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[document électronique]Sick Development: How rich-country government and World Bank funding to for-profit private hospitals causes harm and should be stopped MARRIOTT, Anna, - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2023/06, 79 P.
Les organismes de financement du développement des pays riches et de la Banque mondiale dépensent des centaines de millions de dollars dans de coûteux hôpitaux à but lucratif dans les pays du Sud, qui refusent de soigner certain·es patient·es ou les obligent à s'endetter pour payer leurs factures de soins. Au plus fort de la pandémie de Covid-19, certains de ces hôpitaux ont refusé l’admission aux patient·es atteint·es du virus ou ont vendu aux plus offrant·es des lits dans leur service de soins intensifs à des prix exorbitants. Les institutions de développement ne disposent pas de garanties suffisantes, investissent par le biais d’un réseau complexe d’intermédiaires financiers, qui échappent souvent à l’impôt, et n’ont aucun retour sur leurs investissements. Oxfam demande aux gouvernements des pays riches et à la Banque mondiale de mettre immédiatement fin à leurs dépenses dans les soins de santé privés à but lucratif et de mener d’urgence une enquête indépendante sur tous les investissements actifs et passés.
Public :
https://oxfamilibrary.openrepository.com/bitstream/handle/10546/621529/bp-sick-development-funding-for-profit-private-hospitals-260623-en.pdf?sequence=14
Titre : Sick Development: How rich-country government and World Bank funding to for-profit private hospitals causes harm and should be stopped Titre original : Tendances malsaines : En quoi le financement des hôpitaux privés à but lucratif par les gouvernements des pays riches et la Banque mondiale est préjudiciable et pourquoi il faut y mettre fin Type de document : document électronique Auteurs : Anna MARRIOTT Editeur : NAIROBI [KENYA] : OXFAM INTERNATIONAL Année de publication : 2023/06 Autre Editeur : OXFORD [ROYAUME-UNI] : OXFAM GB Collection : DOCUMENT D'INFORMATION D'OXFAM Importance : 79 P. Présentation : ill. ; fig. Format : fichier pdf Note générale : Encadrés, graphiques, notes avec liens sitographiques. Langues : Anglais (eng) Catégories : Thésaurus Thématique
DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL ; Aide publique au développement (APD) ; Banque mondiale (BM) ; Financement du développement ; Hôpital ; Organisme de financement ; Pays en développement (PED) ; Pays industrialisé ; Santé ; Secteur privéRésumé : Les organismes de financement du développement des pays riches et de la Banque mondiale dépensent des centaines de millions de dollars dans de coûteux hôpitaux à but lucratif dans les pays du Sud, qui refusent de soigner certain·es patient·es ou les obligent à s'endetter pour payer leurs factures de soins. Au plus fort de la pandémie de Covid-19, certains de ces hôpitaux ont refusé l’admission aux patient·es atteint·es du virus ou ont vendu aux plus offrant·es des lits dans leur service de soins intensifs à des prix exorbitants. Les institutions de développement ne disposent pas de garanties suffisantes, investissent par le biais d’un réseau complexe d’intermédiaires financiers, qui échappent souvent à l’impôt, et n’ont aucun retour sur leurs investissements. Oxfam demande aux gouvernements des pays riches et à la Banque mondiale de mettre immédiatement fin à leurs dépenses dans les soins de santé privés à but lucratif et de mener d’urgence une enquête indépendante sur tous les investissements actifs et passés. Type de contenu : rapport, rapport d'activités En ligne : https://oxfamilibrary.openrepository.com/bitstream/handle/10546/621529/bp-sick-d [...] Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84266 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 48843 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 16943 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [document électronique]Les milliardaires du carbone Oxfam International, - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2022/10, 37 P.
