Catégories
Documents disponibles dans cette catégorie (6959)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le haut et vers le bas
CHARLIE HEBDO / Laurent dit Riss SOURISSEAU
[périodique] Voir les bulletins disponibles
Titre : CHARLIE HEBDO Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent dit Riss SOURISSEAU Editeur : PARIS : CHARLIE HEBDO Note générale : "Journal satirique, laïque, politique et joyeux, toutes les semaines en kiosque et tous les jours sur internet". (Présentation de l'éditeur)
Périodicité : hebdomadaire.Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
SOCIÉTÉ ; Politique ; Économie ; Religion ; Culture ; Écologie ; Liberté d'expressionRésumé : "Charlie Hebdo c'est un coup de poing dans la gueule
Contre ceux qui nous empêchent de penser
Contre ceux qui ont peur de l'imagination
Contre ceux qui ne veulent pas qu'on s'amuse.
Charlie Hebdo c'est un journal en colère, c'est un journal qui rit.
C'est un journal qui cogne, c'est un journal qui rêve.
Charlie Hebdo c'est un journal qui n'a rien à perdre car après la vie il n'y a plus rien".
(Extrait de la présentation sur le site internet).En ligne : https://charliehebdo.fr/ Format de la ressource électronique : site web Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=11633 Etat des collections
Localisation Emplacement Cote Support Statut Origine Collection Archive Lacunes 59 - CRDTM (Lille) Local CD59 CHARLIE Broché Titre en cours N°936-941 ; 946 ; 955 ; 959-961 ; 967-988 ; 999-1003
Début N°1183, 2015 [périodique] Voir les bulletins disponibles[article]Chili : "La classe ouvrière est en train de se constituer en acteur politique" NOHALES, Karina ; ZUNIGA, Javier - In : INPRECOR, août-septembre-octobre 2019 (01/10/2019), N°666-667, P. 16-22
A partir d’octobre 2019, plus d'un million de Chilien·nes manifestent quotidiennement contre les inégalités sociales dans le domaine de l’éducation, de la santé et des retraites. Le président Piñera et son gouvernement répondent par une répression violente et meurtrière. Pour la première fois depuis la dictature, l’armée est déployée dans les rues. Dans cet entretien, Karina Nohales, militante de la Coordination féministe du 8M, et Javier Zuñiga du Mouvement pour l’eau et les territoires, discutent de la situation actuelle, du rôle de la grève générale, de l'auto-organisation, de l'espace Unité sociale, un front large qui a appelé à la grève générale et considère être l’acteur légitimé par le mouvement, ainsi que des défis pour la gauche anticapitaliste, féministe et écosocialiste.
[article]
Titre : Chili : "La classe ouvrière est en train de se constituer en acteur politique" Type de document : texte imprimé Auteurs : Karina NOHALES, Personne interviewée ; Javier ZUNIGA, Personne interviewée Année de publication : 2019 Article en page(s) : P. 16-22 Note générale : Lire aussi "Chronique provisoire d’un début de révolte, qui se poursuit..." de Luís Thielemann et Nicolás Román (p. 14-16) et "Pour une analyse de la conjoncture" de Tendencia socialista revolucionaria (Tendance de socialiste révolutionnaire), p. 23-24. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
POLITIQUE ; Mouvement populaire ; Répression ; Armée ; Autogestion ; Parti politique
Thésaurus Géographique
ChiliRésumé : A partir d’octobre 2019, plus d'un million de Chilien·nes manifestent quotidiennement contre les inégalités sociales dans le domaine de l’éducation, de la santé et des retraites. Le président Piñera et son gouvernement répondent par une répression violente et meurtrière. Pour la première fois depuis la dictature, l’armée est déployée dans les rues. Dans cet entretien, Karina Nohales, militante de la Coordination féministe du 8M, et Javier Zuñiga du Mouvement pour l’eau et les territoires, discutent de la situation actuelle, du rôle de la grève générale, de l'auto-organisation, de l'espace Unité sociale, un front large qui a appelé à la grève générale et considère être l’acteur légitimé par le mouvement, ainsi que des défis pour la gauche anticapitaliste, féministe et écosocialiste. Type de contenu : témoignage ; expérience, entretien Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=76738
in INPRECOR > N°666-667 (août-septembre-octobre 2019) . - P. 16-22[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 13569 CM Inprecor n°666-667 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt [article]Chili, les objectifs du putsch de 1973 pleinement atteints aujourd'hui ? - In : RECHERCHES INTERNATIONALES, octobre-décembre 2018 (01/11/2018), N°112, P. 43-60
Le coup d’État du 11 septembre 1973 au Chili n'a pas seulement renversé un gouvernement démocratiquement élu, il a fait table rase du passé social et démocratique du pays. La fin formelle de la dictature n'a pas empêché la continuité des mesures antidémocratiques et antisociales mises en place par le général Pinochet : l'architecture économique et sociale du Chili actuel, son organisation politico-administrative n'ont pas subi de modifications de fond sans que les gouvernements élus depuis ne s'attaquent à l'essence politique ou économique de la Constitution de 1980, Constitution qui n'a jamais été abrogée.
