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[article]Deux justes du Rwanda JULIEN, Jules - In : XXI, automne 2016 (01/09/2016), N°36, P. 136-149
Pendant le génocide rwandais de 1994, Gratien Mitsindo et Gaspard Kalisa, deux Hutu, ont sauvé des Tutsi et ont reçu le certificat du mérite "comme justes pour actes de bravoure". Gratien est pasteur et a caché des Tutsi dans son église, puis il a dû fuir avec les Tutsi pour échapper aux représailles des Interahamwe (miliciens). Gaspard est croyant et a suivi les préceptes religieux enseignés par son père : "Dieu a créé un seul être humain. Il n'y a ni Tutsi ni Hutu". Après les premiers massacres de familles tutsi par les Interahamwe et les incendies de maisons tutsi, Gaspard a recueilli chez lui des enfants orphelins, les a nourris et protégés. Selon Gaspard et Gratien, "on est un homme juste pour la vie et on se doit de témoigner pour les générations futures". Mais, vingt-deux ans après le génocide, leur courage et leur solidarité interethnique leur valent toujours d'être menacés de mort par les tueurs et les revanchards à l'idéologie génocidaire intacte.
[article]
Titre : Deux justes du Rwanda : Enquête sur Gaspard Kalisa et Gratien Mitsindo Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie DARRIEUSSECQ ; Jules JULIEN, Illustrateur Année de publication : 2016 Article en page(s) : P. 136-149 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
SYSTÈMES DE VALEURS ; Conflit ; Ethnie ; Génocide ; Solidarité ; Humanisme
Thésaurus Géographique
RwandaRésumé : Pendant le génocide rwandais de 1994, Gratien Mitsindo et Gaspard Kalisa, deux Hutu, ont sauvé des Tutsi et ont reçu le certificat du mérite "comme justes pour actes de bravoure". Gratien est pasteur et a caché des Tutsi dans son église, puis il a dû fuir avec les Tutsi pour échapper aux représailles des Interahamwe (miliciens). Gaspard est croyant et a suivi les préceptes religieux enseignés par son père : "Dieu a créé un seul être humain. Il n'y a ni Tutsi ni Hutu". Après les premiers massacres de familles tutsi par les Interahamwe et les incendies de maisons tutsi, Gaspard a recueilli chez lui des enfants orphelins, les a nourris et protégés. Selon Gaspard et Gratien, "on est un homme juste pour la vie et on se doit de témoigner pour les générations futures". Mais, vingt-deux ans après le génocide, leur courage et leur solidarité interethnique leur valent toujours d'être menacés de mort par les tueurs et les revanchards à l'idéologie génocidaire intacte. Type de contenu : témoignage ; expérience, entretien Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=76209
in XXI > N°36 (automne 2016) . - P. 136-149[article]Exemplaires (4)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité CitPério-300-36 autres textes imprimés 14 - CITIM (Caen) Disponible 64659 MCM REV XXI autres textes imprimés 44 - MCM (Nantes) Disponible BIOF02964 autres textes imprimés 69 - BIOFORCE (Vénissieux) Disponible 64878 XXI 36 autres textes imprimés 69 - FORUM REFUGIES (Lyon) Disponible N°36 - automne 2016 - Les ficelles du pouvoir (Bulletin de XXI) / Laurent BECCARIA
[n° ou bulletin]
Titre : N°36 - automne 2016 - Les ficelles du pouvoir Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent BECCARIA, Coordinateur ; Patrick de SAINT-EXUPERY, Coordinateur Année de publication : 2016 Importance : 209 P. Note générale : Illustrations, photos, dessins, reportage photo, récit graphique, documentaire. Dossier comprenant :
* Au nom du "bien commun" : synthèse du dossier "Les ficelles du pouvoir" (SAINT-EXUPERY, Patrick de)
* Nous, les Césars du monde (GRASSEGGER, Hannes)
* L'homme qui murmure à l'oreille d'une ville (DESPLECHIN, Marie)