Les inégalités extrêmes et la concentration des richesses sapent la capacité de l’humanité à enrayer le dérèglement climatique. Les personnes les plus riches du monde émettent des quantités insoutenables de carbone par leur mode de vie et par les entreprises dont elles détiennent des participations majoritaires, qui leur confèrent une influence démesurée sur l'économie mondiale. Cette étude révèle que les investissements des milliardaires dans des industries polluantes (énergies fossiles, ciment, chimie) sont deux fois plus élevés que la moyenne des entreprises. En s'appuyant sur des données publiques (mais peu communiquées), cette étude Oxfam révèle que les émissions liées au mode de vie des milliardaires sont des milliers de fois supérieures à celles d’un·e citoyen·ne ordinaire. En incluant celles engendrées par leurs investissements entrepreneuriaux, leurs émissions de carbone sont alors plus d’un million de fois supérieures.
Public :
https://oxfamilibrary.openrepository.com/bitstream/handle/10546/621446/bn-carbon-billlionaires-071122-fr.pdf?sequence=15
Titre : Les milliardaires du carbone : Les émissions liées aux investissements des personnes les plus riches du monde Titre original : Carbon Billionaires: The investment emissions of the world’s richest people Type de document : document électronique Auteurs : Oxfam International, Coordinateur Editeur : NAIROBI [KENYA] : OXFAM INTERNATIONAL Année de publication : 2022/10 Autre Editeur : OXFORD [ROYAUME-UNI] : OXFAM GB Collection : DOCUMENT D'INFORMATION D'OXFAM Importance : 37 P. Format : fichier pdf Note générale : Encarts, recommandations, notes bibliographiques avec liens sitographiques. Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Effet de serre ; Empreinte écologique ; Classe dirigeante ; Entreprise ; Inégalité sociale ; Investissement ; Pollution ; Responsabilité sociétale des entreprises (RSE)Résumé : Les inégalités extrêmes et la concentration des richesses sapent la capacité de l’humanité à enrayer le dérèglement climatique. Les personnes les plus riches du monde émettent des quantités insoutenables de carbone par leur mode de vie et par les entreprises dont elles détiennent des participations majoritaires, qui leur confèrent une influence démesurée sur l'économie mondiale. Cette étude révèle que les investissements des milliardaires dans des industries polluantes (énergies fossiles, ciment, chimie) sont deux fois plus élevés que la moyenne des entreprises. En s'appuyant sur des données publiques (mais peu communiquées), cette étude Oxfam révèle que les émissions liées au mode de vie des milliardaires sont des milliers de fois supérieures à celles d’un·e citoyen·ne ordinaire. En incluant celles engendrées par leurs investissements entrepreneuriaux, leurs émissions de carbone sont alors plus d’un million de fois supérieures. Type de contenu : essai, réflexion, analyse En ligne : https://oxfamilibrary.openrepository.com/bitstream/handle/10546/621446/bn-carbon [...] Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82863 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 55410 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 17239 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [document électronique]Partager la richesse avec celles et ceux qui la créent , - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2018/01, 96 P.
Ce rapport d’Oxfam International, publié chaque année lors du Forum de Davos, dénonce l’inégalité criante dans la répartition des richesses : 82 % des richesses créées dans le monde en 2017 ont bénéficié aux 1 % les plus riches. Les grandes entreprises et les multinationales sont largement responsables de cette situation, en maintenant un modèle économique inégal, grâce à des politiques de maximisation des profits et d'évasion fiscale. Non seulement ces inégalités sont injustes mais elles sont surtout contre productives car elles freinent la croissance économique des pays en développement (PED), augmentent les risques de conflits, les déplacements de population et les déséquilibres Nord-Sud. Les grand·es perdant·es de cette situation sont les femmes et les petit·es producteur·rices, soit la majorité de l’humanité. Il est de la responsabilité des États de lutter contre ces inégalités et de faire émerger une économie plus juste, plus humaine et plus solidaire.
