitution d’objets culturels selon des normes de respect légitime, de coopération et de promptitude. https://courier.unesco.org/fr/articles/aux-pays-bas-le-regard-sans-concession-des-musees-sur-le-passe-colonial- [article]L’Argentine, pays champion des restitutions - In : LE COURRIER DE L'UNESCO, octobre-décembre 2020 (12/10/2020), S.N.,
Depuis 2004, l’Argentine a rendu à leur pays d’origine près de 5 000 biens culturels saisis sur son sol. Une plus grande reconnaissance de l’art des civilisations préhispaniques et l’adoption d’une loi protégeant le patrimoine archéologique et paléontologique sont à l’origine de cette nouvelle politique, reflet d'une prise de conscience de la valeur patrimoniale d’objets issus des cultures préhispaniques. La nouvelle loi confie à l’Institut national d’anthropologie et de la pensée latino-américaine (INAPL) la mise en œuvre à l’échelle du pays et oblige les propriétaires de biens issus de sites archéologiques ou paléontologiques à les recenser auprès d’un Registre officiel. https://courier.unesco.org/fr/articles/largentine-pays-champion-des-restitutions- [article]Les réseaux sociaux, nouvel eldorado des trafiquants - In : LE COURRIER DE L'UNESCO, octobre-décembre 2020 (12/10/2020), S.N.,
Les sites de ventes aux enchères et les réseaux sociaux sont devenus en quelques années des plaques tournantes du trafic illicite de biens culturels. Si Facebook a récemment proscrit le commerce des antiquités sur sa plateforme, il reste beaucoup à faire pour juguler ce commerce qui offre aux trafiquant·es une vitrine planétaire. Selon les expert·es du projet ATHAR (antiquités en arabe), spécialisé dans la traque des trafiquant·es d’antiquités et l’anthropologie du patrimoine, qui ont dénoncé ces pratiques dès 2014, les plateformes en ligne ne se sont pas beaucoup mobilisées pour empêcher le commerce illicite de reliques et autres objets. La crise de Covid-19 a aggravé le phénomène, en poussant un nombre grandissant de revendeur·ses et d’acheteur·ses vers Internet, où iels découvrent qu’en rejoignant certains groupes non surveillés, iels peuvent entrer facilement sur le marché illégal. https://courier.unesco.org/fr/articles/les-reseaux-sociaux-nouvel-eldorado-des-trafiquants- [article]L’Inde au défi du pillage - In : LE COURRIER DE L'UNESCO, octobre-décembre 2020 (12/10/2020), S.N.,
Confronté à un engouement mondial pour ses antiquités, l'Inde a adopté des lois strictes pour juguler l’exportation illicite de son patrimoine archéologique et culturel. Mais la mise en œuvre de ces lois reste un défi majeur en raison de la pauvreté endémique qui alimente le pillage et de l’insuffisance du personnel de surveillance des sites. Depuis des décennies, le patrimoine archéologique indien est pillé et trône dans les plus grands musées internationaux et collections privées. Des mécanismes de protection existent pourtant depuis longtemps, tels que la loi de 1972 sur les antiquités et trésors artistiques qui a interdit l’exportation de tout objet archéologique et imposé une vigilance stricte en matière de propriété individuelle. Depuis cette date, tous les objets et sites archéologiques sont la propriété de l’État qui a également multiplié ses efforts sur la récupération des antiquités indiennes volées. https://courier.unesco.org/fr/articles/linde-au-defi-du-pillage- [article]« Il faut sanctionner les pilleurs mais aussi les acquéreurs » - In : LE COURRIER DE L'UNESCO, octobre-décembre 2020 (12/10/2020), S.N.,
