[texte imprimé]Le poison des intérêts
KENNEDY, Margrit,
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GAP : YVES MICHEL,
2013,
104 P.
"L'argent gouverne le monde ! Personne n'en doute aujourd'hui. Mais qui gouverne l'argent ? Même les experts s'accordent rarement là-dessus". Depuis trente ans, l'auteure affirme que le système économique néolibéral souffre d'un défaut structurel, qui s'appelle l'intérêt. En 2008, après la faillite de Lehman Brothers et le début de la crise financière mondiale, elle a constaté que les peuples commençaient à écouter et que de plus en plus d'économistes critiquaient sévèrement le néolibéralisme et son credo "le marché va tout réguler", en assistant, impuissants, à l'accumulation de dettes non remboursables et de produits financiers sans valeur. Dans cet ouvrage, Margrit Kennedy dénonce la "prison mentale" construite autour des intérêts de l'argent et combat la phrase fétiche des économistes : "La critique du système est juste, mais nous n'avons pas le pouvoir de le changer". Elle invite les citoyen·nes à se poser des questions essentielles : "laisserons-nous notre avenir dans les mains de quelques traders qui tirent les ficelles du marché ? Resterons-nous bouche bée devant la fuite en avant exponentielle, la spéculation, l’inflation, qui ne profitent qu’à quelques-uns ?" Elle pousse à l'action les personnes qui ne veulent pas se résigner, en osant sortir des conditionnements pour un réel changement de l'économie mondiale, et elle propose d’autres modèles possibles, à commencer par des banques aux activités transparentes, des investissements éthiques et écologiques, et l’utilisation de monnaies alternatives.
"L'argent gouverne le monde ! Personne n'en doute aujourd'hui. Mais qui gouverne l'argent ? Même les experts s'accordent rarement là-dessus". Depuis trente ans, l'auteure affirme que le système économique néolibéral souffre d'un défaut structurel, qui s'appelle l'intérêt. En 2008, après la faillite de Lehman Brothers et le début de la crise financière mondiale, elle a constaté que les peuples commençaient à écouter et que de plus en plus d'économistes critiquaient sévèrement le néolibéralisme et son credo "le marché va tout réguler", en assistant, impuissants, à l'accumulation de dettes non remboursables et de produits financiers sans valeur. Dans cet ouvrage, Margrit Kennedy dénonce la "prison mentale" construite autour des intérêts de l'argent et combat la phrase fétiche des économistes : "La critique du système est juste, mais nous n'avons pas le pouvoir de le changer". Elle invite les citoyen·nes à se poser des questions essentielles : "laisserons-nous notre avenir dans les mains de quelques traders qui tirent les ficelles du marché ? Resterons-nous bouche bée devant la fuite en avant exponentielle, la spéculation, l’inflation, qui ne profitent qu’à quelques-uns ?" Elle pousse à l'action les personnes qui ne veulent pas se résigner, en osant sortir des conditionnements pour un réel changement de l'économie mondiale, et elle propose d’autres modèles possibles, à commencer par des banques aux activités transparentes, des investissements éthiques et écologiques, et l’utilisation de monnaies alternatives.
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Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
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55111 | DEV ECO KEN | livre, album | 14 - CITIM (Caen) | Exclu du prêt |