Catégories
Documents disponibles dans cette catégorie (5401)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le haut et vers le bas
[article]Attention, sursollicitation ! - In : ARSEG INFO, novembre 2014 (01/11/2014), N°244, P. 38-41
Les espaces de travail ouverts et les nouveaux modes de management favorisent la communication, souvent au détriment de la concentration. Cette tendance à sur-solliciter les sens pèse sur les salariés et peut se révéler contre-productive pour l'entreprise.
[article]
Titre : Attention, sursollicitation ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Céline CADIOU Année de publication : 2014 Article en page(s) : P. 38-41 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Bien-être". Photos, encadrés. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Géographique
France
Thésaurus Thématique
SANTÉ ; Entreprise ; Conditions de travail ; Communication ; Travailleur Travailleuse
Thésaurus Bioforce
Aménagement intérieur ; Bâtiment ; Logistique / Technique / EquipementsRésumé : Les espaces de travail ouverts et les nouveaux modes de management favorisent la communication, souvent au détriment de la concentration. Cette tendance à sur-solliciter les sens pèse sur les salariés et peut se révéler contre-productive pour l'entreprise. Type de contenu : essai, réflexion, analyse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65886
in ARSEG INFO > N°244 (novembre 2014) . - P. 38-41[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité BIOF01267 BIOF R ARS autres textes imprimés 69 - BIOFORCE (Vénissieux) Disponible [article]Des audits pour démonter la dette - In : LES AUTRES VOIX DE LA PLANETE (AVP), 4e trimestre 2020 (31/12/2020), N°79, 96 P.
De nombreux collectifs pour un audit citoyen de la dette publique ont été créés en Belgique ou en France mais aussi dans d'autres pays européens et sur d'autres continents. Ces collectifs ont contribué au débat public sur toutes les questions que soulèvent l'existence de la dette. De l'Afrique à l'Amérique latine, les audits sont source d'espoir, la plupart du temps déçus car leurs recommandations sont rarement pris en compte par les pouvoirs politiques en place, à l'exception de l’Équateur. a partir de l'expérience et de l'action du CADTM, ce dossier offre de nombreuses pistes pour agir sur les dettes illégitimes. Le premier chapitre est consacré à une définition des audits et à leurs relations avec la démocratie. Le deuxième chapitre plus étoffé, se penche sur différents cas d'études, des bonnes pratiques, des tentatives et des échecs d'audits aux niveaux étatiques mais aussi à l'échelle locales. Des audits par secteurs sont également évoqués pour l'utilité démocratique qu'ils représentent et le partage d'expériences qu'ils permettent. Le troisième chapitre énumère les écueils à éviter et offre des perspectives pour ouvrir le champ des possibles au plus grand nombre.
[article]
Titre : Des audits pour démonter la dette Type de document : texte imprimé Auteurs : Robin DELOBEL, Coordinateur Année de publication : 2020 Article en page(s) : 96 P. Note générale : Dossier divisé en 3 parties et 32 articles, 18 photos, 3 illustrations. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Finance ; Finance éthique ; Dette ; Traitement de la dette ; Citoyenneté
Thésaurus Géographique
Belgique ; France ; Equateur ; Italie ; Mali ; Tunisie ; EspagneRésumé : De nombreux collectifs pour un audit citoyen de la dette publique ont été créés en Belgique ou en France mais aussi dans d'autres pays européens et sur d'autres continents. Ces collectifs ont contribué au débat public sur toutes les questions que soulèvent l'existence de la dette. De l'Afrique à l'Amérique latine, les audits sont source d'espoir, la plupart du temps déçus car leurs recommandations sont rarement pris en compte par les pouvoirs politiques en place, à l'exception de l’Équateur. a partir de l'expérience et de l'action du CADTM, ce dossier offre de nombreuses pistes pour agir sur les dettes illégitimes. Le premier chapitre est consacré à une définition des audits et à leurs relations avec la démocratie. Le deuxième chapitre plus étoffé, se penche sur différents cas d'études, des bonnes pratiques, des tentatives et des échecs d'audits aux niveaux étatiques mais aussi à l'échelle locales. Des audits par secteurs sont également évoqués pour l'utilité démocratique qu'ils représentent et le partage d'expériences qu'ils permettent. Le troisième chapitre énumère les écueils à éviter et offre des perspectives pour ouvrir le champ des possibles au plus grand nombre. Type de contenu : essai, réflexion, analyse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78780
in LES AUTRES VOIX DE LA PLANETE (AVP) > N°79 (4e trimestre 2020) . - 96 P.[article]Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 17000 CM AVP 4ème trim.2020 N°79 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Disponible 16967 139 autres textes imprimés 54 - CLID (Nancy) Disponible [article]Les bagnoles volantes - In : LA DECROISSANCE, juin 2018 (01/06/2018), N°150, P. 8-9
Remise en question de la fascination pour l'avion et dénonciation des effets néfastes d'une vitesse sans cesse accrue : uniformisation des paysages, besoins monstrueux en énergie, inégalités sociales de son usage. Appel ironique à une suppression de ce gaspillage.