Au Moyen-Orient, les réseaux de trafiquants d'objets d'art étaient à l’œuvre bien avant que la région ne soit frappée par les conflits. Les pilleurs étaient souvent de connivence avec des fonctionnaires ou des militaires corrompus. L’évolution du paysage géopolitique n’a pas affecté les réseaux en eux-mêmes mais leurs interlocuteurs. Les trafiquants se sont adaptés en collaborant avec les nouveaux groupes aux commandes, en l’occurrence des groupes terroristes dans certaines régions. Depuis, le trafic d’antiquités en provenance de zones de guerre du Moyen-Orient n’a cessé de prendre de l’ampleur. Si la condamnation de ce trafic fait consensus à l’échelle internationale, il reste dans les faits difficile à combattre. "Pour enrayer ce fléau, il faut notamment alourdir les sanctions visant non seulement les pilleurs mais aussi les acquéreurs", explique Amr Al-Azm. https://courier.unesco.org/fr/articles/il-faut-sanctionner-les-pilleurs-mais-aussi-les-acquereursExemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 40048 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 43962 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible N°139 - octobre-novembre-décembre 2020 - République centrafricaine : Un pays sans sommeil (Bulletin de ACTION) / Cécile BIZOUERNE
Permalink[article]Black Lives Matter est le produit de l'histoire de l'Afrique MALAGARDIS, Maria ; LO CALZO, Nicola - In : XXI, automne 2020 (01/09/2020), N°52, P. 176-189
Découvreur de mondes oubliés, François-Xavier Fauvelle est historien et archéologue. Il fait revivre l'Afrique ancienne et souligne combien sa richesse culturelle et historique peut éclairer notre présent : descendants des premières familles béninoises à avoir participé à la traite négrière avec les colonisateurs portugais, descendants d'esclaves et de marchands d'esclaves au Bénin, prêtresse du culte Mami Tchamba à Grand Popo au Bénin. L'historien de l'Afrique combat les préjugés sur les "gentils" Africains et les fantasmes sur une Afrique idéalisée. Les Africains ont aussi contribué à dévaloriser leur passé aux relents de traite négrière et d'impérialisme culturel colonial. L'histoire de l'Afrique permet de relativiser les perspectives communément admises et de changer le regard sur l'histoire de l'Europe.
Permalink[article]Cisjordanie et bande de Gaza : deux "morceaux de Palestine" à l'avenir incertain - In : QUESTIONS INTERNATIONALES, septembre-décembre 2020 (01/09/2020), N°103-104, P. 30-31
Histoire de ces deux territoires palestiniens que sont Gaza et la Cisjordanie, le premier étant en état d'urgence permanent et le second fragmenté par les colonies de peuplement israéliennes et morcelé par la création, normalement provisoire, de trois zones à autonomie variable. Quel avenir possible dans ces conditions pour un État palestinien ?
Permalink[article]Civelle Connection REYNARD, Guillaume - In : XXI, automne 2020 (01/09/2020), N°52, P. 44-55
On la surnomme "l'or blanc". La civelle, bébé anguille, qu'on pêche dans les estuaires des fleuves de la Vendée à l'Espagne et jusqu'à Hongkong, est devenue une espèce protégée, victime de la surpêche et du braconnage. Pourtant, elle fait encore l'objet d'un trafic international qui rapporte plus que certains trafics de drogue. La civelle se vend aujourd'hui en moyenne entre 100 et 500 euros le kilo et se négocierait même dix fois plus cher en Asie. Or la récente interdiction d'exporter cet "or blanc" hors d'Europe a un effet dévastateur car le marché parallèle a été décuplé, selon les témoignages locaux. Nicolas Legendre a mené l'enquête auprès des pêcheurs français agréés et auprès des associations de défense des ressources halieutiques.
Permalink[article]Israël/Palestine : un conflit devenu périphérique - In : QUESTIONS INTERNATIONALES, septembre-décembre 2020 (01/09/2020), N°103-104, P. 24-29
Le conflit entre Juifs et Arabes autour de la Palestine est le plus ancien au monde. L'auteur relate l'évolution de ce conflit et de ses prolongements internationaux, les espoirs engendrés par des processus de paix jamais aboutis. L'apparition de nouveaux conflits de 1980 aux années 2010 -Guerre Iran-Irak, guerres du Golfe, jihadisme et révoltes arabes- ont quelque peu fait perdre sa centralité à la question palestinienne qui, de son côté, s'est islamisée, avec la création en interne du Mouvement de la résistance islamique (Hamas).