Public :
https://www.oxfamfrance.org/wp-content/uploads/2018/01/file_attachments_rapport_oxfam_inegalites_2018.pdf
Titre : Partager la richesse avec celles et ceux qui la créent Type de document : document électronique Editeur : NAIROBI [KENYA] : OXFAM INTERNATIONAL Année de publication : 2018/01 Collection : DOCUMENT D'INFORMATION D'OXFAM Importance : 96 P. Format : fichier pdf Note générale : Mention de couverture : "Pour mettre un terme à la crise des inégalités, il est indispensable de construire l'économie autour des citoyen·ne·s ordinaires, et non des riches et des puissant·e·s". Ouvrage collectif. Encadrés. Recommandations. Notes (p. 74-96). Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
ÉCONOMIE ; Capitalisme ; Croissance économique ; Développement économique ; Économie solidaire ; Inégalité ; Mondialisation ; Multinationale ; Pays en développement (PED) ; Politique économique ; Relation Nord-SudRésumé : Ce rapport d’Oxfam International, publié chaque année lors du Forum de Davos, dénonce l’inégalité criante dans la répartition des richesses : 82 % des richesses créées dans le monde en 2017 ont bénéficié aux 1 % les plus riches. Les grandes entreprises et les multinationales sont largement responsables de cette situation, en maintenant un modèle économique inégal, grâce à des politiques de maximisation des profits et d'évasion fiscale. Non seulement ces inégalités sont injustes mais elles sont surtout contre productives car elles freinent la croissance économique des pays en développement (PED), augmentent les risques de conflits, les déplacements de population et les déséquilibres Nord-Sud. Les grand·es perdant·es de cette situation sont les femmes et les petit·es producteur·rices, soit la majorité de l’humanité. Il est de la responsabilité des États de lutter contre ces inégalités et de faire émerger une économie plus juste, plus humaine et plus solidaire. Type de contenu : rapport, rapport d'activités En ligne : https://www.oxfamfrance.org/wp-content/uploads/2018/01/file_attachments_rapport_ [...] Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=80822 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 33964 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 36039 CD75 DE document électronique 75 - CDTM (Paris 09) Disponible [texte imprimé]Sortir de l'impasse : Le financement de la lutte contre le changement climatique post-2020 dans l'Accord de Paris Oxfam International, - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2014/12, 52 P.
Des négociations sont en cours pour poser les bases d’un nouvel accord international sur le changement climatique, qui sera adopté lors de la Conférence des Nations unies sur le changement climatique qui se tiendra à Paris en novembre/décembre 2015. Dans ce cadre, Oxfam publie un rapport présentant dans un premier temps les failles du précédent accord, et proposant des pistes de solutions pour combler les écarts en termes de financement international, couplé à des programmes de financement nationaux spécifiques. Pour finir, Oxfam précise les éléments que doit inclure le volet financier de l'accord de Paris à venir.
https://www-cdn.oxfam.org/s3fs-public/file_attachments/bp201-breaking-standoff-climate-finance-011214-fr.pdf
Titre : Sortir de l'impasse : Le financement de la lutte contre le changement climatique post-2020 dans l'Accord de Paris Type de document : texte imprimé Auteurs : Oxfam International Editeur : NAIROBI [KENYA] : OXFAM INTERNATIONAL Année de publication : 2014/12 Collection : DOCUMENT D'INFORMATION D'OXFAM num. 201 Importance : 52 P. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Thématique
POLITIQUE ; Changement climatique ; Financement ; Accord international ; ConférenceRésumé : Des négociations sont en cours pour poser les bases d’un nouvel accord international sur le changement climatique, qui sera adopté lors de la Conférence des Nations unies sur le changement climatique qui se tiendra à Paris en novembre/décembre 2015. Dans ce cadre, Oxfam publie un rapport présentant dans un premier temps les failles du précédent accord, et proposant des pistes de solutions pour combler les écarts en termes de financement international, couplé à des programmes de financement nationaux spécifiques. Pour finir, Oxfam précise les éléments que doit inclure le volet financier de l'accord de Paris à venir. Type de contenu : essai, réflexion, analyse En ligne : https://www-cdn.oxfam.org/s3fs-public/file_attachments/bp201-breaking-standoff-c [...] Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64444 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 38771 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 56203 POL OXF sor14 autres textes imprimés 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible [texte imprimé]Le Tsunami de l'Océan Indien, 10 ans plus tard : Enseignements tirés et difficultés de financement humanitaire toujours d'actualité AYELE, Sophia, - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2014/12, 7 P.
