[texte imprimé]Etude du stockage des grains au Mali
GRET (Professionnels du développement solidaire),
GRDR (Groupe de recherche et de réalisations pour le développement rural dans le tiers-monde) ; IER (Institut d'économie rurale) Mali ; Ministère de la Coopération, DMA (Division du machinisme agricole) -
NOGENT SUR MARNE : PROFESSIONNELS DU DEVELOPPEMENT SOLIDAIRE (GRET),
1985/10,
172 P.
Les céréales constituent les denrées alimentaires de base en Afrique de l'Ouest, notamment au Mali. Le développement de cette filière agricole contribue à l'amélioration de la sécurité alimentaire, à la réduction de la pauvreté et à une croissance accélérée de l'économie nationale. Cependant, le stockage et la conservation des grains constitue un problème majeur, en raison des pertes post-récoltes dues aux insectes ravageurs et à leur incidence de reproduction sur l'état des grains. Les auteurs recensent trois principales structures de conservation : le magasin, structure la plus utilisée dans les villages, le grenier et la maison d'habitation, privilégiés en milieu urbain. Quatre méthodes de conservation sont identifiées : l'exposition au soleil, les produits chimiques, les plantes répulsives et la matière inerte. Malgré les efforts des autorités du pays pour améliorer la productivité, le rendement de la production céréalière reste inférieur à la moyenne mondiale car les grains subissent des pertes lors des opérations post-récoltes, entraînant la perte de la quantité et de la qualité des grains secs chaque année.
Les céréales constituent les denrées alimentaires de base en Afrique de l'Ouest, notamment au Mali. Le développement de cette filière agricole contribue à l'amélioration de la sécurité alimentaire, à la réduction de la pauvreté et à une croissance accélérée de l'économie nationale. Cependant, le stockage et la conservation des grains constitue un problème majeur, en raison des pertes post-récoltes dues aux insectes ravageurs et à leur incidence de reproduction sur l'état des grains. Les auteurs recensent trois principales structures de conservation : le magasin, structure la plus utilisée dans les villages, le grenier et la maison d'habitation, privilégiés en milieu urbain. Quatre méthodes de conservation sont identifiées : l'exposition au soleil, les produits chimiques, les plantes répulsives et la matière inerte. Malgré les efforts des autorités du pays pour améliorer la productivité, le rendement de la production céréalière reste inférieur à la moyenne mondiale car les grains subissent des pertes lors des opérations post-récoltes, entraînant la perte de la quantité et de la qualité des grains secs chaque année.
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