* Chez le Président (BENETTI, Pierre)
* Morts et vivants : reportage photo (RAMAZZOTTI, Sergio)
* Les enfants de Saturne (BOUSSION, Mathilde)
* La justice en radeau (CASTER, Sylvie)
* Ebola, mille jours après (ABSOLU, Adrien)
* La loi des orthodoxes : documentaire (ZARKA, Bethsabée)
* Deux justes du Rwanda : enquête (DARRIEUSSECQ, Marie)
* Ce décentrement du monde : entretien avec Serge Gruzinski (RASPIENGEAS, Jean-Claude)
* Canada, les terres fracturées (2/2) : récit graphique (SACCO, Joe)
* Ce que disent les Saoudiennes : vécu (KLOTZ GUILBERT, Lætitia).Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
POLITIQUE ; Pouvoir ; Régime politique ; Économie ; Capitalisme ; Service public ; IdéologieRésumé : Omniprésent dans la vie quotidienne de millions d'individus, qu'il soit exercé ou subi, le pouvoir revêt bien des aspects et forme un couple étrange : d'un côté l'incarnation dans une personne ou une structure dominante, de l'autre l'accord tacite ou la soumission du dominé. Les trois récits retenus pour le dossier principal intitulé "Les ficelles du pouvoir" constituent autant de visions du pouvoir et veulent montrer l'émergence d'un monde économique et politique en transition, ainsi que l'intervention de nouveaux acteurs qui réinterprètent le concept de bien commun. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=16860 [n° ou bulletin]Contient
- [article]Nous, les Césars du monde GAZHOLE - In : XXI, automne 2016 (01/09/2016), N°36, P. 30-41
En 2015, un petit groupe d'influence américano-britannique se retrouve discrètement à Necker Island, paradis du milliardaire britannique Richard Branson situé à limite orientale des îles Vierges, pour "décider de l'avenir du monde". Dans une ambiance chic et décontractée, des chefs d'entreprise de la Silicon Valley côtoient des anarchocapitalistes radicaux, ardents défenseurs du bitcoin, pour préparer une sorte de coup d'État économique mondial, une "disruption" (désorganisation) globale comme celle opérée par Airbnb ou Uber.- [article]L'homme qui murmure à l'oreille d'une ville Cruschiform - In : XXI, automne 2016 (01/09/2016), N°36, P. 44-55
Grande-Synthe est une ville du nord de la France, coincée entre la route nationale, l'autoroute A16 et les usines du bassin dunkerquois. Le revenu moyen des Grand-Synthois·es se situe à peine au-dessus du seuil de pauvreté national. Mais la ville de Grande-Synthe met un point d'honneur à construire du "beau" pour ses habitants, au nom du bien commun : parcs municipaux parfaitement entretenus, jardins partagés, cantines scolaires bio, activités sportives et culturelles pour tou·tes, construction d'une polyclinique malgré les refus administratifs, instauration d'un revenu minimum garanti. Le maire René Carême professe que "le beau appelle le beau", d'ailleurs aucun·e habitant·e n'a plus l'idée de fleurir son intérieur en pillant les parterres de la ville.- [article]Chez le Président FERRERO, Pierre - In : XXI, automne 2016 (01/09/2016), N°36, P. 58-67
Au Burundi, pays enclavé au cœur de l'Afrique centrale, le pouvoir politique incarné par le président Pierre Nkurunziza se maintient par la répression et use de la peur pour durer. Dès l'annonce de la candidature du président à un troisième mandat en 2015, la capitale Bujumbura s'est soulevée et s'est armée progressivement, marquant le début de l'amugume (la crise). Après le putsch raté du général Nyombare, ayant entraîné des milliers d'arrestations, de morts et de blessés, tout est rentré dans l'ordre et le président est redevenu le "père de la nation" avec son clientélisme sans limites et ses crimes invisibles.- [article]Morts et vivants - In : XXI, automne 2016 (01/09/2016), N°36, P. 70-83