Le tsunami qui a touché l'océan Indien en 2004 a constitué un événement marquant pour le secteur de l'humanitaire. De nombreux enseignements en ont été tirés et le système humanitaire a été renforcé par voie de conséquence. Toutefois, dix ans plus tard, des difficultés demeurent et non des moindres. À partir du cas du tsunami, ce rapport fait le point sur les enseignements tirés de l'action menée à la suite de la catastrophe et cherche à comprendre pourquoi certaines situations d'urgence donnent lieu à un financement rapide et généreux alors que la communauté internationale se désintéresse presque totalement d'autres situations. Des recommandations sont émises, notamment en ce qui concerne le financement international.
https://www-cdn.oxfam.org/s3fs-public/file_attachments/rr-indian-ocean-tsunami-response-10-years-181214-summ-fr.pdf
Titre : Le Tsunami de l'Océan Indien, 10 ans plus tard : Enseignements tirés et difficultés de financement humanitaire toujours d'actualité : Résumé Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophia AYELE Editeur : NAIROBI [KENYA] : OXFAM INTERNATIONAL Année de publication : 2014/12 Collection : DOCUMENT D'INFORMATION D'OXFAM Importance : 7 P. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Géographique
océan Indien
Thésaurus Thématique
RELATIONS INTERNATIONALES ; Aide humanitaire ; Aide d'urgence ; Financement ; Catastrophe naturelle ; ONG ; Organisation des Nations unies (ONU) ; Don ; Bailleur de fondsRésumé : Le tsunami qui a touché l'océan Indien en 2004 a constitué un événement marquant pour le secteur de l'humanitaire. De nombreux enseignements en ont été tirés et le système humanitaire a été renforcé par voie de conséquence. Toutefois, dix ans plus tard, des difficultés demeurent et non des moindres. À partir du cas du tsunami, ce rapport fait le point sur les enseignements tirés de l'action menée à la suite de la catastrophe et cherche à comprendre pourquoi certaines situations d'urgence donnent lieu à un financement rapide et généreux alors que la communauté internationale se désintéresse presque totalement d'autres situations. Des recommandations sont émises, notamment en ce qui concerne le financement international. Type de contenu : essai, réflexion, analyse En ligne : https://www-cdn.oxfam.org/s3fs-public/file_attachments/rr-indian-ocean-tsunami-r [...] Format de la ressource électronique : Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64452 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 40590 W document électronique DISPONIBLE SUR LE WEB Disponible 56228 HUM AYE tsu14 autres textes imprimés 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible [texte imprimé]Pas de hasard : résilience et inégalités face au risque HILLIER, Debbie, CASTILLO, Gina E. - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2013/05, 45 P.
D’après ce rapport, les risques augmentent plus rapidement que les mesures de lutte contre les risques. Nombre d'entre eux pèsent sur les personnes pauvres, et les femmes payent le plus lourd tribut. Dans de nombreuses régions essuyant crises après crises, les interventions des États et du secteur de l'aide internationale ne suffisent pas. L'espoir d'une vie prospère pour les femmes et les hommes les plus pauvres, malgré les chocs, les pressions et l'incertitude, passe par le renforcement de leur résilience. Mais cela exige également de partager les risques de manière plus équitable dans le monde et entre les sociétés. Il faudra pour cela un changement majeur dans le domaine du développement, qui s'est trop longtemps abstenu de s'attaquer à la question des risques, mais aussi et surtout de remettre en cause les inégalités qui exposent les personnes pauvres à des risques sans commune mesure avec ceux que rencontrent les plus riches.
https://www-cdn.oxfam.org/s3fs-public/file_attachments/bp172-no-accident-resilience-inequality-of-risk-210513-fr_1_0.pdf
Permalink[texte imprimé]Quelles leçons tirer ? Un bilan de la réponse à la crise alimentaire 2012 au Sahel pour construire la résilience FORD, Elise, - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2013/04, 46 P.