[article]
Titre : Chili, les objectifs du putsch de 1973 pleinement atteints aujourd'hui ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Ricardo PARVEX Année de publication : 2018 Article en page(s) : P. 43-60 Note générale : Résumé, notes de bas de page. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
POLITIQUE ; Histoire ; Politique sociale ; Coup d’État ; Dictature ; Protection sociale ; Transport ; Éducation ; Santé ; Privatisation ; Démocratisation ; Libéralisme
Thésaurus Géographique
ChiliRésumé : Le coup d’État du 11 septembre 1973 au Chili n'a pas seulement renversé un gouvernement démocratiquement élu, il a fait table rase du passé social et démocratique du pays. La fin formelle de la dictature n'a pas empêché la continuité des mesures antidémocratiques et antisociales mises en place par le général Pinochet : l'architecture économique et sociale du Chili actuel, son organisation politico-administrative n'ont pas subi de modifications de fond sans que les gouvernements élus depuis ne s'attaquent à l'essence politique ou économique de la Constitution de 1980, Constitution qui n'a jamais été abrogée. Type de contenu : essai, réflexion, analyse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75983
in RECHERCHES INTERNATIONALES > N°112 (octobre-décembre 2018) . - P. 43-60[article][article]Au Chili, le pari de la Constitution PERO, Francisco - In : LE MONDE DIPLOMATIQUE, avril 2021 (01/04/2021), N°805, P. 9
Au Chili, la mise en œuvre de l'écriture d'une nouvelle Constitution pose question. La fin du régime de dictature militaire en 1999 n'a pas ramené la paix sociale. Le peuple chilien conteste la démocratie néolibérale qui l'a remplacé. A la suite du soulèvement populaire de 2019, le gouvernement Piñera propose alors un "accord pour la paix sociale et une nouvelle Constitution", adopté par référendum en octobre 2020 et devant mener à l'élection d'une Convention constituante le 11 avril 2021. Cependant, les règles établies pour écrire une nouvelle Constitution bloquent de fait tout changement de politique. La remise en question pourrait alors se jouer à l’élection présidentielle fin 2021 avec la victoire du communiste Daniel Jadue ou par une nouvelle massification de la contestation réprimée aujourd'hui.
