[texte imprimé]Civilisations et puissance
BALANDIER, Georges,
-
LA TOUR D'AIGUES : L'AUBE,
2004,
53 P.
Selon Georges Balandier, on ne peut faire l'économie d'une évaluation critique de la modernité mondialisante. Plus qu'une simple révolution des mœurs, et bien plus encore qu'une révolution des techniques dont se sont dotées les industries culturelles, elle doit d'abord être reconnue comme le passage à une époque qui n'a pas de précédent. Elle est une affirmation propice à l'expansion continue de la puissance de ceux qui en ont l'initiative. Ensuite, elle comporte du "manque", des insuffisances. Enfin, il faut reconnaître la méconnaissance de l'homme surmoderne, qui ne cesse de transformer ce monde, où il reste démuni de ce qui l'aiderait à définir son humanité aujourd'hui, son identité, à être moins aveugle quant au devenir dans lequel il se trouve engagé.
Selon Georges Balandier, on ne peut faire l'économie d'une évaluation critique de la modernité mondialisante. Plus qu'une simple révolution des mœurs, et bien plus encore qu'une révolution des techniques dont se sont dotées les industries culturelles, elle doit d'abord être reconnue comme le passage à une époque qui n'a pas de précédent. Elle est une affirmation propice à l'expansion continue de la puissance de ceux qui en ont l'initiative. Ensuite, elle comporte du "manque", des insuffisances. Enfin, il faut reconnaître la méconnaissance de l'homme surmoderne, qui ne cesse de transformer ce monde, où il reste démuni de ce qui l'aiderait à définir son humanité aujourd'hui, son identité, à être moins aveugle quant au devenir dans lequel il se trouve engagé.
|
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
31702 | COSI SOC/BAL/CIV | autres textes imprimés | 69 - FORUM REFUGIES (Lyon) | Disponible |