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[texte imprimé]Réflexions sur l'esclavage des nègres et autres textes abolitionnistes CONDORCET, Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de, - PARIS : L'HARMATTAN, 2005/04, 90 P.
Dès les années 1780, Condorcet prend position et assimile la traite et l'esclavage à de pires crimes : les nègres esclaves sont des frères, une épithète qu'il refuse d'attribuer aux "blancs des colonies". En suivant l'opinion de la Société des Amis des Noirs, il est partisan d'une abolition immédiate de la traite mais par contre d'un affranchissement graduel des esclaves, une mesure justifiée par la prise en compte du temps nécessaire pour faire les réformes permettant leur insertion. (NDLR : toutes ses propositions ont été refusées par l'Assemblée nationale et ce n'est qu'en fev.1794, que la Convention a aboli la traite et l'esclavage).
Titre : Réflexions sur l'esclavage des nègres et autres textes abolitionnistes Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de CONDORCET Editeur : PARIS : L'HARMATTAN Année de publication : 2005/04 Collection : AUTREMENT MEMES Importance : 90 P. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7475-3702-5 Note générale : Introduction de David Williams : l'esclavage dans les colonies françaises au dix-huitième siècle et place des écrits et de l'action de Condorcet dans le contexte de l'époque. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Géographique
Afrique ; Antilles ; Europe ; France
Thésaurus Thématique
SOCIÉTÉ ; Colonialisme ; Conditions de travail ; Droits humains ; Économie ; Esclavage ; Éthique ; Histoire ; Humanisme ; Racisme ; Travail ; ViolenceRésumé : Dès les années 1780, Condorcet prend position et assimile la traite et l'esclavage à de pires crimes : les nègres esclaves sont des frères, une épithète qu'il refuse d'attribuer aux "blancs des colonies". En suivant l'opinion de la Société des Amis des Noirs, il est partisan d'une abolition immédiate de la traite mais par contre d'un affranchissement graduel des esclaves, une mesure justifiée par la prise en compte du temps nécessaire pour faire les réformes permettant leur insertion. (NDLR : toutes ses propositions ont été refusées par l'Assemblée nationale et ce n'est qu'en fev.1794, que la Convention a aboli la traite et l'esclavage). Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40337 Exemplaires (1)
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