[article]
Titre : Les bagnoles volantes Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard CHARBONNEAU Année de publication : 2018 Article en page(s) : P. 8-9 Note générale : Reprise d'un ancien article de Bernard Charbonneau dans "La Gueule ouverte". Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Nuisance ; Transport aérien ; Transport routierRésumé : Remise en question de la fascination pour l'avion et dénonciation des effets néfastes d'une vitesse sans cesse accrue : uniformisation des paysages, besoins monstrueux en énergie, inégalités sociales de son usage. Appel ironique à une suppression de ce gaspillage. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75168
in LA DECROISSANCE > N°150 (juin 2018) . - P. 8-9[article][texte imprimé]Banane : à la recherche d'une production et d'un commerce durables CHAMBRON, Anne-Claire, SMITH, Alistair - PARIS : FONDATION CHARLES LEOPOLD MAYER POUR LE PROGRES DE L'HOMME (FPH), S.D., 85 P.
La banane représente une source cruciale de recettes d'exportation pour au moins 15 pays d'Amérique Latine et des Caraïbes. A travers l'étude du commerce de la banane, on aborde la plupart des problématiques du développement et l'analyse des principaux obstacles à la promotion d'un commerce et d'une agriculture durables.
Dans une première partie, les auteurs analysent le marché international des bananes, exemple classique du commerce inéquitable des produits agro-alimentaires. La seconde partie est consacrée à la politique des états européens avant l'Union Européenne puis la mise en place d'une organisation commune des marchés de la banane par l'U.E. Ceci a débouché, en 1993, à la guerre économique de la banane et notamment à la plainte déposée par les pays d'Amérique Latine à l'encontre de la préférence européenne pour la banane ACP pour non conformité aux accords du GATT(Accord Général sur les tarifs douaniers et le commerce).
Cette guerre de la banane a notamment posé la question suivante : un pays ou un bloc de pays a-t'il le droit de discrimination, à sa frontière, entre deux produits identiques produits selon des critères sociaux et écologiques différents ? La suite de ce rapport présente la naissance d'un réseau européen EUROBAN (Réseau d'Action Européen sur la Banane), qui regroupe des ONG qui travaillent dans le domaine de la banane en 1994 qui se sont associées pour créer une filière de commercialisation de la banane dans le cadre du commerce équitable. En mars 1997, les bananes "Fair Trade" Max Havelaar sont lancées sur le marché suisse. Les ONG qui défendent le commerce équitable sont devenues des interlocutrices incontournables des gouvernements et des institutions. Les ONG ont aussi pris conscience de la nécessité de lier le commerce international au respect des standards environnementaux et sociaux.
Titre : Banane : à la recherche d'une production et d'un commerce durables Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Claire CHAMBRON ; Alistair SMITH Editeur : PARIS : FONDATION CHARLES LEOPOLD MAYER POUR LE PROGRES DE L'HOMME (FPH) Année de publication : S.D. Collection : DOCUMENTS DE TRAVAIL num. 101 Importance : 85 P. Note générale : Ce document n'a pas de date d'édition, mais l'ensemble des informations données sont antérieures à 1998.