En 2012, la région sahélienne d'Afrique centrale et de l'Ouest a de nouveau connu une grave crise alimentaire qui a touché jusqu'à 18 millions de personnes. Début 2012, lorsque la crise a commencé, de nombreux États, donateurs et agences d'aide étaient déterminés à ne pas reproduire les mêmes erreurs. Ce rapport s'intéresse à la manière dont ces différents acteurs ont réagi à cette crise et aux enseignements qu'il convient d'en tirer pour améliorer les prochaines interventions. L'analyse révèle que, si la réponse de 2012 a réellement été plus efficace à de nombreux égards que lors des précédentes crises, il subsiste des lacunes considérables auxquelles il faut remédier. Des obstacles techniques, financiers et politiques ont subsisté et n'ont pas permis aux gouvernements de montrer leur leadership dans le cadre de la réponse à cette crise. L'ensemble des acteurs doivent s'engager à améliorer la façon dont ils préviendront et gèreront les crises à venir. Le concept de résilience peut y contribuer mais seulement s'il agit d'aller au delà des causes immédiates des crises récurrentes. Ce rapport recommande des mesures pour relever les trois défis structurels suivants, qui ont affaibli la réaction face à la crise de 2012 comme lors des précédentes crises : Développer une compréhension commune de la vulnérabilité à l'insécurité alimentaire, de sorte que l'aide cible les plus pauvres et que les réponses puissent être mises en œuvre rapidement ; Faire tomber les barrières entre les acteurs humanitaires et du développement afin que les programmes à long terme et d'urgence se soutiennent mutuellement ; Investir dans le renforcement des capacités des acteurs nationaux et locaux de sorte que les États puissent apporter une aide durable et d'envergure à leurs citoyens.
https://www.oxfamfrance.org/wp-content/uploads/2014/01/file_attachments_policy_paper_rapport_oxfam_lecons_tirees_sahel_avril_2013.pdf
Permalink[document électronique]Les crises dans un nouvel ordre mondial : le projet humanitaire en danger CAIRNS, Edmund, - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2012/02, 39 P.
L'année 2010 a été le théâtre de crises humanitaires de grande ampleur, d'Haïti au Pakistan, auxquelles le système international a failli ne pas être en mesure de répondre. Malgré des années de réforme, les agences des Nations unies, les donateurs et les ONG internationales ont eu du mal à faire face. En 2011, la réponse en Somalie s'est de nouveau révélée tardive et sous-dimensionnée, tributaire de l'attention des médias, qui ne constitue pourtant pas une évaluation impartiale et suffisamment anticipée des besoins humains. Dans le même temps, l'action humanitaire est maintenant plus indispensable que jamais. Le nombre croissant de personnes vulnérables, la multiplication des catastrophes naturelles et l'incapacité à mettre les États les plus fragiles sur le chemin du développement vont considérablement accroître les besoins. Les donateurs occidentaux, les ONG internationales et les Nations unies n'apportent qu'une partie de la réponse. De nouveaux donateurs et des ONG du monde entier fournissent d'ores et déjà une aide humanitaire considérable. L'action humanitaire de demain s'appuiera sur ce réseau, et plus encore sur les États et la société civile des pays touchés par la crise. Les Nations unies et les ONG internationales joueront un rôle essentiel mais leur contribution sera de plus en plus mesurée à l'aune de leur capacité à compléter et à soutenir les efforts des autres, et à encourager chaque acteur humanitaire à respecter les principes humanitaires.
Public :
https://d1tn3vj7xz9fdh.cloudfront.net/s3fs-public/file_attachments/bp158-crises-in-a-new-world-order-humanitarianism-070212-fr_3.pdf
Permalink[document électronique]Les semences de la faim : La politique européenne de soutien aux agrocarburants KELLY, Ruth, - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2012/09, 39 P.
Ce rapport démontre combien les inquiétudes concernant l’accès aux terres et les droits à l’alimentation dans le monde sont liées aux objectifs chiffrés de l’Union
européenne d’incorporation d’agrocarburants dans les carburants traditionnels. En effet, l’Union européenne a intégré dans sa stratégie de lutte contre le changement climatique l’utilisation d’agrocarburants. L’objectif pour 2020 est que 10 % de l’énergie consacrée au secteur des transports en soient issus. Or, cette politique a de nombreux aspects troubles, qui semblent passer inaperçus aux yeux des décideurs européens. Le rapport montre que cette politique fait grimper les prix alimentaires mondiaux et alimente le phénomène d’accaparements des terres dans les pays du Sud. De plus, si l’on prend en compte la déforestation nécessaire à la mise en culture des nouveaux terrains, la réduction de la biodiversité suite à l’implantation des monocultures et les émissions liées à leur production, la majorité des agrocarburants utilisés aujourd’hui en Europe ont davantage d'effets négatifs sur l’environnement que les carburants fossiles. Cependant, selon une autre étude d’Oxfam, la production d’agrocarburants peut bénéficier aux populations pauvres si elle est réalisée correctement.
