[article]Albert Camus ou le refus du meurtre
- In :
ALTERNATIVES NON VIOLENTES,
2e trimestre 2013 (30/06/2013),
N°167,
P. 4-50
Albert Camus, sans être un adepte de la non-violence, reste proche de la démarche non-violente. Cette relative proximité des "non-violents" a été une arme utilisée par ses détracteurs pour le tourner en dérision. Son engagement humaniste l'a conduit à prendre des positions courageuses : refus de légitimer ou de justifier le meurtre quelque soient les circonstances, abolition de la peine de mort, absurdité des guerres et condamnation des totalitarismes. Face aux injustices commises par les hommes, il comprend la révolte et soutient les révoltés mais il n'admet pas que l'on prenne les armes. Notamment, lors de la guerre d'Algérie, il estime que quand l'opprimé prend les armes au nom de la justice, il fait un pas vers l'injustice.
Albert Camus, sans être un adepte de la non-violence, reste proche de la démarche non-violente. Cette relative proximité des "non-violents" a été une arme utilisée par ses détracteurs pour le tourner en dérision. Son engagement humaniste l'a conduit à prendre des positions courageuses : refus de légitimer ou de justifier le meurtre quelque soient les circonstances, abolition de la peine de mort, absurdité des guerres et condamnation des totalitarismes. Face aux injustices commises par les hommes, il comprend la révolte et soutient les révoltés mais il n'admet pas que l'on prenne les armes. Notamment, lors de la guerre d'Algérie, il estime que quand l'opprimé prend les armes au nom de la justice, il fait un pas vers l'injustice.
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