Schémas, graphiques. En annexe, chronologie de la mise en place d'un réseau international sur la banane et une bibliographie (1 p.).Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Géographique
Europe ; Amérique latine ; Antilles ; Afrique
Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Banane ; Échange inégal ; Commerce international ; Commerce équitable ; Union européenne (UE) ; États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique associés à la CEE (ACP) ; Agriculture d'exportation ; ONGRésumé : La banane représente une source cruciale de recettes d'exportation pour au moins 15 pays d'Amérique Latine et des Caraïbes. A travers l'étude du commerce de la banane, on aborde la plupart des problématiques du développement et l'analyse des principaux obstacles à la promotion d'un commerce et d'une agriculture durables.
Dans une première partie, les auteurs analysent le marché international des bananes, exemple classique du commerce inéquitable des produits agro-alimentaires. La seconde partie est consacrée à la politique des états européens avant l'Union Européenne puis la mise en place d'une organisation commune des marchés de la banane par l'U.E. Ceci a débouché, en 1993, à la guerre économique de la banane et notamment à la plainte déposée par les pays d'Amérique Latine à l'encontre de la préférence européenne pour la banane ACP pour non conformité aux accords du GATT(Accord Général sur les tarifs douaniers et le commerce).
Cette guerre de la banane a notamment posé la question suivante : un pays ou un bloc de pays a-t'il le droit de discrimination, à sa frontière, entre deux produits identiques produits selon des critères sociaux et écologiques différents ? La suite de ce rapport présente la naissance d'un réseau européen EUROBAN (Réseau d'Action Européen sur la Banane), qui regroupe des ONG qui travaillent dans le domaine de la banane en 1994 qui se sont associées pour créer une filière de commercialisation de la banane dans le cadre du commerce équitable. En mars 1997, les bananes "Fair Trade" Max Havelaar sont lancées sur le marché suisse. Les ONG qui défendent le commerce équitable sont devenues des interlocutrices incontournables des gouvernements et des institutions. Les ONG ont aussi pris conscience de la nécessité de lier le commerce international au respect des standards environnementaux et sociaux.Type de contenu : rapport, rapport d'activités Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=19953 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 22400 CD FPH/TRA.101 autres textes imprimés 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [article]Banque mondiale : Erreur sur la marchandise MARTIN-PRÉVEL, Alice - In : DEFIS SUD, mars-avril 2016 (01/03/2016), N°129, P. 9-40
Pierre Coopman, dans le premier article explique le pouvoir, la vision et le fonctionnement de la Banque mondiale (BM) et analyse les résultats d'une étude publiée par l'Oakland Institute intitulée "Les mythes de la Banque mondiale sur l'agriculture et le développement". Mythe n°1 : la banque assure l'accès des agriculteurs à la terre (mais la Société Financière Internationale ou SFI, sa branche de financement de l'agrobusiness, encourage les investissements menant vers l'accaparement des terres). Mythe n°2 : la BM s'intéresse aux petits agriculteurs (mais la SFI promeut un modèle de titrisation des terres et la banque met l'accent sur la nécessité d'une révolution productive = productiviste). Mythe N°3 : la BM appuie le secteur privé pour renforcer in fine le secteur public et la bonne gouvernance (mais elle facilite les entreprises étrangères qui veulent exploiter les ressources naturelles). Contrairement au droit commun des organisations internationales, la gouvernance de la Banque mondiale fonctionne sur le principe du "un dollar, une voix". Ce qui prime ce n'est pas l'égalité souveraine des États, ni leur poids démographique, mais la contribution au capital des États membres qui sont également actionnaires.
[article]
Titre : Banque mondiale : Erreur sur la marchandise Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre COOPMAN ; Alice MARTIN-PRÉVEL ; Antonio GAMBINI Année de publication : 2016 Article en page(s) : P. 9-40 Note générale : Dossier de 8 articles :
* Mythes et réalités de la banque mondiale. La banque mondiale nous raconte-t-elle de belles histoires ?