[article]
Titre : Au Chili, le pari de la Constitution : Tournant pour les uns, diversion pour les autres Type de document : texte imprimé Auteurs : Franck GAUDICHAUD ; Francisco PERO, Illustrateur Année de publication : 2021 Article en page(s) : P. 9 Note générale : Illustration. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Géographique
Chili
Thésaurus Thématique
POLITIQUE ; Constitution ; Mouvement populaire ; Crise politique ; Répression ; Néolibéralisme ; Corruption ; DémocratieRésumé : Au Chili, la mise en œuvre de l'écriture d'une nouvelle Constitution pose question. La fin du régime de dictature militaire en 1999 n'a pas ramené la paix sociale. Le peuple chilien conteste la démocratie néolibérale qui l'a remplacé. A la suite du soulèvement populaire de 2019, le gouvernement Piñera propose alors un "accord pour la paix sociale et une nouvelle Constitution", adopté par référendum en octobre 2020 et devant mener à l'élection d'une Convention constituante le 11 avril 2021. Cependant, les règles établies pour écrire une nouvelle Constitution bloquent de fait tout changement de politique. La remise en question pourrait alors se jouer à l’élection présidentielle fin 2021 avec la victoire du communiste Daniel Jadue ou par une nouvelle massification de la contestation réprimée aujourd'hui. Type de contenu : essai, réflexion, analyse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=79228
in LE MONDE DIPLOMATIQUE > N°805 (avril 2021) . - P. 9[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 22662 CM Monde diplo N°805 autres textes imprimés 34 - CDTM (Montpellier) Exclu du prêt [article]Chili : les soulèvements de 2019 au prisme d'un cycle de luttes et de déceptions - In : ALTERNATIVES SUD, 4e trimestre 2020 (01/12/2020), VOL. 27-2020/4, P. 147-160
Le soulèvement de 2019 au Chili s'inscrit dans une succession de conflits sociaux. La génération militante actuelle est issue de la mobilisation étudiante de 2011, mais les masses populaires se méfient de la politique.
[article]
Titre : Chili : les soulèvements de 2019 au prisme d'un cycle de luttes et de déceptions Type de document : texte imprimé Auteurs : Luis THIELEMANN HERNANDEZ Année de publication : 2020 Article en page(s) : P. 147-160 Note générale : Bibliographie, résumé. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
POLITIQUE ; Mouvement populaire ; Étudiant·e ; Classe sociale
Thésaurus Géographique
ChiliRésumé : Le soulèvement de 2019 au Chili s'inscrit dans une succession de conflits sociaux. La génération militante actuelle est issue de la mobilisation étudiante de 2011, mais les masses populaires se méfient de la politique. Type de contenu : essai, réflexion, analyse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78701
in ALTERNATIVES SUD > VOL. 27-2020/4 (4e trimestre 2020) . - P. 147-160[article][article]Chine : 15 cartes pour comprendre - In : ALTERNATIVES INTERNATIONALES, septembre 2015 (01/09/2015), N°68, P. 24-39
Ce dossier apporte de nombreuses informations et analyses pour comprendre et saisir la puissance chinoise en marche. Convertie au libéralisme débridé, la Chine n'a plus grand chose à envier à ses rivaux occidentaux. C'est le pays le plus peuplé du monde et il affiche une puissance commerciale et militaire impressionnante.
Permalink[article]La Chine et ses voisins : course aux armements et montée de la méfiance HELLENDORF, Bruno - In : QUESTIONS INTERNATIONALES, mai-août 2015 (01/05/2015), N°73-74, P. 122
L'objectif constant de l'État chinois de renforcer son armée et sa puissance militaire semble bien engagé à l'aube du XXIe siècle. Déjà Mao Zedong affirmait que "le pouvoir politique sort de la bouche du canon". Ses successeurs ont toujours favorisé l’acquisition de puissance militaire en raison de la méfiance accrue vis-à-vis de ses voisins : question nord-coréenne, traitement du dossier Taïwan, velléité d'indépendance de Hong Kong, disputes de souveraineté dans la mer de Chine. Pékin est-il en mesure de concurrencer la puissance stratégique des États-Unis après les avoir rattrapés sur le plan économique ? Malgré ses progrès considérables dans la modernisation de ses capacités militaires, la Chine reste loin de la puissance de Washington, à l’échelle régionale et a fortiori mondiale. Néanmoins, le pouvoir chinois pourrait bien avoir posé les bases d’une maîtrise à moyen-long terme d’une zone Pacifique-Est, qu’il considère comme son aire naturelle d’influence.
Permalink[article]La Chine veut "éliminer la société civile" DEBORD, Bernard - In : LA CHRONIQUE D'AMNESTY, mai 2016 (01/05/2016), N°354, P. 14-17
Depuis 2004, la Constitution chinoise reconnait les droits de l'homme selon les termes de la DUDH. Mais le Parti Communiste Chinois respecte de moins en moins ces principes. Pourtant la population s'est progressivement éveillée à la reconnaissance de ses droits et les mouvements sociaux se multiplient. En réponse, en 2015, 300 avocats ont été détenus ou intimidés, les ONG n'ont plus guère de marges de manœuvre. Aux exécutions capitales (environ 5000 par an), s'ajoutent les exécutions extra-judiciaires, en particulier au Xinjiang et au Tibet.
