[article]Sous les tatouages
- In :
BOUTS DU MONDE,
hiver 2020 (01/01/2020),
N°41,
P. 56-71
Fascinée par les îles de Polynésie depuis l'enfance, Stéphanie Ledoux est retournée voir les tatouages des Marquisiens lors d'un troisième voyage, pour approfondir sa connaissance de cette culture mystérieuse qui résiste au folklore. L'auteure voue une prédilection aux tikis, statues anthropomorphes sculptées dans le bois ou le tuf volcanique représentant des ancêtres ou des dieux, gravés sur des objets usuels ou tatoués en noir sous la peau. Aux Marquises, le tatouage se dit "te patutiki" (graver tiki) et est réalisé lors d'un rite initiatique complexe à l'adolescence. Après des siècles d'interdiction imposée par les missionnaires protestants à la fin du XVIIIe siècle, la réappropriation de cette culture ancestrale a débuté dans les années 1970-80 et a réveillé l'intérêt des jeunes générations pour le tatouage.
Fascinée par les îles de Polynésie depuis l'enfance, Stéphanie Ledoux est retournée voir les tatouages des Marquisiens lors d'un troisième voyage, pour approfondir sa connaissance de cette culture mystérieuse qui résiste au folklore. L'auteure voue une prédilection aux tikis, statues anthropomorphes sculptées dans le bois ou le tuf volcanique représentant des ancêtres ou des dieux, gravés sur des objets usuels ou tatoués en noir sous la peau. Aux Marquises, le tatouage se dit "te patutiki" (graver tiki) et est réalisé lors d'un rite initiatique complexe à l'adolescence. Après des siècles d'interdiction imposée par les missionnaires protestants à la fin du XVIIIe siècle, la réappropriation de cette culture ancestrale a débuté dans les années 1970-80 et a réveillé l'intérêt des jeunes générations pour le tatouage.
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MCM02154 | MCM P EXP BOU | autres textes imprimés | 44 - MCM (Nantes) | Disponible |