Public :
http://www.pfsa.be/IMG/pdf_20120917_bp161-the-hunger-grains-170912-FR.pdf
Permalink[document électronique]Enfoncer la porte : en quoi les prochaines négociations de l'OMC menacent les agriculteurs des pays pauvres Oxfam International, - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2005/04, 72 P.
Des millions d'agriculteurs des pays en développement (PED) ne peuvent gagner dignement leur vie à cause des importations alimentaires bon marché qui font l'objet de dumping. L'exemple du riz, aliment de base au monde, montre à quel point ce problème est sérieux. Les pays riches utilisent depuis longtemps le FMI et la Banque mondiale, ainsi que des accords commerciaux bilatéraux agressifs, pour ouvrir la porte des marchés pauvres et les inonder de riz bon marché dont le riz américain fortement subventionné. Aujourd'hui, ils cherchent ensemble à utiliser les règles contraignantes de l'OMC pour enfoncer définitivement la porte. Mais les règles commerciales doivent promouvoir le développement et non pas le saper.
Public :
https://oxfamilibrary.openrepository.com/bitstream/handle/10546/114531/bp72-kicking-down-door-110405-fr.pdf;jsessionid=2C7BD0860DE9ADF8EA4547D3D053850A?sequence=2
Permalink[texte imprimé]Dumping sur le monde : Comment les politiques de l'Union européenne nuisent aux pays pauvres Oxfam International, - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2004/03, 66 P.
Le régime du sucre de la Politique Agricole Commune (PAC) perpétue l'injustice des échanges commerciaux entre l'Europe et le monde en développement. Le système actuel permet à l'Europe d'exporter ses excédents à l'étranger tout en dressant des barrières douanières ne laissant pas entrer les importations. Les pays en développement sont les grands perdants. Les restrictions européennes à l'importation se traduisent par une dégradation des services de santé, une diminution des chances à l'éducation dans ces pays où la moitié de la population rurale vit en dessous du seuil de pauvreté. La réforme du régime du sucre de l'Union Européenne doit être menée. Ce rapport présente les arguments allant dans ce sens.
https://oxfamilibrary.openrepository.com/bitstream/handle/10546/114470/bp61-dumping-on-the-world-010304-fr.pdf;jsessionid=F7F4E1C5F4EBFAFBC34BB63AF58D988C?sequence=2
Permalink[document électronique]Brevets et santé publique WATKINS, Kevin, Oxfam International - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2003/08, P. 23-27
Dans ce rapport, l'association Oxfam constate que l'accord sur les Aspects des Droits de la Propriété Intellectuelle qui touchent au Commerce (ADPIC), qui devait constituer une avancée en matière de protection de la santé publique dans les pays pauvres, n'est pas respecté. Le lobby pharmaceutique et les Etats-Unis exercent d'intenses pressions pour que l'accord reste, dans les faits, inappliqué. Le rapport énonce les mesures nécessaires au respect des engagements pris à Doha par les pays industrialisés en matière de santé publique et de brevets.
Public :
http://www.hubrural.org/IMG/pdf/oxfam_cancun_53_fr.pdf
Permalink[document électronique]Les investissements étrangers et l'OMC WATKINS, Kevin, Oxfam International - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2003/08, P. 41-48
L'Accord général sur le commerce des services (AGCS) illustre les efforts de l'OMC pour parvenir à une plus grande libéralisation des investissements. Mais un tel accord sert surtout les investisseurs privés des pays riches, tout en limitant les options politiques des gouvernements des pays en développement qui souhaiteraient imposer davantage de règles (concernant, par exemple, le transfert des technologies et des compétences par les investisseurs étrangers) de sorte que ces investissements servent la lutte contre la pauvreté dans leurs pays. Oxfam réclame un moratoire sur les négociations de l'AGCS, estimant que la question complexe des investissements n'est pas prioritaire alors même les objectifs définis à Doha en 2001 en matière de développement n'ont pas été atteints.