Le pouvoir est discrédité et en a bien conscience. La répression exacerbe les manifestations de haine.
PermalinkLA CHRONIQUE D'AMNESTY / Jean-Claude SAMOUILLER
Permalink[article]Sur la chute de Blaise Compaoré : Autorité et colère dans les derniers jours d'un régime - In : POLITIQUE AFRICAINE, mars 2015 (01/03/2015), N°137, P. 151-168
Cet article revient sur la chute de Blaise Compaoré en questionnant le lien entre les manifestations explosives de la contestation qui se sont exprimées dans ce contexte et des formes d'expression plus diffuses de la colère et de l'autorité observées dans le cadre d'un plus long terrain. Il montre que cette fin de régime a consisté en une rencontre fortuite de colères hétérogènes, dans un contexte d'affrontement marqué entre différents régimes de légitimité.
Permalink[article]Les "cinq coléreuses" secouent le Sénégal NIANG, Ousmane - In : LE MONDE DIPLOMATIQUE, avril 2021 (01/04/2021), N°805, P. 7
Au Sénégal, la jeunesse, soutenue par la diaspora, s'est massivement soulevée cinq jours durant, du 4 au 8 mars 2021. Deux arrestations ont précédé la révolte : celle du député Ousmane Sonko du Parti des Patriotes du Sénégal, accusé de viols, dernier opposant au président Macky Sall présidentiable, et celle de Guy Marius Sagna, défenseur de la campagne "France dégage" du Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine. L'insurrection a visé les institutions, les administrations, les médias, les personnalités politiques et quelques-unes des 250 enseignes françaises présentes au Sénégal, telles que Total, Orange ou Auchan dont les profits quittent le pays. Ce mouvement peut être interprété comme un ras-le-bol de l'instrumentalisation de la justice et de la politique économique néolibérale et néocoloniale menée par l'intelligentsia sénégalaise, les institutions financières internationales ou encore le gouvernement français qui perpétue une Françafrique coulée dans le moule de l'Union européenne.
Permalink[texte imprimé]Citoyenneté et art de vivre ensemble. Mémoires et leçons de 14 rendez-vous de la curiosité (1994-96) MCA (Mouvement pour une citoyenneté active), - PARIS : FONDATION CHARLES LEOPOLD MAYER POUR LE PROGRES DE L'HOMME (FPH), S.D., 210 P.
Le MCA agit en vue d'inventer de nouvelles formes d'expression, en vue de proposer un nouveau modèle démocratique en Occident, d'"insuffler de la démoratie dans toutes les sphères où s'établissent des enjeux de pouvoir". Ce mouvement s'est mis en place à l'initiative de différents réseaux (DAL, Adie, AC...) et s'est manifesté par les rendez-vous de la curiosité, rencontres publiques qui ont eu lieu durant trois ans. Ce sont ces rendez-vous qui sont présentés dans cet ouvrage.
Permalink[article]La colère fait partie des sentiments démocratiques CARTON, Aurélie - In : LA CHRONIQUE D'AMNESTY, juillet-août 2016 (01/07/2016), N°356-357, P. 40-45
Ce philosophe s'interroge sur les "pertes" de notre époque dans le domaine politique : pertes d'idéaux et d'espérance et de foi dans de progrès. D'où tristesse et catastrophisme. Or, comme le progressisme, le catastrophisme suppose que l'avenir est déjà contenu dans le présent."Il y a dans la modernité des forces qui cherchent à reconstituer des certitudes : le communautarisme et le capitalisme. Ce que je veux c'est inquiéter ces blocs de certitudes".
