[texte imprimé]Etude de synthèse d'évaluation de l'action des ONG : Quatre études de cas : Belgique, France, Sénégal, Union Européenne
VIELAJUS, Jean-Louis,
BOINVILLIERS, Iris ; Secrétariat d'Etat à la Coopération -
PARIS : SECRETARIAT D'ETAT A LA COOPERATION,
1997/10,
125 P.
Cette étude permet une confrontation des pratiques de différents pays, qu'il s'agisse de l'impact de l'action des ONG ou des méthodes utilisées pour l'apprécier. Les collectes ont porté sur trois types d'études : des études globales d'impact commanditées par des bailleurs de fonds, des études sectorielles ou thématiques sur l'appui à la micro-finance et sur la santé infantile ; des évaluations ponctuelles d'interventions d'ONG. L'étude fait tomber un premier préjugé : les grandes ou moyennes ONG ne sont pas les seules à s'intéresser à l'évaluation. Les ONG plus petites et même les organisations de communautés de base sont impliquées particulièrement à travers les différentes formes d'autoévaluation. Le rapport souligne aussi les différences dans les méthodes d'évaluation. Les critères d'évaluation dans les études des bailleurs de fonds sont sensiblement les mêmes que ceux de l'OCDE : pertinence, efficience, efficacité et viabilité. Par contre les ONG accordent une plus grande importance à la participation dans les méthodes d'évaluation et considèrent celle-ci comme un élément d'une planification stratégique d'ensemble. Parmi les nombreux points de conclusion avancés par les rapporteurs on en relèvera trois : la nécessité de se pencher sur la contradiction suivante : demander aux ONG que les projets soient financièrement viables ou pérennes, alors que la plupart s'adressent aux plus pauvres des pauvres ; renforcer les réseaux d'échange d'expériences sur la thématique de l'évaluation ; renforcer les méthodes d'évaluation d'interventions autres que la mise en œuvre de projets et, notamment, celle concernant le lobbying ou l'éducation au développement.
Cette étude permet une confrontation des pratiques de différents pays, qu'il s'agisse de l'impact de l'action des ONG ou des méthodes utilisées pour l'apprécier. Les collectes ont porté sur trois types d'études : des études globales d'impact commanditées par des bailleurs de fonds, des études sectorielles ou thématiques sur l'appui à la micro-finance et sur la santé infantile ; des évaluations ponctuelles d'interventions d'ONG. L'étude fait tomber un premier préjugé : les grandes ou moyennes ONG ne sont pas les seules à s'intéresser à l'évaluation. Les ONG plus petites et même les organisations de communautés de base sont impliquées particulièrement à travers les différentes formes d'autoévaluation. Le rapport souligne aussi les différences dans les méthodes d'évaluation. Les critères d'évaluation dans les études des bailleurs de fonds sont sensiblement les mêmes que ceux de l'OCDE : pertinence, efficience, efficacité et viabilité. Par contre les ONG accordent une plus grande importance à la participation dans les méthodes d'évaluation et considèrent celle-ci comme un élément d'une planification stratégique d'ensemble. Parmi les nombreux points de conclusion avancés par les rapporteurs on en relèvera trois : la nécessité de se pencher sur la contradiction suivante : demander aux ONG que les projets soient financièrement viables ou pérennes, alors que la plupart s'adressent aux plus pauvres des pauvres ; renforcer les réseaux d'échange d'expériences sur la thématique de l'évaluation ; renforcer les méthodes d'évaluation d'interventions autres que la mise en œuvre de projets et, notamment, celle concernant le lobbying ou l'éducation au développement.
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Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
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18926 | 060.007 VIE | autres textes imprimés | 69 - BU HDL (Lyon) | Disponible |