[texte imprimé]MPE 17 : Comment la qualité de vie au travail s'intègre dans la politique hygiène et sécurité des entreprises
DUBOUÉ, Julie,
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VENISSIEUX : BIOFORCE,
2020/09,
45 P.
La sécurité est une obligation légale, que les entreprises se doivent de respecter, dans le cadre de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), sous peine d’écoper de lourdes sanctions. Mais il n’en a pas toujours été ainsi. Des salarié·es se sont battu·es pour avoir le droit d'effectuer leur travail dans des conditions garantissant leur santé physique et mentale. Au fil des années, les organismes de protection des travailleur·ses se sont rendu compte que la protection de la santé ne passait pas uniquement par la prévention des accidents du travail, mais également par la prévention des risques dits “psychiques”, que l'on retrouve dans le droit du travail, sous l’appellation “risques psychosociaux (RPS)”. Ces risques psychosociaux prennent en compte la capacité des salarié·es à dialoguer, leurs relations avec les managers, la charge de travail et, plus généralement, tout ce qui est lié à la qualité de vie au travail (ou bien-être au travail). Cette intégration des risques psychosociaux dans les politiques d’Hygiène et de Sécurité des entreprises est arrivée à une époque où la répartition des secteurs d’activités en France a connu une forte transition, passant de l'industrialisation au tertiaire. La sédentarisation des fonctions joue un grand rôle dans l’évolution de la perception du bien-être au travail et la qualité de vie au travail est aujourd’hui un levier dans la prévention des risques psychosociaux et promet des bouleversements des modes de travail dans les années à venir.
La sécurité est une obligation légale, que les entreprises se doivent de respecter, dans le cadre de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), sous peine d’écoper de lourdes sanctions. Mais il n’en a pas toujours été ainsi. Des salarié·es se sont battu·es pour avoir le droit d'effectuer leur travail dans des conditions garantissant leur santé physique et mentale. Au fil des années, les organismes de protection des travailleur·ses se sont rendu compte que la protection de la santé ne passait pas uniquement par la prévention des accidents du travail, mais également par la prévention des risques dits “psychiques”, que l'on retrouve dans le droit du travail, sous l’appellation “risques psychosociaux (RPS)”. Ces risques psychosociaux prennent en compte la capacité des salarié·es à dialoguer, leurs relations avec les managers, la charge de travail et, plus généralement, tout ce qui est lié à la qualité de vie au travail (ou bien-être au travail). Cette intégration des risques psychosociaux dans les politiques d’Hygiène et de Sécurité des entreprises est arrivée à une époque où la répartition des secteurs d’activités en France a connu une forte transition, passant de l'industrialisation au tertiaire. La sédentarisation des fonctions joue un grand rôle dans l’évolution de la perception du bien-être au travail et la qualité de vie au travail est aujourd’hui un levier dans la prévention des risques psychosociaux et promet des bouleversements des modes de travail dans les années à venir.
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Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
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BIOF07162 | BIOF MPE 17/06 | autres textes imprimés | 69 - BIOFORCE (Vénissieux) | Disponible |