Permalink[article]Colombie : Le triomphe électoral de l’uribisme et les dilemmes de la paix néolibérale - In : INPRECOR, septembre-octobre 2018 (01/09/2018), N°655-656, P. 15-23
Le 17 juin 2018, Iván Duque, candidat du Centre démocratique, parti politique créé en 2013 par l’ancien président Álvaro Uribe (un fervent défenseur du grand capital) a remporté le deuxième tour des élections présidentielle avec 54% du total des suffrages exprimés. L'enjeu du moment est la poursuite du processus de paix entamé à la Havane en 2012. Or l’uribisme qui a triomphé représente l’intérêt des grands propriétaires terriens. L’opposant Gustavo Petro dans sa campagne électorale a largement dénoncé les pratiques mafieuses, la corruption, le para-militarisme et le clientélisme. Retour sur la période pré-électorale, les promesses électorales, les suites des accords signés à la Havane, l'impunité de fait accordée aux paramilitaires et aux forces régulières de l’État... et à la possibilité d'un espace politique pour l'opposition.
Permalink[article]"Le combat central, c'est de sortir du productivisme et du consumérisme" - In : LA DECROISSANCE, décembre 2019-janvier 2020 (01/12/2019), N°165, P. 8 - P. 28
Interrogé par la rédaction, François Ruffin s'explique sur sa position par rapport à la décroissance, à la notion de développement durable, sur ses alliances politiques, sur sa signature du pacte "alliance-climat", sur ses positions sur les questions de bio-éthique.
Permalink[article]Commission électorale et Cour suprême kényane à l'épreuve du scrutin - In : AFRIQUE CONTEMPORAINE, 2013/3 (01/07/2013), N°247, P. 53-72
La nouvelle constitution kényane de 2010, prévoyait la création d'une commission électorale et d'une Cour suprême chargée d'arbitrer tout litige suscité par l'élection présidentielle. Le scrutin de 2013 constituait donc un test pour ces deux institutions. Si elles ont contribué à apaiser le climat électoral, elles n'ont pas réussi à en assurer totalement la transparence. La Cour suprême qui a validé le scrutin a été justement critiquée. En conclusion, ces deux institutions qui devaient symboliser une renaissance démocratique après le désastre de 2007-2008, sont sorties fragilisées des élections de mars 2013.
Permalink[texte imprimé]Commission internationale d'enquête sur les violations des droits de l'homme au Burundi depuis le 21 octobre 1993 , - LA HAYE (PAYS BAS) : NOVIB OXFAM, S.D., 195 P.
Le 21 Octobre 1993, le Président de la République et plusieurs personnalités ont été assassinés par des éléments de l'armée burundaise. A la suite de ces assassinats, des troubles ont éclaté dans tout le pays, causant la mort de milliers de personnes et de nombreux dégats matériels.
Quelques jours après ces évènements, la ligue ITEKA s'est adressée à plusieurs organisations non gouvernementales pour leur demander d'organiser une enquête internationale sur les violations des droits de l'homme commises à partir de la nuit du 21 Octobre 1993.
Cette enquête pluridisciplinaire s'est déroulée dans plusieurs provinces du Burundi du 26 janvier au 10 février 1994 avec des journalistes, historiens, spécialistes de la coopération au développement. Elle présente le contexte historique du pays, le putsch du 21 octobre 1993, ses conséquences à l'intérieur. Viennent ensuite les plaintes des victimes, un chapître sur les réfugiés, le nombre de victimes, les conclusions, les recommandations.
Permalink[article]Compaoré balayé, le Faso se relève TOE, Fidèle - In : AUJOURD'HUI L'AFRIQUE, décembre 2014 (01/12/2014), N°134, P. 2-4
Cet ancien ministre, interrogé sur la transition politique au Burkina Faso exprime le désir qu'un civil la conduise. Pour lui le Front progressiste sankariste, qui réunit 3 partis sankaristes a une grande influence car la société civile et notamment les jeunes ne font référence qu'à Thomas Sankara. Le mouvement appelé "balai citoyen" en est la preuve. Il ne faut pas soumettre le Burkina à un ultimatum, il doit trouver lui-même sa voie. La France doit cesser de faire pression pour que le président de l'assemblée nationale soit chargé de la transition. Pour les élections, F.Toe prône la démocratie directe.
PermalinkCONFLUENCES MEDITERRANEE / Jean-Paul CHAGNOLLAUD
PermalinkCONGO-AFRIQUE / CEPAS (Centre d'études pour l'action sociale)
Permalink