* Le musée des horreurs de la banque mondiale
* Agriculture privatisée. Les indicateurs de business de la banque mondiale favorisent l'agro-industrie
* Belgique. L'opacité d'une contribution
* Pérou. Un soutien discutable
* Équateur. Le divorce manqué
* Sénégal. Un projet "inclusif" qui se perd en procédures
* Afrique de l'Ouest. Entre espoirs et craintes face aux financements de la Banque.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL ; Institutions financières internationales ; Banque mondiale (BM) ; Agriculture ; Projet de développement ; Secteur privé
Thésaurus Géographique
Belgique ; Pérou ; Equateur ; Sénégal ; Burkina FasoRésumé : Pierre Coopman, dans le premier article explique le pouvoir, la vision et le fonctionnement de la Banque mondiale (BM) et analyse les résultats d'une étude publiée par l'Oakland Institute intitulée "Les mythes de la Banque mondiale sur l'agriculture et le développement". Mythe n°1 : la banque assure l'accès des agriculteurs à la terre (mais la Société Financière Internationale ou SFI, sa branche de financement de l'agrobusiness, encourage les investissements menant vers l'accaparement des terres). Mythe n°2 : la BM s'intéresse aux petits agriculteurs (mais la SFI promeut un modèle de titrisation des terres et la banque met l'accent sur la nécessité d'une révolution productive = productiviste). Mythe N°3 : la BM appuie le secteur privé pour renforcer in fine le secteur public et la bonne gouvernance (mais elle facilite les entreprises étrangères qui veulent exploiter les ressources naturelles). Contrairement au droit commun des organisations internationales, la gouvernance de la Banque mondiale fonctionne sur le principe du "un dollar, une voix". Ce qui prime ce n'est pas l'égalité souveraine des États, ni leur poids démographique, mais la contribution au capital des États membres qui sont également actionnaires. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69264
in DEFIS SUD > N°129 (mars-avril 2016) . - P. 9-40[article]Exemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 65633 AGR SOS déf129 autres textes imprimés 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible 63023 CM Défis-Sud N° 129 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt BU HDL 0063563 PV 63/129 autres textes imprimés 69 - BU HDL (Lyon) Disponible [article]Les banques ne paient pas assez d'impôts COUPPEY-SOUBEYRAN, Jézabel - In : ALTERNATIVES ECONOMIQUES, janvier 2014 (01/01/2014), N°331, P. 70-73
Dans la dernière décennie, les impôts payés par les banques ont augmenté bien moins que leurs profits. Taxer davantage les banques est une question d'équité et aussi un levier possible de régulation financière. La difficulté pour y arriver est liée à la forte internationalisation des groupes bancaires qui leur permet d'optimaliser leur fiscalité via leurs nombreuses filiales (et les filiales de filiales) dans les paradis fiscaux.
Permalink[article]La « barbarie moderne » de l’agrobusiness au Brésil - In : ALTERNATIVES SUD, 3e trimestre 2012 (22/09/2012), VOL. 19-2012/3, P. 133-148
Au Brésil, l'agrobusiness reproduit le modèle colonial des plantations destinées à l'exportation vers des pays industrialisés ; des entreprises transnationales contrôlent le commerce agricole international, les semences, la production de pesticides et l'agro-industrie. Ainsi le processus d'exploitation et de domination des travailleurs se perpétue, la concentration des terres s'intensifie et la paysannerie tend à disparaître. De plus, il y a une destruction accrue de l'environnement et de la biodiversité. Cette organisation laisse de moins en moins de place à une agriculture paysanne destinée à la population brésilienne.
Permalink[article]A belle plante, plastique impeccable - In : UP LE MAG, hiver 2014-2015 (01/12/2014), N°6, P. 25
Le plastique s'est rendu incontournable en moins d'un siècle tout en rendant l'humanité dépendante du pétrole. En France, l'industrie de transformation développe aujourd'hui des alternatives à base de plantes : les "plastiques biosourcés". Mais le prix des matières premières et l'empressement des grandes entreprises de consommation à communiquer sur le sujet (Coca-Cola, Danone) laissent à penser qu'il s'agit avant tout de "greenwashing" (éco-blanchiment abusif à des fins commerciales).
