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[texte imprimé]We all went on safari KREBS, Laurie, CAIRNS, Julia - LONDRES (ROYAUME UNI) : BAREFOOT BOOKS, 2004, 30 P.
Un livre illustré pour découvrir la savane, les animaux de Tanzanie, le peuple Massaï et apprendre à compter en swahili et en anglais.
[vidéo]We are People Already Sold - LONDRES (ROYAUME UNI) : GLOBAL WITNESS, 2011, 1 DVD, 10 mn.
En 2011, Global Witness a rendu visite à 67 collectivités dans 3 provinces de la République démocratique du Congo (RDC). Ce court-métrage raconte les histoires des personnes victimes de l'expansion de l'exploitation forestière industrielle.
Public :
[jeu]Welcome to Mupedza Nhamo ! , - BERNE (SUISSE) : DIRECTION DU DEVELOPPEMENT ET DE LA COOPERATION (DDC), 1996,
Ce jeu aborde les relations Nord-Sud et lance quelques pistes sur la thématique du développement durable. Avec Bila, nous partons à la poursuite de ses vêtements, passés par mégarde dans le sac de ramassage des vieux habits. Une quête qui nous conduit dans un fantastique voyage en Afrique. Au Zimbabwe, nous rencontrons John. Il est notre sauveur car il sait pratiquement tout sur les vêtements : d'où vient le coton ? Un T-shirt, ça représente combien de travail ? Et, au fait, elles vont où nos vieilles frusques ?
Public : Cycle 3 (8-10 ans);Collège (11-14 ans);Lycée (15-17 ans)
[document électronique]Whatever happened to Africa's rapid urbanisation ? POTTS, Deborah, - LONDRES (ROYAUME UNI) : AFRICA RESEARCH INSTITUTE (ARI), 2012/02, 20 P.
Avec l'afflux des populations rurales vers les villes, les grandes villes africaines s'agrandissent à un rythme effrayant. C'est du moins une opinion courante, mais une chercheuse londonienne, Deborah Potts, remet en cause cette idée reçue en affirmant qu'elle est fondée sur des données défectueuses et que le taux d'urbanisation est nettement plus bas qu'on ne le pense. Arguments et données chiffrées à l'appui, elle montre que l'avenir de l'Afrique subsaharienne sera encore rurale pour quelques décennies.
Public :
https://africaresearchinstitute.org/newsite/wp-content/uploads/2013/03/Whatever-happened-to-Africas-rapid-urbanisation.pdf
Cette étude repose sur 8 études de cas : Bangladesh, Inde, Ghana, Guatemala, Pérou, Tanzanie, Thaïlande et Vietnam. Elle s’intéresse à l'impact du changement climatique sur la mobilité humaine et la sécurité alimentaire en montrant que lorsque la pluie se fait plus rare, la nourriture vient à manquer, spécialement en milieu rural, poussant les gens à partir.
https://reliefweb.int/sites/reliefweb.int/files/resources/WTRF_Global_Policy_Report.pdf
[document électronique]Witnessing the Environmental Impacts of War: Environmental case studies from conflict zones around the world , - UTRECHT (PAYS BAS) : PAX FOR PEACE, 2020, 32 P.
Ce rapport s'intéresse à l'impact des guerres sur l'environnement. Les différentes organisations partenaires de l’étude ont voulu montrer l'ampleur et la complexité des dommages environnementaux liés aux conflits qui subsistent souvent longtemps après que les armes se soient tues. Des études de cas en Irak, Syrie, Colombie, Yémen, Ukraine, Laos et au Sahel illustrent l'étude. Elles présentent des problèmes comme la déforestation illégale, la destruction agricole gratuite, ou encore les conséquences toxiques liées aux combats dans les zones industrielles. De l’espoir aussi parfois comme le montre l'exemple autour du fleuve Sénégal où les populations se sont rassemblées pour protéger l'eau et construire une paix durable.
