[document électronique]Exploring migrants’ trust in humanitarian organisations
IMREF (Independent Monitoring Rapid Research and Evidence Facility),
-
HONG KONG (CHINE) : SEEFAR,
2021/03,
31 P.
Les recherches menées par Seefar dans le cadre du consortium IMREF (Independent Monitoring, Rapid Research and Evidence Facility) montrent que le manque de confiance dans les organisations humanitaires affecte la volonté des migrant.es de rechercher l’aide disponible. Les résultats sont basés sur une étude documentaire de 39 sources, 16 entretiens avec des informateurs clés sur le terrain, et des entretiens qualitatifs approfondis par téléphone avec 90 migrant.es en transit (dont 30 femmes) à Agadez et Gao. L’étude montre qu’il existe un lien entre la confiance des migrant.es dans les organisations et leur volonté d’y accéder. Les migrant.es qui pensaient qu’il y avait des risques supplémentaires associés à l’accès aux organisations (peur de l’expulsion, crainte que le personnel humanitaire ne les décourage de migrer et peur d’un mauvais traitement) étaient peu disposé.es à accéder à l’aide et évitaient activement toute interaction avec le personnel des organisations internationales. La confiance limitée et la réticence à avoir recours aux organisations signifiaient souvent que les migrant.es attendaient de n’avoir aucune autre alternative, et d’être extrêmement vulnérables, avant de demander de l’aide.
Public :
https://seefar.org/wp-content/uploads/IMREF_Exploring_Migrants_Trust.pdf
Les recherches menées par Seefar dans le cadre du consortium IMREF (Independent Monitoring, Rapid Research and Evidence Facility) montrent que le manque de confiance dans les organisations humanitaires affecte la volonté des migrant.es de rechercher l’aide disponible. Les résultats sont basés sur une étude documentaire de 39 sources, 16 entretiens avec des informateurs clés sur le terrain, et des entretiens qualitatifs approfondis par téléphone avec 90 migrant.es en transit (dont 30 femmes) à Agadez et Gao. L’étude montre qu’il existe un lien entre la confiance des migrant.es dans les organisations et leur volonté d’y accéder. Les migrant.es qui pensaient qu’il y avait des risques supplémentaires associés à l’accès aux organisations (peur de l’expulsion, crainte que le personnel humanitaire ne les décourage de migrer et peur d’un mauvais traitement) étaient peu disposé.es à accéder à l’aide et évitaient activement toute interaction avec le personnel des organisations internationales. La confiance limitée et la réticence à avoir recours aux organisations signifiaient souvent que les migrant.es attendaient de n’avoir aucune autre alternative, et d’être extrêmement vulnérables, avant de demander de l’aide.
Public :
https://seefar.org/wp-content/uploads/IMREF_Exploring_Migrants_Trust.pdf
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Exemplaires (2)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Disponibilité |
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21145 | W | document électronique | DISPONIBLE SUR LE WEB | Disponible |
21144 | REF SEE exp21 | document électronique | 26 - GROUPE URD (Plaisians) | Disponible |