Permalink[article]La frontière, barrière mouvante, invisible mais bien réelle - In : LE COURRIER DE L'UNESCO, juillet-septembre 2020 (03/07/2020), S.N.,
Depuis la chute du mur de Berlin, le concept de frontière a évolué pour devenir une barrière mobile, une construction juridique. La frontière s’est affranchie de la carte géographique et peut désormais s’étendre au-delà des limites du territoire ou à l’intérieur de celui-ci. Le détachement du pouvoir d’État de tout repère physique a créé un nouveau paradigme : la frontière mouvante, qui s’appuie sur les nouvelles technologies et la réglementation, pour imposer des restrictions de circulation aux citoyen·nes. La pandémie de Covid-19 a encore accentué ce phénomène, en interdisant l'entrée sur un territoire à des millions de citoyen·nes, ce qui revient à étendre les frontières, tant sur le plan conceptuel que juridique, en déplaçant les activités de contrôle vers des points d’entrée situés à l’étranger. https://courier.unesco.org/fr/articles/la-frontiere-barriere-mouvante-invisible-mais-bien-reelle
Permalink[article]100 years of hope, struggle and betrayal - In : NEW INTERNATIONALIST, July-August 2020 (01/07/2020), N°526,
La quête des Kurdes pour l'indépendance est longue et complexe. Cet article retrace cent ans d'histoire kurde, depuis le traité de Sèvres en 1920, qui dissout l'empire Ottoman et propose déjà la création d'un État kurde autonome, aussitôt refusé par le président turc Mustafa Kemal Ataturk. Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, le "père du nationalisme kurde" Mustafa Barzani crée le Parti démocratique du Kurdistan (PDK) en Irak. Après les déportations massives de Kurdes irakiens par le régime baasiste dans les années 1970, les Kurdes d'Irak se révoltent avec le soutien de l'Iran et des États-Unis. En 1978, Abdullah Öcalan fonde en Turquie le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), dont l'objectif est de créer un État kurde indépendant puis il cherche à obtenir le soutien de l'Europe pour une solution pacifique du conflit turco-kurde. En 2009, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan annonce une "Initiative kurde", qui déclenche la fureur des nationalistes turcs, tandis qu'en Syrie, pendant la révolution de 2011, Bashar al-Assad consent à accorder plus de droits politiques aux Kurdes. En 2014, la situation kurde se complique avec les attaques terroristes de Daesh et la prise de la ville frontière de Kobané, qui pousse les Kurdes syriens à s'engager dans la guerre. En 2015, les Kurdes syriens réussissent à consolider leur territoire et à l'agrandir au nord de la Syrie. En 2017, les Kurdes irakiens votent majoritairement pour l'indépendance du Kurdistan lors d'un référendum interdit par les autorités syriennes. Mais la situation kurde se complique avec le retrait des troupes étatsuniennes de Syrie en 2019. https://newint.org/features/2020/06/11/100-years-hope-struggle-and-betrayal
PermalinkN°138 - juillet-août-septembre 2020 - Covid-19 : Edition spéciale : Les défaillances du système alimentaire mondial (Bulletin de ACTION) / Isabelle MOUSSARD CARLSEN
Permalink[article]A shot at statehood - In : NEW INTERNATIONALIST, July-August 2020 (01/07/2020), N°526,
Le Kurdistan irakien se rapproche du concept d'État-nation. La ville moderne d'Erbil se veut un temple pacifié et prospère de la consommation qui fait la fierté de ses habitant·es. En effet, pour la population locale, ici ce n'est pas l'Irak, c'est le Kurdistan ! Pour les Kurdes éparpillé·es en Irak, Iran, Syrie et Turquie, la région semi-autonome d'Erbil ouvre la possibilité d'une nation indépendante. Les Kurdes irakien·nes, dont les droits politiques ont été bafoués depuis un siècle, rêvent d'un modèle de gouvernance démocratique loin des dysfonctionnements de l'État irakien qu'iels veulent quitter. https://newint.org/features/2020/06/11/shot-statehood-rival-families
Permalink[article]Présence chinoise dans les Balkans occidentaux : concurrence, complémentarité, coopération - In : MONDE CHINOIS, 2020/1 (01/04/2020), N°61, P. 101-122
Cet article envisage la présence chinoise dans 6 pays de la péninsule balkanique occidentale : Albanie, Bosnie-Herzégovine, Kosovo, Macédoine du Nord, Monténégro et Serbie. Ils sont en cours d'adhésion à l'Union européenne ou invités à le faire. L'UE est aujourd'hui leur principal partenaire en termes d'échanges commerciaux et d'investissement direct. D'autres pays sont également présents dans la région mais la Chine émerge comme partenaire dans de nombreux domaines et secteurs économiques. Cette présence chinoise se manifeste par la croissance des échanges commerciaux, l'augmentation des investissements directs, la prestation de services dans la construction d'infrastructures portuaires, ferroviaires et autoroutières. Avec la Serbie, elle va même jusqu'à la coopération dans les domaines militaire (fourniture de matériel) et de sécurité (systèmes de surveillance). L'analyse de l'impact de cette présence au point de vue économique et géostratégique pose la question d'une alternative à l'intégration européenne.