Permalink[article]Bénévolat, service civique... "la nouvelle exploitation" ? - In : LES AUTRES POSSIBLES : LE MAP, novembre-décembre 2020 (01/11/2020), N°29, N.P.
Dans cet entretien, la sociologue du travail Maud Simonet interroge la place des activités non rémunérées dans nos sociétés. Dans son dernier ouvrage "Travail gratuit : la nouvelle exploitation ?" (2018), elle rappelle que "l'engagement citoyen", qui recouvre notamment le bénévolat ou le volontariat, n'est pas qu'une non-rémunération mais qu'il s'apparente souvent à un déni de travail. Le travail gratuit s'inscrit aujourd'hui dans les politiques et les logiques de l'emploi et la sociologue met en garde contre l'appropriation du travail d'autrui qu'il peut représenter et ses dérives.
Permalink[article]Bernard Maris oblige - In : L'ECONOMIE POLITIQUE, 4e trimestre 2016 (23/10/2016), N°72, P. 8-15
La création d'une chaire Bernard Maris invite à s'interroger sur ce que cet universitaire pensait de sa discipline. La recherche en économie était, pour lui, le prolongement de son engagement politique, ne serait-ce que pour comprendre et intervenir sur les inégalités. Ayant lu Marx et surtout Keynes qu'il vénérait, il rejetait l'idée d'autorégulation des marchés. Une de ses références était l'ouvrage de Keynes "La pauvreté dans l'abondance". Il ne supportait pas la prétention des économistes à se faire passer pour des scientifiques avec des théories et des lois qui font qu'il sont coupés du réel.
Permalink[article]Le bien-être réel objectif des entreprises ? - In : WORKPLACE MAGAZINE, janvier 2016 (04/01/2016), N°254, P. 38-43
Le bien-être et même le bonheur au travail sont des promesses invitées au vocabulaire des entreprises depuis quelques années. Entre approche humaniste et injonction à être heureux, les politiques de qualité de vie au travail peuvent englober des réalités bien différentes.
Permalink[article]Bien gérer ses déménagements internes - In : ARSEG INFO, juin 2015 (04/06/2015), N°249, P. 36-39
Les déménagements représentent un bouleversement pour l'organisation d'une entreprise. La préparation et la communication sont des points clés à assurer pour un déroulement sans encombre.
Permalink[article]Le bio investit les assiettes - In : ARSEG INFO, novembre 2015 (04/11/2015), N°252, P. 40-42
Sécurité alimentaire, recherche de qualité des produits sains, de traçabilité etc. Les mentalités et les attentes des Français ont changé et le bio s'introduit progressivement dans les assiettes. 73 % des Français déclarent vouloir consommer bio sur leur lieu de travail. En face, l'offre s'adapte, doucement.
Permalink[article]Biodiversité, le rôle clé des entreprises - In : ARSEG INFO, avril 2014 (04/04/2014), N°239, P. 66-70
Pour favoriser la biodiversité en milieu urbain, la conception de bâtiments "accueillants" pour la faune et la flore ainsi qu'une gestion vertueuse de ces dernières sont devenues très prisées des responsables de l'immobilier et de l'environnement de travail dans les entreprises.
Permalink[article]Le bluff de l'économie circulaire BERNARD, Michel - In : SILENCE, septembre 2021 (01/09/2021), N°502, P. 4-14
L'économie circulaire se base sur l'idée que l'on peut continuer à produire et consommer toujours plus d'objets qui seraient indéfiniment recyclables. Le recyclage n'est que rarement possible ou alors non rentable, ce que montre l'expérience ratée de la start-up "la boucle verte". C'est une illusion de croire que la croissance est possible sans l'extraction de matières premières. Cette idée va à l'encontre de la décroissance. La construction d'objets plus solides, réparables, la réutilisation sont des alternatives à la surproduction actuelle.