Manille compte douze millions d'habitant·es qui s'entassent dans les moindres recoins de la ville, jusqu'au grand cimetière de la capitale philippine qui couvre cinquante-cinq hectares. Près dix mille personnes pauvres y habitent, certaines depuis plus de vingt ans. Vivre avec la mort ne choque pas les Philippin·nes, majoritairement catholiques, pour qui l'au-delà est une fête. Le dimanche, les familles pique-niquent sur les tombes en écoutant de la musique. Les habitant·es du cimetière ont monté des commerces, abris de tôle bricolés autour des tombes, et sont toléré·es par les familles des défunt·es en échange de l'entretien des sépultures. Le cimetière ne connaît pratiquement aucune criminalité et a meilleure réputation que les bidonvilles.- [article]Les enfants de Saturne MAHÉ, Vincent - In : XXI, automne 2016 (01/09/2016), N°36, P. 86-97
Dans les années 1960-70, Flint fut la fierté des États-Unis avec ses usines de voitures General Motors. Dans les années 1980, les usines ont fermé, la population s'est appauvrie, la ville a perdu la moitié de ses habitant·es et est devenue un concentré de misère sociale, jusqu'à être placée sous tutelle fédérale. Pensant faire des économies, la ville s'est séparée de son fournisseur officiel en eau pour s'approvisionner directement dans la rivière voisine contaminée au plomb. Une eau orange est sortie des robinets, les gens ont commencé à être malades (perte de cheveux, hypertension, troubles cognitifs), les enfants ont été affectés (hyperactivité, dyslexie), sans que les autorités "empoisonneuses" de la ville ne s'inquiètent de la toxicité de l'eau, pourtant avérée par des examens. Aujourd'hui, Flint vit en état d'urgence sanitaire et ne sait pas combien de temps les effets complexes et dévastateurs du plomb mettront à se développer chez les enfants.- [article]La justice en radeau ORZEL, Marta - In : XXI, automne 2016 (01/09/2016), N°36, P. 100-109
Construite dans les années 1980, la cité judiciaire de Nancy fait eau de toute part, à tel point qu'on appelle ce tribunal le "Titanic". Les murs et les plafonds des salles d'audience enterrées en sous-sol suintent, des seaux parsèment le hall d'entrée, l'humidité s'infiltre partout. Lorsque les plafonds s'écroulent et que l'argent manque pour régler les fournisseurs et entretenir le bâtiment, le naufrage n'est pas loin. En raison des sous-effectifs chroniques et des restrictions budgétaires, chaque magistrat se retrouve avec mille cinq cents dossiers à traiter par an, ce qui est humainement impossible.- [article]Ebola, mille jours après ANCONA, Laura - In : XXI, automne 2016 (01/09/2016), N°36, P. 112-121
Passée la sidération de l'épidémie Ebola en 2014, la Guinée forestière apprend à vivre avec le risque de réémergence du virus. Bernard Kamouno, agent de santé au dispensaire de Meliandou, a noté le mot Ebola en gros caractères sur son petit cahier dès l'hiver 2013, lorsqu'il a reçu en consultation le jeune Émile Ouamouno, première victime du virus. La collision d'Ebola avec l'homme s'est produite dans la forêt de Ziama, probablement favorisée par la déforestation qui pousse le virus à se rapprocher des zones habitées. Durant les premiers mois de l'épidémie, les ONG et les centres MSF se sont heurtés aux révoltés de la forêt, qui ont refusé les actions de sensibilisation à l'hygiène publique et ont attaqué les ambulances de la Croix-Rouge. Après deux années de veille contre Ebola, les agents de santé ressentent une immense lassitude mais ils ont réussi à pérenniser les actions de sensibilisation dans les régions forestières les plus reculées.- [article]La loi des orthodoxes MACAIGNE, Jeanne - In : XXI, automne 2016 (01/09/2016), N°36, P. 124-135