PermalinkN°176 - 1er trimestre 2020 - L'Asie du Sud-Est (Bulletin de HERODOTE) / Béatrice GIBLIN
Permalink[article]Situations dégradées, systèmes dégradés : quelques réflexions pour l’humanitaire face aux scénarios d’effondrement - In : HUMANITAIRES EN MOUVEMENT, mars 2020 (01/03/2020), N°21, P. 47-52
Face à l’éventualité d’un effondrement qui devient de plus en plus réaliste, l’aide humanitaire ne part pas de zéro. Elle peut en effet compter sur ses nombreuses années d’expérience dans des contextes particulièrement affectés aux causes très diverses. À cela s’ajoute néanmoins un risque supplémentaire : la croyance au tout « technologique » au sein même de la réponse aux crises. https://www.urd.org/fr/revue_humanitaires/situations-degradees-systemes-degrades-quelques-reflexions-pour-lhumanitaire-face-aux-scenarios-deffondrement/
Permalink[texte imprimé]0,03 % ! Pour une transformation du mouvement humanitaire international MICHELETTI, Pierre, EMMANUELLI, Xavier - ARTIGNOSC SUR VERDON : PAROLE, 2020/09, 282 P.
"Une très large proportion de l'action humanitaire est consacrée à des zones de conflit. Chaque année, sur tous les continents, entre 100 et 200 millions de personnes dépendent d'une aide extérieure vitale pour leur survie. La solidarité internationale d'urgence se déploie au nom du principe fondamental d'une commune humanité entre les aidants et les aidés. Elle se débat pourtant face à des difficultés qui l'exposent à la paralysie. Elle n'arrive pas à réunir les ressources financières annuelles qu'il conviendrait de mobiliser. Les équipes sont confrontées à la suspicion voire à la violence des belligérants. Les lois antiterroristes ne tiennent pas compte des réalités auxquelles sont confrontés les humanitaires, et alimentent leur insécurité. Après avoir démêlé l'écheveau complexe des différents acteurs, puis analysé les ambiguïtés qui hypothèquent désormais la démarche humanitaire, Pierre Micheletti dresse une liste de 10 propositions pour préserver une capacité à agir et éviter le risque d'instrumentalisation par les grandes puissances". (Résumé de l'éditeur).
Permalink[texte imprimé]"Agilité" ou "gestion adaptative" CARRIER, Michaël, - PLAISIANS : GROUPE URGENCE REHABILITATION DEVELOPPEMENT (GROUPE URD), 2020/04, 36 P.
Les méthodes «classiques» de gestion de projet ne sont pas toujours pertinentes quand le contexte d’intervention ou l’action envisagée est trop complexe pour pouvoir (presque) tout planifier à l’avance. Dans ces conditions, la mise en œuvre et la contribution d’une action de solidarité à l’amélioration des conditions de vie dépendent en partie de la capacité des personnes et des organisations à être «agiles», c’est-à-dire à s’adapter aux changements et répondre efficacement aux incertitudes. Ce document rassemble les bonnes pratiques «agiles» existantes en une approche cohérente et complète de gestion d’une action de solidarité en situation complexe. Il répond aux questions suivantes : qu’est-ce que la «gestion agile ou adaptative» et comment la mettre en pratique ?
https://www.urd.org/wp-content/uploads/2020/06/Guide-Gestion-Agile_FINAL_FR.pdf
Permalink[texte imprimé]Agilité ou gestion adaptative : outils d'aide à la mise en oeuvre d'actions de solidarité en situation complexe CARRIER, Michaël, - PLAISIANS : GROUPE URGENCE REHABILITATION DEVELOPPEMENT (GROUPE URD), 2020/05, 12 P.
Cette boîte à outils répond aux besoins concrets des équipes pour mettre en pratique une action «agile» de solidarité. Elle complète le Guide sur l’agilité ou la gestion adaptative développé par le Groupe URD. Ces outils sont régulièrement actualisés à partir des expériences du Groupe URD et des retours des utilisateurs.
https://www.urd.org/fr/publication/boite-a-outils-agilite-ou-gestion-adaptative-2020/
Permalink[texte imprimé]L'année stratégique 2021 : analyse des enjeux internationaux BONIFACE, Pascal, PARAIRE, Philippe - MALAKOFF : ARMAND COLIN, 2020, 362 P.