Public :
https://paxforpeace.nl/media/download/witnessing-the-environmental-impacts-of-war.pdf
En janvier 2005, plus de 4000 représentants de gouvernements, d'organisations non gouvernementales, d'instituts de recherche se sont réunis à Kobe, au Japon, pour la deuxième Conférence mondiale sur la prévention des catastrophes. Elle a voté un Plan d'actions à mener entre 2005 et 2015, adopté par 168 États qui font donc de la réduction des catastrophes naturelles et écologiques leur priorité. Ils devront, pendant cette décennie, mettre en place des systèmes d'alertes, informer leurs populations, réduire au maximum les risques dans les secteurs clefs écologiques et préparer des réponses rapides à la crise en cas de catastrophe.
Ce rapport 2016 sur les risques mondiaux classe 171 pays selon les risques qu’ils courent d’être touchés par une catastrophe naturelle comme une inondation, un cyclone ou un séisme. Il s’intéresse aux mesures prises en prévention de ces désastres et à la façon dont les sociétés peuvent y faire face. Le rapport porte particulièrement son attention sur les sujets suivants : les infrastructures en tant que facteur de risque ; les avantages et les limites des technologies de l’information dans le secteur de la logistique humanitaire ; la coordination et les conflits d’intérêts toujours au niveau de la logistique humanitaire.
Public :
http://weltrisikobericht.de/wp-content/uploads/2016/08/WorldRiskReport2016.pdf
L'accroissement de la demande dans de part le monde peut entraîner une pénurie d'eau et de nourriture avant la moitié du XXIè siècle. La forte demande en eau des ménages, des industries, de l'environnement et particulièrement de l'agriculture font penser que le scénario de la pénurie sort de la fiction. La sécurité alimentaire étant étroitement liée à la gestion de l'eau, la pénurie de l'eau serait désastreuse pour la survie de l'humanité et cela commencerait par toucher les pays les plus pauvres. Simuler divers scénarios possibles pour prévoir ces catastrophes, permettrait d'être préparé au pire.
[document électronique]World Water Development Report : Managing water under uncertainty and risk (WWDR4) UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture), - PARIS : ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L'EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE (UNESCO), 2012/03, 407 P.
Ce 4ème rapport de l’ONU sur l’évaluation des ressources en eau dresse la liste des défis que devra affronter le monde dans les années à venir : Comment faire progresser les Objectifs du Millénaire pour le Développement en matière d’accès à l’eau, dans un contexte d’urbanisation, d’augmentation de la population mondiale et de changements climatiques qui vont bouleverser les ressources hydriques ? Les auteurs émettent aussi des recommandations sur la régulation du prix de l’eau ou l’investissement dans l’assainissement, la gestion et la conservation de l’eau.
Public :
https://unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000215644
Long de plus de 2 000 km, le fleuve Xingu traverse les États du Mato Grosso et du Pará. Plus de la moitié de ce territoire où vivent 14 000 Indiens est considérée comme une zone protégée. C’est dans ce contexte que le gouvernement brésilien a décidé de construire le barrage de Belo Monte. Le film montre la mobilisation des populations locales contre le projet. (Résumé de l'éditeur)
Public :
Ce livre essaie de répondre à huit questions sur l'avenir écologique de la planète en abordant les bouleversements climatiques, la biodiversité, la pollution, etc.
Une eau potable saine est un facteur absolument critique pour la stabilité économique et sociale, et même pour la sécurité nationale d'un pays. Cet ouvrage s'appuie sur deux études de gouvernance soulevées par la gestion de l'eau. La première étude porte sur l'installation d'une adduction d'eau dans les villages sénégalais dans des lieux qui ne conviennent pas aux villageois. Le Sénégal ne manque pas d'eau mais la recherche du profit passe avant les vrais besoins de la population. La seconde étude porte sur l'eau dans la ville d'Amman en Jordanie. Bien que la Jordanie soit un des pays les plus pauvres en eau, 97 pour cent de la population est raccordée au réseau mais l'eau ne coule dans les canalisations qu'une fois par semaine.