En Israël, les ultra-orthodoxes suivent à la lettre les préceptes de la Torah et vivent dans le quartier fermé de Mea Shearim comme au XVIIIe siècle. Dans les rues, les "haredim" (craignant Dieu) ont conservé les longs manteaux noirs et le "shtreimel" (chapeau noir aux larges bords ornés de fourrure) et portent des papillotes sur les tempes. Ils ont banni tout signe de modernité, n'ont ni radio ni télévision ni ordinateur. Les ultra-orthodoxes constituent une force politique capable de faire et défaire les coalitions et sont prêts à se battre contre l'État d'Israël si leur pratique religieuse est menacée.- [article]Deux justes du Rwanda JULIEN, Jules - In : XXI, automne 2016 (01/09/2016), N°36, P. 136-149
Pendant le génocide rwandais de 1994, Gratien Mitsindo et Gaspard Kalisa, deux Hutu, ont sauvé des Tutsi et ont reçu le certificat du mérite "comme justes pour actes de bravoure". Gratien est pasteur et a caché des Tutsi dans son église, puis il a dû fuir avec les Tutsi pour échapper aux représailles des Interahamwe (miliciens). Gaspard est croyant et a suivi les préceptes religieux enseignés par son père : "Dieu a créé un seul être humain. Il n'y a ni Tutsi ni Hutu". Après les premiers massacres de familles tutsi par les Interahamwe et les incendies de maisons tutsi, Gaspard a recueilli chez lui des enfants orphelins, les a nourris et protégés. Selon Gaspard et Gratien, "on est un homme juste pour la vie et on se doit de témoigner pour les générations futures". Mais, vingt-deux ans après le génocide, leur courage et leur solidarité interethnique leur valent toujours d'être menacés de mort par les tueurs et les revanchards à l'idéologie génocidaire intacte.- [article]Ce décentrement du monde GRUZINSKI, Serge ; DANGLA, Olivier - In : XXI, automne 2016 (01/09/2016), N°36, P. 152-161
Serge Gruzinski est historien et enseigne dans les universités du monde entier. Enfant du nord de la France, issu d'une famille venue des Sudètes au XIXe siècle, avec du sang allemand, slave et flamand, il se sent l'âme internationale. Il est convaincu que "chaque recoin de la planète peut accueillir aujourd'hui des religions, des mémoires, des modes de vie venus de différentes parties du monde" et professe sa passion pour les métissages. Pour Serge Gruzinski, ce ne sont jamais des cultures qui se mélangent, mais des êtres humains car on peut parler d'une culture aborigène mais pas d'une culture nationale, continentale ou religieuse, faite de milliers de croisements interculturels.- [article]Canada, les terres fracturées (2/2) - In : XXI, automne 2016 (01/09/2016), N°36, P. 164-195
Joe Sacco poursuit son exploration des terres fracturées du Nord canadien par les entreprises de l'industrie du pétrole et du gaz. Il continue son enquête auprès des Indiens Dene, descendants des Premières Nations occupantes de ces territoires au riche sous-sol, dont les droits historiques à la terre ne sont pas respectés par les multinationales canadiennes de l'industrie extractive depuis les années 1970.- [article]Ce que disent les Saoudiennes - In : XXI, automne 2016 (01/09/2016), N°36, P. 198-201
En Arabie saoudite, les femmes sont invisibles dans l'espace public. Comme des fantômes noirs, elles sont revêtues de l'abaya (robe islamique) couvrant la totalité des vêtements, obligatoire pour sortir. Elles habitent dans des maisons cernées de hauts murs, où seuls les membres d'une même famille sont autorisés à se voir. Parfois, en l'absence de leur mari, elles osent inviter une femme étrangère chez elles, comme l'a fait Aïda, en recevant l'auteure dans son salon aménagé à l'occidentale. Dans un souci de modernité et d'ouverture, Aïda accepte d'embrasser Lætitia Klotz-Guilbert