Cet ouvrage nous délivre une analyse des relations internationales pendant l'année 2020. La pandémie causée par la Covid-19 a bouleversé la géopolitique mondiale et a exacerbé les tensions économiques et politiques qui existaient déjà dans le « monde d'avant » et qui s'en retrouvent renforcées, comme par exemple la rivalité sino-états-unienne.
Permalink[texte imprimé]Atlas des relations internationales : 100 cartes pour comprendre le monde de 1945 à nos jours BONIFACE, Pascal, - MALAKOFF : ARMAND COLIN, 2020, 161 P.
A travers 100 cartes, Pascal Boniface plonge dans l'analyse des conflits majeurs qui ont rythmé l'histoire contemporaine. Cette édition revue et augmentée de l'atlas des relations internationales et géostratégiques propose des clefs pour décrypter le monde global et situer les enjeux actuels, à la lumière des événements des soixante dernières années.
Permalink[texte imprimé]Bassin du Lac Tchad : Soutenir la cohésion sociale par l'appui aux mécanismes endogènes de prévention, médiation et résolution de conflits ? BACHÉ, Johanna, - PLAISIANS : GROUPE URGENCE REHABILITATION DEVELOPPEMENT (GROUPE URD), 2020/10, 56 P.
Les mécanismes endogènes de prévention, médiation et résolution de conflits dans les pays du bassin du lac Tchad font l’objet d’une attention particulière de la part des acteurs internationaux depuis ces dernières années. L’objectif de cette recherche, conduite dans le cadre du projet RESILAC, est de tenter d’apporter des clarifications et de préciser dans quelle mesure et pour quels objectifs l’aide peut soutenir ces mécanismes pour apaiser les sources de tensions et les conflits, et participer, dans une certaine mesure, du renforcement de la cohésion sociale à l’échelle communautaire. Pour cela, il s’est agi dans un premier temps de dresser un état des lieux des dynamiques de conflits actuelles dans les territoires de l’enquête, avant de cartographier dans un second temps les mécanismes endogènes (qu’ils relèvent de la justice traditionnelle ou de la justice moderne) à même de prévenir et de gérer les conflits en cours dans ces zones. Entre février et mars 2020, plus de soixante entretiens et groupes de discussion ont ainsi été conduits par une équipe de chercheurs pluridisciplinaire en capitale et sur neuf territoires de la région.
https://www.urd.org/wp-content/uploads/2020/10/Rapport_RESILAC_CohesionSociale_Bassin-du-lac-Tchad.pdf
Permalink[document électronique]Burkina Faso : une jeune démocratie à l’épreuve du terrorisme islamiste MDH (Maison des droits de l'homme) Limoges, - PARIS : RESEAU D'INFORMATION ET DE DOCUMENTATION POUR LE DEVELOPPEMENT DURABLE ET LA SOLIDARITE INTERNATIONALE (RITIMO), 2020/01, N.P.
Ce dossier revient tout d'abord sur la destitution de Blaise Compaoré en 2014 dans un contexte d'insurrection populaire et sur l'espoir démocratique que sa chute du pouvoir a suscité au sein de la population. Puis sont détaillées les difficultés auxquelles le pays doit faire face depuis 2016, notamment du fait d'organisations terroristes actives au Sahel, les djihadistes étant désormais à l’affût pour exploiter toutes les faiblesses du pays. Sur le plan de la politique extérieure, les exigences et prétentions françaises sont plutôt mal accueillies, tandis que du point de vue économique, les ressources du Burkina Faso continuent d'attiser les convoitises internationales et ne bénéficient toujours pas autant qu'elles le devraient à la population locale.
Public :
https://www.ritimo.org/Burkina-Faso-une-jeune-democratie-a-l-epreuve-du-terrorisme-islamiste
Permalink[document électronique]Un cauchemar nommé Total Amis de la Terre France, Survie - MONTREUIL : AMIS DE LA TERRE FRANCE, 2020/10, 33 P.
Malgré les alertes répétées des associations ougandaises, tanzaniennes et internationales, Total poursuit ses mégaprojets pétroliers. Selon les témoignages recueillis pour ce rapport par les associations Survie et Les Amis de la Terre, ces projets impliquent "des déplacements massifs de populations, qui se retrouvent sans aucun moyen de subsistance, entraînant des situations de famine et de déscolarisation, sans que personne ne reçoive la moindre compensation."
Public :
https://www.amisdelaterre.org/wp-content/uploads/2020/10/rapport-un-cauchemar-total-amisdelaterre-survie.pdf
Permalink