Public :
http://www.hubrural.org/IMG/pdf/oxfam_cancun_53_fr.pdf
Permalink[document électronique]Origines du "cycle de développement" WATKINS, Kevin, Oxfam International - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2003/08, P. 8-12
En novembre 2001 à Doha, l'OMC s'est engagé dans un nouveau cycle intitulé "cycle du développement" qui reconnaît que le commerce international peut jouer un rôle majeur dans le développement économique et la réduction de la pauvreté. Deux ans plus tard, à la veille de la conférence de Cancun, on constate que les engagements pris à Doha n'ont pas été tenus et qu'il existe un fossé entre système formel de gestion et pratique concrètes des politiques au pouvoir. Les échanges inégaux continuent à creuser les écarts entre Nord et Sud. Différents groupes de la société civile, à l'instar de l'association Oxfam, se mobilisent pour réclamer des règles commerciales plus équitables.
Public :
http://www.hubrural.org/IMG/pdf/oxfam_cancun_53_fr.pdf
Permalink[document électronique]Réforme du commerce agricole : la fin du dumping sur les plus pauvres WATKINS, Kevin, Oxfam International - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2003/08, P. 13-23
Alors que des engagements avaient été pris à Doha en 2001pour réduire progressivement toutes formes de subventions à l'exportation des produits agricoles, les Etats-Unis et l'Union Européenne continuent à verser d'importants subsides à leurs agriculteurs et à soutenir la productivité des plus grandes exploitations. Le dumping agricole est une des causes majeures de la pauvreté dans les pays du sud. Le rapport réalisé par Oxfam illustre cette situation par des exemples concrèts et évoque les mesures qui permettraient de rétablir plus d'équité dans les échanges et de protéger les pays les plus pauvres.
Public :
http://www.hubrural.org/IMG/pdf/oxfam_cancun_53_fr.pdf
Permalink[document électronique]Les sables mouvants de Cancun : Pourquoi un échec de la conférence de l'OMC menace les plus démunis WATKINS, Kevin, Oxfam International - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2003/08, 58 P.
En septembre 2003 se réunissent à Cancun, au Mexique, les ministres du commerce du monde entier pour lancer une nouvelle phase de négociations dans le cadre du "cycle du développement" définit par l'OMC. Les pays riches n'ont pas respecté les engagements pris à Doha qui concernaient la répartition plus équitable des bénéfices du commerce et la mise en oeuvre de mesures visant à renforcer les liens entre commerce et réduction de la pauvreté. L'association Oxfam publie un rapport qui dénonce l'attitude des pays riches qui imposent des règles commerciales injustes qui pénalisent les pays les plus pauvres et propose des mesures visant au rétablissement de l'équité dans les échanges commerciaux entre Nord et Sud et, par conséquent, la réduction de la pauvreté dans les pays du sud. Après avoir présenté les origines du "cycle de Doha", le rapport examine quatre questions essentielles : le dumping agricole, le problème des brevets sur les produits pharmaceutiques, l'accès au marché et les investissements étrangers.
Public :
http://www.hubrural.org/IMG/pdf/oxfam_cancun_53_fr.pdf
Permalink[document électronique]Taxes commerciales sur les pauvres WATKINS, Kevin, Oxfam International - NAIROBI (KENYA) : OXFAM INTERNATIONAL, 2003/08, P. 27-41
Contrairement aux engagements qu'ils avaient pris à Doha en 2001, les pays industrialisés continuent à pratiquer des tarifs douaniers très élevés pour l'importation des produits en provenance des pays pauvres, et notamment les produits transformés. Dans ce rapport, Oxfam illustre cette situation par des exemples chiffrés concrets, concernant notamment l'industrie textile, et propose des mesures qui permettraient de rendre plus équitable les échanges commerciaux mondiaux et de protéger les intérêts des pays pauvres.
Public :
http://www.hubrural.org/IMG/pdf/oxfam_cancun_53_fr.pdf
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