et lui étreint la main. Cette salutation intime signe le début d'une relation suivie puis d'une amitié profonde entre les deux femmes, dont l'auteure témoigne.Exemplaires (4)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité CitPério-300-36 autres textes imprimés 14 - CITIM (Caen) Disponible 64659 MCM REV XXI autres textes imprimés 44 - MCM (Nantes) Disponible BIOF02964 autres textes imprimés 69 - BIOFORCE (Vénissieux) Disponible 64878 XXI 36 autres textes imprimés 69 - FORUM REFUGIES (Lyon) Disponible [article]La loi des orthodoxes MACAIGNE, Jeanne - In : XXI, automne 2016 (01/09/2016), N°36, P. 124-135
En Israël, les ultra-orthodoxes suivent à la lettre les préceptes de la Torah et vivent dans le quartier fermé de Mea Shearim comme au XVIIIe siècle. Dans les rues, les "haredim" (craignant Dieu) ont conservé les longs manteaux noirs et le "shtreimel" (chapeau noir aux larges bords ornés de fourrure) et portent des papillotes sur les tempes. Ils ont banni tout signe de modernité, n'ont ni radio ni télévision ni ordinateur. Les ultra-orthodoxes constituent une force politique capable de faire et défaire les coalitions et sont prêts à se battre contre l'État d'Israël si leur pratique religieuse est menacée.
[article]
Titre : La loi des orthodoxes Type de document : texte imprimé Auteurs : Bethsabée ZARKA ; Jeanne MACAIGNE, Illustrateur Année de publication : 2016 Article en page(s) : P. 124-135 Note générale : Documentaire de Bethsabée Zarka, produit par Capa. Dix plans illustrés par Jeanne Macaigne. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
SYSTÈMES DE VALEURS ; Judaïsme ; Pratique religieuse ; Intégrisme ; Laïcité ; Pouvoir
Thésaurus Géographique
IsraëlRésumé : En Israël, les ultra-orthodoxes suivent à la lettre les préceptes de la Torah et vivent dans le quartier fermé de Mea Shearim comme au XVIIIe siècle. Dans les rues, les "haredim" (craignant Dieu) ont conservé les longs manteaux noirs et le "shtreimel" (chapeau noir aux larges bords ornés de fourrure) et portent des papillotes sur les tempes. Ils ont banni tout signe de modernité, n'ont ni radio ni télévision ni ordinateur. Les ultra-orthodoxes constituent une force politique capable de faire et défaire les coalitions et sont prêts à se battre contre l'État d'Israël si leur pratique religieuse est menacée. Type de contenu : dossier documentaire, dossier de presse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=76208
in XXI > N°36 (automne 2016) . - P. 124-135[article]Exemplaires (4)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité CitPério-300-36 autres textes imprimés 14 - CITIM (Caen) Disponible 64659 MCM REV XXI autres textes imprimés 44 - MCM (Nantes) Disponible BIOF02964 autres textes imprimés 69 - BIOFORCE (Vénissieux) Disponible 64878 XXI 36 autres textes imprimés 69 - FORUM REFUGIES (Lyon) Disponible [article]Clivage Nord-Sud : l'impérialisme aujourd'hui - In : ALTERNATIVES SUD, 2e trimestre 2016 (01/07/2016), VOL. 23-2016/2, P. 117-136
Pour les économistes néolibéraux, la mondialisation aurait la vertu, entre autres, d'avoir mis un terme à l'impérialisme. L'économiste égyptien Samir Amin prend ici la position inverse : l'impérialisme est plus agressif que jamais. Il s'agit de l'impérialisme collectif de la triade : États-Unis, Europe, Japon. Le capitalisme de monopoles est entré dans une phase nouvelle, il s'est financiarisé et cherche à consolider sa domination sur le Sud. L'agressivité de cet impérialisme collectif est l'expression de la crise systémique du capitalisme. Mais cette crise est aussi celle des mouvements révolutionnaires, notamment le marxisme historique. Cette double crise engendre le chaos que vit le monde actuel.
