[texte imprimé]Discriminations et violences contre les femmes en Tunisie
FIDH (Fédération internationale pour les droits humains),
LTDH (Ligue tunisienne des droits de l'homme) ; ATFD (Association tunisienne des femmes démocrates) -
PARIS : FEDERATION INTERNATIONALE POUR LES DROITS HUMAINS (FIDH),
2002/06,
40 P.
Il s'agit d'un état des lieux sur les violences faites aux femmes. Malgré certaines réformes modernistes, les mentalité considèrent toujours la femme comme inférieure à l'homme et soumise aux hommes de sa famille (époux, frère, père, fils...). Le rapport présente tout d'abord les violences physiques et psychologiques faites aux femmes le plus souvent dans le cadre familial. L'impunité des crimes est dénoncée : les lois ne sont pas appliquées (ou mal) et les administrations chargées d'entendre les victimes (police...) prennent souvent le parti des hommes, auteurs des violences. La seconde partie s'intéresse plus précisément aux femmes qui sont harcelées ou violentées en raison de leur activités de militantes des droits de l'Homme. Ensuite, ce sont les inégalités juridiques en matière successorale qui sont dénoncées. Enfin, les atteintes à la liberté de religion des femmes puis les conclusions et recommandations de la FIDH, de la LTDH et l'ATFD sont présentées.
Il s'agit d'un état des lieux sur les violences faites aux femmes. Malgré certaines réformes modernistes, les mentalité considèrent toujours la femme comme inférieure à l'homme et soumise aux hommes de sa famille (époux, frère, père, fils...). Le rapport présente tout d'abord les violences physiques et psychologiques faites aux femmes le plus souvent dans le cadre familial. L'impunité des crimes est dénoncée : les lois ne sont pas appliquées (ou mal) et les administrations chargées d'entendre les victimes (police...) prennent souvent le parti des hommes, auteurs des violences. La seconde partie s'intéresse plus précisément aux femmes qui sont harcelées ou violentées en raison de leur activités de militantes des droits de l'Homme. Ensuite, ce sont les inégalités juridiques en matière successorale qui sont dénoncées. Enfin, les atteintes à la liberté de religion des femmes puis les conclusions et recommandations de la FIDH, de la LTDH et l'ATFD sont présentées.
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