[article]Y a-t-il un sens à prédire la fin du monde ? DUTERME, Renaud - In : LA DECROISSANCE, octobre 2019 (01/10/2019), N°163, P. 14-15
Face à la perspective d'un effondrement, prédit mais non daté, Corinne Morel-Darleux insiste sur la nécessité de l'action personnelle, même sans illusions sur son efficacité. Renaud Duterme situe ces prédictions dans une perspective plus politique, en explicitant les différences de perceptions selon les situations économiques au niveau mondial et il réfléchit au succès de la notion de collapsologie par rapport à celui de décroissance en montrant que le premier est surtout traduit dans une perspective individuelle conforme à l'idéologie actuelle. Thierry Caminel évoque les multiples biais cognitifs qui rendent cette prédiction difficile et souligne qu'échanger à ce propos développe un imaginaire collectif, palliatif de la violence et in fine peut-être salvateur.
Les villes occupent quelques pour cent des terres émergées et concentrent plus de la moitié de la population mondiale. Cette croissance est surtout le fait des pays pauvres ou émergents. À la 3e conférence mondiale des Nations unies (Habitat III, octobre 2016), à Quito, le cœur des débats se résume à : comment réduire l'empreinte écologique des villes ? Trouver des alternatives à la voiture est une des réponses qui s'impose. Encore faut-il un urbanisme et une organisation des transports en commun qui ne rendent pas un usage de l'automobile individuelle pratiquement indispensable ! Une autre réponse est la construction de logements basse consommation et la rénovation thermique des logements existants. D'où la nécessité de renforcer le pouvoir des villes.
Au Mali, le contraste est saisissant entre les quatre mois de la saison des pluies et les huit mois de sécheresse qui suivent. Lorsque les eaux superficielles ont disparu, il est vital d'accéder aux eaux profondes de la nappe phréatique. Emu par la situation des villageois, un couple de touristes français a fondé l'association Villages Dogons, qui a financé la réalisation artisanale de deux puits, dont l'un de plus de 50 mètres de profondeur. Le film montre aussi la vie dans les villages, les femmes qui pilent le mil, les tisserands, et la fête, avec musique et danse, pour célébrer l'inauguration de ces puits de la solidarité.
Public :
Au Japon, l'industrie nucléaire et la mafia entretiennent des liens anciens. Le lobby atomique prône le nucléaire propre mais recrute sa main d'oeuvre dans les bas-fonds, grâce à la mafia qui lui permet de contourner les règles de sécurité fixées par l'État. Or la catastrophe de Fukushima en 2011 a bouleversé la situation et les parrains, qui régnaient jusqu'alors sur le recrutement des ouvriers, cherchent aujourd'hui leur place. Pendant quelques années, la "catastrophe" a été synonyme de plein emploi : ouvriers, liquidateurs et décontamineurs affluaient de tout le pays et les yakuzas prenaient leur part à cette activité florissante. Parmi les "cinquante de Fukushima" qui ont risqué leur vie pour décontaminer le site après l'accident, se trouvaient des yakuzas. Mais, lorsque la communauté internationale a découvert avec indignation l'infiltration de la centrale de Fukushima par la mafia, l'État japonais a demandé à Tepco (Tokyo Electric Power Company) de faire le ménage.
Une famille de paysans choisit de ne plus attendre l'aide internationale destinée à nourrir les populations victimes de la sécheresse. Ils partent vers une zone moins désertique du pays. Cette décision va leur permettre de retrouver le goût de la vie, de la lutte, de la joie.
Public : Collège (11-14 ans);Lycée (15-17 ans);Adulte
Jeannette Pointu, en reportage en Namibie puis au Rwanda, dans une réserve où vivent les gorilles, enfin en Chine et au Tibet, combat les trafiquants internationaux d'animaux sauvages et les braconniers.