[article]
Titre : Clivage Nord-Sud : l'impérialisme aujourd'hui : Points de vue africains Type de document : texte imprimé Auteurs : Samir AMIN Année de publication : 2016 Article en page(s) : P. 117-136 Note générale : Bibliographie ; résumé. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
SYSTÈMES DE VALEURS ; Théorie économique ; Théorie politique ; Impérialisme ; Crise politique ; Marxisme ; Socialisme
Thésaurus Géographique
Afrique ; États-Unis ; Europe ; JaponRésumé : Pour les économistes néolibéraux, la mondialisation aurait la vertu, entre autres, d'avoir mis un terme à l'impérialisme. L'économiste égyptien Samir Amin prend ici la position inverse : l'impérialisme est plus agressif que jamais. Il s'agit de l'impérialisme collectif de la triade : États-Unis, Europe, Japon. Le capitalisme de monopoles est entré dans une phase nouvelle, il s'est financiarisé et cherche à consolider sa domination sur le Sud. L'agressivité de cet impérialisme collectif est l'expression de la crise systémique du capitalisme. Mais cette crise est aussi celle des mouvements révolutionnaires, notamment le marxisme historique. Cette double crise engendre le chaos que vit le monde actuel. Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69584
in ALTERNATIVES SUD > VOL. 23-2016/2 (2e trimestre 2016) . - P. 117-136[article]N°274 - juillet-décembre 2016 - Prier aux Suds - Des lieux de culte entre territoires et mobilités du religieux (Bulletin de LES CAHIERS D'OUTRE-MER)
[n° ou bulletin]
Titre : N°274 - juillet-décembre 2016 - Prier aux Suds - Des lieux de culte entre territoires et mobilités du religieux Type de document : texte imprimé Année de publication : 2016 Importance : 356 P. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
SYSTÈMES DE VALEURS ; Église ; Pratique religieuse ; Religion ; Migration ; Société ; Pays en développement (PED)Résumé : Ce dossier montre combien les lieux de culte se trouvent au cœur du processus de territorialisation et de mobilités tant géographiques (migrations, pèlerinages, etc.) que religieuses (butinage, pluralité, conversion, etc.) dans les pays du Sud. Les lieux de culte se révèlent particulièrement utiles pour saisir les modalités d’inscription du fait religieux dans l’espace des sociétés, mais aussi pour comprendre certains enjeux territoriaux et migratoires actuels, renouvelés par les transformations des modes de croyance, de pratique et de circulation à travers les frontières. Type de contenu : essai, réflexion, analyse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=21707 [n° ou bulletin]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 15565 3634 REL autres textes imprimés 54 - CLID (Nancy) Disponible [article]Les pères du pays de nulle part - In : XXI, été 2016 (01/06/2016), N°35, P. 90-99
Issus des campagnes de Ligurie, au nord de l'Italie, sans autre formation que leur parcours de séminaristes, les "padri" (pères) d'Arenzano sont les derniers piliers d'une mission carmélitaine en République centrafricaine. Dans les années 1970, les premiers moines se sont installés à Bozoum, au nord-ouest du pays, puis ils ont fondé un carmel près de Bangui. Sous le régime de la Séléka (mouvement d'anciens rebelles musulmans) arrivée au pouvoir par un coup d'État en 2013 suivie par la révolte des anti-balaka (anti-machette) de confession chrétienne ou animiste, les pères missionnaires ont accueilli dix mille personnes fuyant les violences. Le carmel se veut un lieu de refuge pour tou·tes, offrant le gîte et le couvert et organisant des réjouissances pour la population, telles que la foire agricole créée par Padre Aurelio.
Permalink[article]Quelle non-violence en temps de guerre ? - In : SILENCE, juin 2016 (01/06/2016), N°446, P. 5-14
Face aux attentats de par le monde, l'extrême violence des guerres au Moyen-Orient, la non-violence a sans doute une place à prendre au sein même de ces conflits armés. Elle a des résultats infiniment plus efficaces que la violence pour établir un monde de justice et de paix, ce dossier présente quelques actions de mouvements non-violents.