Permalink[article]Les "Born Globals" chinoises de la province du Zhejiang : un exemple réussi d'insertion dans les chaînes mondiales de valeur LIN, Simin - In : AUTREPART : REVUE DE SCIENCES SOCIALES AU SUD, 2014/1 (01/03/2014), N°69, P. 71-92
Nombreuses sont les PME chinoises qui exportent dès leur création et vont ainsi s'insérer dans les chaînes mondiales de valeur. L'article cherche à comprendre les déterminants de l'internationalisation de ces "Born Globals" (BGs) chinoises, compte tenu de l'existence d'un marché intérieur important. Dans cet article, les principaux facteurs de l'internationalisation rapide des BGs sont identifiés en général, puis comparés avec ceux des PME chinoises. Une étude exploratoire sur une centaine de petites entreprises du Zhejiang conduit à retenir deux facteurs clés permettant d'expliquer le développement international rapide des PME chinoises, à savoir leurs dirigeants et leurs réseaux. Des entretiens approfondis menés dans quatre BGs de cet échantillon permettent ensuite de mieux comprendre le rôle de ces deux facteurs et de conclure sur les conditions de l'insertion très rapide des BGs chinoises dans les chaînes mondiales de valeur.
Permalink[article]Les BRICS en Afrique MARTINET, Laetitia - In : AFRIQUE CONTEMPORAINE, 2013/4 (01/10/2013), N°248, P. 13-30
L'Afrique du Sud, le Brésil, la Chine, la Russie et l'Inde se sont réunis à Durban en mars 2013 lors du cinquième sommet des BRICS. Ce sigle a été créé en 2001 par l'économiste Jim O'Neill pour désigner des pays dont le PIB par habitant est inférieur à celui des pays développés mais dont la croissance économique est rapide. Le sommet de Durban a été l'occasion de lancer un organisme de concertation le "BRICS Tanks Council" afin de constituer un groupe d'influence efficace. Par rapport à l'Afrique, les BRICS misent sur le commerce et les investissements plus que sur le développement. Les pays africains ne doivent pas être seulement des fournisseurs de matières première car, ce partenariat inégal risque d'accroître les inégalités socio-économiques.
Permalink[article]Les bureaux en 2020... et après ! - In : ARSEG INFO, mars-avril 2015 (04/03/2015), N°247, P. 68-70
Les entreprises comme les salariés considèrent désormais leurs locaux comme un showroom, une vitrine de leurs produits et de leurs valeurs. L'article aborde les enjeux qui déterminent les choix d'aménagements des espaces de travail.
Permalink[article]Burkina Faso : Territoire-test à OGM - In : BILLETS D'AFRIQUE, décembre 2019 (01/12/2019), N°292, P 7-8
Après l'échec du coton Bt de Monsanto, les Burkinabè sont une nouvelle fois les cobayes des firmes de biotechnologies avec un premier lâcher de moustiques génétiquement modifiés sur la commune de Bobo-Dioulasso (Burkina Faso) en juillet dernier. Le prétexte est d'éradiquer la propagation du paludisme par forçage génétique (technique visant à imposer la transmission d'un gène à toute la descendance). Une technique qui intéresse fortement les investisseurs pour d'autres fins que la santé des populations. Au vu des expériences passées, des risques sous estimés et des échecs d'expérimentations précédentes, ce projet suscite une forte résistance citoyenne. Une plante aux vertus anti-paludéenne pourrait être une alternative. https://survie.org/billets-d-afrique/2019/292-decembre-2019/article/territoire-test-a-ogm
Permalink[article]C'est tout un système d'approvisionnement qu'il faut repenser - In : LA DECROISSANCE, juin 2020 (01/06/2020), N°170, P. 8-9
Mise en exergue par la crise du coronavirus, la logistique, depuis les années 80, est devenue centrale dans nos économies délocalisées et organisées sur la sous-traitance. Les images, liées au mouvement et aux flux, attachées à ce domaine, illusion de légèreté, masquent la réalité du travail de stockage et de manutention qu'il implique, l'un des plus éprouvants de notre époque. Exploitation des hommes, impact écologique lié aux transports et à la stérilisation d'immenses surfaces : la transformation écologique exige une réduction drastique du domaine de la logistique.
Permalink