[texte imprimé]Libre-échange et résistances sociales en Amérique latine
GRESEA (Groupe de recherche pour une stratégie économique alternative),
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BRUXELLES (BELGIQUE) : GROUPE DE RECHERCHE POUR UNE STRATEGIE ECONOMIQUE ALTERNATIVE (GRESEA),
2000/06,
85 P.
Ce document traite des conséquences de la mondialisation libérale et des accords de libre-échange en Amérique latine et plus précisément au Mexique. Les trois premières contributions analysent la philosophie et les conséquences économiques et sociales des traités de "libre-échange" (ALENA, traité mexico-européen), ainsi que la libéralisation des capitaux et des marchés financiers et la stratégie des firmes transnationales en Amérique latine. Le premier texte démontre en quoi l'ALENA a été un "banc d'essai" pour l'OMC, tandis que le deuxième s'attache au traité entre l'Union européenne et le Mexique. Le troisième texte retrace le contexte économique dominant en Amérique latine, fait de dérégulation économique, de libéralisation des marchés, de privatisations et de plans d'ajustement structurel qui a ouvert une voie royale aux firmes transnationales et entraîné une aggravation des inégalités sociales et de la pauvreté, le démantèlement des législations sociales, la violation des droits fondamentaux. Les impacts de ces accords montrent qu'il faut établir des règles précises pour limiter les mouvements de capitaux et organiser une coordination citoyenne permanente entre tous les pays, afin de contrecarrer les effets négatifs de ces mouvements de capitaux. Le quatrième texte analyse les résistances du syndicalisme latino-américain à la mondialisation de l'économie. Enfin, il tente d'évaluer les réponses syndicales dans ce contexte d'offensive néolibérale et de régression sociale.
Ce document traite des conséquences de la mondialisation libérale et des accords de libre-échange en Amérique latine et plus précisément au Mexique. Les trois premières contributions analysent la philosophie et les conséquences économiques et sociales des traités de "libre-échange" (ALENA, traité mexico-européen), ainsi que la libéralisation des capitaux et des marchés financiers et la stratégie des firmes transnationales en Amérique latine. Le premier texte démontre en quoi l'ALENA a été un "banc d'essai" pour l'OMC, tandis que le deuxième s'attache au traité entre l'Union européenne et le Mexique. Le troisième texte retrace le contexte économique dominant en Amérique latine, fait de dérégulation économique, de libéralisation des marchés, de privatisations et de plans d'ajustement structurel qui a ouvert une voie royale aux firmes transnationales et entraîné une aggravation des inégalités sociales et de la pauvreté, le démantèlement des législations sociales, la violation des droits fondamentaux. Les impacts de ces accords montrent qu'il faut établir des règles précises pour limiter les mouvements de capitaux et organiser une coordination citoyenne permanente entre tous les pays, afin de contrecarrer les effets négatifs de ces mouvements de capitaux. Le quatrième texte analyse les résistances du syndicalisme latino-américain à la mondialisation de l'économie. Enfin, il tente d'évaluer les réponses syndicales dans ce contexte d'offensive néolibérale et de régression sociale.
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