Permalink[article]Le retour à la théocratie - In : L'HISTOIRE, mai 2016 (02/05/2016), N°423, P. 64-65
Un califat a été proclamé par les djihadistes, le 29 juin 2014, à la grande mosquée de Mossoul. Ce dessein théocratique (un seul Dieu, Allah, une seule loi, la charia et un sel chef, le calife) résulte d'un long cheminement que les Frères musulmans ont tenté de suivre en 1928, en Egypte. Cet héritage médiéval a été réactivé grâce au soutien apporté en 1979 aux combattants afghans par le wahhabisme saoudien et repris par Al-Qaida, un djihad global dirigé à la fois contre les grandes puissances et les régimes musulmans qui les soutiennent. Actuellement, l'Etat islamique en Irak et en Syrie prend le relai en reproduisant des schémas messianiques répandus en terre d'islam depuis le VIIe siècle.
Permalink[article]Mais que font les volontaires de paix dans les zones de conflits ? - In : SILENCE, avril 2016 (01/04/2016), N°444, P. 33
Dans cet article, François Marchand, Coprésident de l'association française, donne un exemple concret de l'action de l'organisation Non-Violent Peaceforce engagée depuis 2010 au Soudan du Sud où la population subit des violences armées.
Permalink[article]La vie est sacrée ROCHÉ, Vincent - In : XXI, printemps 2016 (01/03/2016), N°34, P. 130-141
Antanas Mockus est professeur de philosophie et doyen de l'université nationale de Colombie. En 2010, il se présente à l'élection présidentielle pour le Parti vert, un jeune parti politique alternatif et pacifiste. Mockus critique un système gouvernemental corrompu et provoque ouvertement les puissants du pays. Menacé de mort, il est l'artisan d'une révolution pour la paix. Les militants du Parti vert mobilisent les jeunes et les artistes sur les réseaux sociaux, en organisant des "flashmobs" et des concerts de soutien. Pendant les meetings politiques, ils brandissent des fleurs, des ballons ou des crayons comme armes pacifiques. Mockus a inventé le "vaccin contre la violence" qu'il inocule symboliquement aux enfants colombiens et il répète inlassablement son slogan : "la vida es sagrada" (la vie est sacrée).
PermalinkN°145 - février-mars 2016 - Politiques, sociétés : l'emprise des religions (Bulletin de MANIERE DE VOIR) / Akram BELKAÏD-ELLYAS
PermalinkN°422 - février 2016 - Les religions dans l'arène politique (Bulletin de ESPRIT)
Permalink[texte imprimé]30 questions pour comprendre les tensions dans le monde musulman MENS, Yann, - PARIS : LES PETITS MATINS, 2016, 192 P.
Les tensions qui déchirent le monde musulman contemporain suscitent de nombreuses interrogations. Les réponses se bornent souvent à une mise en accusation de l'islam et des musulmans. Ce manuel après avoir montré les limites de l'explication religieuse, dresse une géographie des conflits actuels et examine les rivalités géopolitiques qui externalisent ces crises. La dernière partie est consacrée à la situation de l'islam en France et au problème des départs pour le djihad.
Permalink[texte imprimé]Boko Haram : Parti pour durer KOUNGOU, Léon, - PARIS : L'HARMATTAN, 2016/01, 161 P.
Cet ouvrage montre le défi qui interpelle les forces armées nationales du Nigéria, du Niger, du Cameroun, du Tchad et, depuis peu, la Force Multinationale Mixte (FMM) impulsée par la Commission du Bassin du Lac Tchad, dans la lutte contre Boko Haram. La première partie saisit l'impulsion de Boko Haram. Les développements se focalisent sur la genèse, l'évolution et les affiliations idéologiques du mouvement. La deuxième partie scrute les modalités de lutte à l'échelle nationale et sous-régionale (Afrique). Les vulnérabilités des États et des obstacles d'une stratégie axée sur la mutualisation des moyens sont analysées. Des pistes de sortie des violences sont envisagées.
