[texte imprimé]Généro, ajuste estructural y trabajo : analisis a través del Banco Mundial y del caso del Peru, Lima Metropolitana, 1986-1993
ORUÉ, Roxana,
-
GENEVE (SUISSE) : INSTITUT UNIVERSITAIRE D'ETUDES DU DEVELOPPEMENT (IUED),
1998/07,
115 P.
Dans cette étude, l'auteur dénonce le PAS (Programme d'Ajustement Structurel) mis en place par la Banque Mondiale en juillet 1990, pour sortir le Pérou de la pire crise subie depuis un siècle.
Au contraire, le PAS n'a fait qu'aggraver les inégalités entre hommes et femmes (traditionnellement importante au Pérou) notamment dans l'accès au travail.
Le chômage, le sous-emploi se sont aggravés. Le nombre d'emplois correctement payés a fortement diminué : environ 76 % de la population est sous-employée et/ou mal payée ! Mais ce sont les femmes qui subissent le plus les conséquences du PAS, et on les retrouve majoritairement dans la catégorie des emplois où les conditions sont les plus pénibles (travail domestique par exemple).
Cet état de fait ne pourra changer tant que la Banque Mondiale sous-estimera le rôle et le statut des femmes, que ce soit au niveau économique, social et politique.
Lors de la IVe conférence internationale des femmes à Pékin, la Banque mondiale a accepté de s'ouvrir au dialogue et de créer un "Groupe consultatif de genre" au sein de son institution.
Dans cette étude, l'auteur dénonce le PAS (Programme d'Ajustement Structurel) mis en place par la Banque Mondiale en juillet 1990, pour sortir le Pérou de la pire crise subie depuis un siècle.
Au contraire, le PAS n'a fait qu'aggraver les inégalités entre hommes et femmes (traditionnellement importante au Pérou) notamment dans l'accès au travail.
Le chômage, le sous-emploi se sont aggravés. Le nombre d'emplois correctement payés a fortement diminué : environ 76 % de la population est sous-employée et/ou mal payée ! Mais ce sont les femmes qui subissent le plus les conséquences du PAS, et on les retrouve majoritairement dans la catégorie des emplois où les conditions sont les plus pénibles (travail domestique par exemple).
Cet état de fait ne pourra changer tant que la Banque Mondiale sous-estimera le rôle et le statut des femmes, que ce soit au niveau économique, social et politique.
Lors de la IVe conférence internationale des femmes à Pékin, la Banque mondiale a accepté de s'ouvrir au dialogue et de créer un "Groupe consultatif de genre" au sein de son institution.
|
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
21294 | 338.98 ORU | autres textes imprimés | 69 - BU HDL (Lyon) | Disponible |