Permalink[texte imprimé]Ce qu'il faut de terre à l'homme VEYRON, Martin, - PARIS : DARGAUD, 2016/01, 142 P.
Pacôme se contente de son lopin de terre de Sibérie tandis que son beau-frère l'incite à l'agrandir. Révolté par l'attitude répressive du nouvel intendant de la Barynia, il pousse la commune à acheter le domaine, puis en devient seul propriétaire. Il est obsédé par son agrandissement... jusqu'au jour où un pèlerin lui parle du pays des Bashirs et de la possibilité d'obtenir, à bas prix, de la terre "fertilissime" : Pacôme s'y rend et reçoit alors "ce qu'il faut de terre à l'homme".
Permalink[texte imprimé]Ce qui nous rassemble CARLAIN, Noé, POIROT-CHERIF, Sandra - VOISINS LE BRETONNEUX : RUE DU MONDE, 2016, 43 P.
Cet ouvrage recense les toutes petites choses de la vie, ces choses que l’on a tou·tes faites mais dont on n'a pas osé parler aux autres, telles que "essayer de semer son ombre en courant très vite", "croire qu’on est le·la seul·e à faire des oreilles de lapin sur la photo de classe" ou "sauter sur les bandes du passage piéton". Les exemples permettent une entrée en matière poétique dans la réflexion sur ce qui nous lie –ne serait-ce qu’un moment– à une autre personne qui partage la même petite manie, et plus largement sur nos points communs, dans le respect de nos différences.
Permalink[texte imprimé]Chroniques de la zone libre SALÉ, Cosma, - PARIS : LE PASSAGER CLANDESTIN, 2016, 157 P.
Au détour d'anecdotes et de témoignages se dessine une géographie des zones franches et des espaces autogérés, en lutte contre les infrastructures de béton et les normes bourgeoises. Les ZAD (devenues zones à défendre) et les squats réinventent les territoires et redéfinissent les usages. De Notre-Dame-des-Landes au barrage de Sivens, d'une cabane dans les bois au squat urbain, toute une génération recompose sa vision du monde empreinte d'imaginaire autonome et se construit des petits bouts de vie collective, en marge de la société bien pensante.
Permalink[texte imprimé]Colibri DELABRE, Céline, - PARIS : POINTS DE SUSPENSION, 2016/04, 24 P.
Un incendie ravage la forêt, tous les animaux fuient, sauf le colibri qui essaie d'éteindre un incendie avec son petit bec rempli d’eau. Ce conte amérindien nous enseigne que l'entraide est une force, que le geste de chacun compte et que nous sommes tous acteurs de notre propre vie. (D'après le résumé de l'éditeur).
Permalink[texte imprimé]Dire nous : Contre les peurs et les haines, nos causes communes PLENEL, Edwy, - PARIS : DON QUICHOTTE, 2016/03, 204 P.
Divisé en cinq parties (Notre Responsabilité, Notre Histoire, Notre France, Notre Démocratie, Notre Commun) et se terminant par un appel à la jeunesse, ce livre est un appel à l’union afin de préserver les valeurs républicaines et la démocratie mises en péril par l’adoption des lois antiterroristes adoptées ces derniers mois en France. Pour l’auteur, directeur de Médiapart, dire "nous", c’est inventer tous ensemble le "oui" qui nous manque, celui d’un peuple réuni dans sa diversité et sa pluralité autour de l’urgence de l’essentiel : la dignité humaine, le souci du monde, la survie de la terre.
Permalink[texte imprimé]Eduquer à l'incertitude FAVRE, Daniel, - MALAKOFF : DUNOD, 2016, 248 P.
Ce professeur en sciences de l'éducation s'interroge sur les méthodes pédagogiques qui prémuniraient les jeunes de tout dogmatisme.
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