Détail de l'éditeur
Documents disponibles chez cet éditeur (135)
trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Date de parution décroissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
[texte imprimé]Guide des fonds sociaux de la Banque Mondiale à l'usage des organisations non gouvernementales françaises Banque mondiale, - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1998/04, 213 P.
La méthode utilisée pour réaliser ce guide a consisté à recenser les fonds sociaux et à analyser leurs modes de fonctionnement, notamment la manière dont ils collaborent avec les ONG. Les fonds sociaux sont des intermédiaires financiers, qui sélectionnent et financent de petits projets d'infrastructures, de services sociaux et de micro-finance proposés par des communautés vulnérables. Les collectivités locales, les micro et petites entreprises, les ONG et les communautés assurent la mise en œuvre de ces projets. Entités relativement indépendantes des Etats, les fonds sociaux visent à favoriser la participation des acteurs intéressés dans le processus d'identification, d'approbation et de contrôle des micro-projets.
Titre : Guide des fonds sociaux de la Banque Mondiale à l'usage des organisations non gouvernementales françaises Type de document : texte imprimé Auteurs : Banque mondiale Editeur : WASHINGTON [ETATS UNIS] : BANQUE MONDIALE Année de publication : 1998/04 Importance : 213 P. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Géographique
France
Thésaurus Thématique
SOCIÉTÉ ; ONG ; Financement ; Projet de développement ; Microcrédit ; Participation populaire ; Banque mondiale (BM)Résumé : La méthode utilisée pour réaliser ce guide a consisté à recenser les fonds sociaux et à analyser leurs modes de fonctionnement, notamment la manière dont ils collaborent avec les ONG. Les fonds sociaux sont des intermédiaires financiers, qui sélectionnent et financent de petits projets d'infrastructures, de services sociaux et de micro-finance proposés par des communautés vulnérables. Les collectivités locales, les micro et petites entreprises, les ONG et les communautés assurent la mise en œuvre de ces projets. Entités relativement indépendantes des Etats, les fonds sociaux visent à favoriser la participation des acteurs intéressés dans le processus d'identification, d'approbation et de contrôle des micro-projets. Type de contenu : guide pratique, manuel, méthodologie Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=16362 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 19726 CRD 26253 autres textes imprimés 69 - BU HDL (Lyon) Disponible [texte imprimé]International watercourses : enhancing cooperation and managing conflict : Proceeding of a World Bank Seminar SALMAN, Salman M. A., BOISSON DE CHAZOURNES, Laurence - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1998, 223 P.
Les voies navigables internationales constituent des richesses vitales mais complexes. Elles sont voie de migration et de commerce, source potentielle de conflits et catalyseur de la coopération. A la fin du XXème siècle, les lois régissant ces voies navigables se sont développées au niveau bilatéral, régional et international. Au niveau bilatéral, l'Inde a signé un traité avec le Bangladesh afin de partager les eaux du Gange. On retrouve l'Inde dans la gestion de la rivière Mahakali qu'elle partage désormais avec le Népal. Au niveau régional, en Europe, la convention d'Helsinki sur la protection et l'utilisation des cours d'eau transfrontaliers et lacs internationaux a été signée. En Afrique, le protocole sur le système de partage des voies navigables dans la communauté de développement africaine du sud fut signé par un nombre important de pays membres. Au niveau international, la convention des Nations Unies fait appliquer des les lois sur l'utilisation des voies internationales non navigables. La Banque Mondiale utilise ses capacités techniques et ses ressources financières pour faciliter la coopération dans ces diverses conventions et gérer les conflits que peuvent entraîner le partage des eaux navigables.
Titre : International watercourses : enhancing cooperation and managing conflict : Proceeding of a World Bank Seminar Titre original : Les voies navigables internationales : Améliorer la coopération et gérer les conflits : Actes des séminaires sur les agissements de la Banque Mondiale Type de document : texte imprimé Auteurs : Salman M. A. SALMAN ; Laurence BOISSON DE CHAZOURNES Editeur : WASHINGTON [ETATS UNIS] : BANQUE MONDIALE Année de publication : 1998 Collection : WORLD BANK TECHNICAL PAPERS, ISSN 0253-7494 Importance : 223 P. ISBN/ISSN/EAN : 978-0-8213-4298-5 Note générale : Actes du séminaire organisé par le service juridique de la Banque Mondiale les 3 et 4 novembre 1997. Langues : Anglais (eng) Catégories : Thésaurus Géographique
Afrique ; Bangladesh ; Inde ; Monde ; Népal ; Bassin de l'indus
Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Banque mondiale (BM) ; Conflit ; Droit international ; Eau ; Environnement ; Protection de l'environnement ; Accord économiqueRésumé : Les voies navigables internationales constituent des richesses vitales mais complexes. Elles sont voie de migration et de commerce, source potentielle de conflits et catalyseur de la coopération. A la fin du XXème siècle, les lois régissant ces voies navigables se sont développées au niveau bilatéral, régional et international. Au niveau bilatéral, l'Inde a signé un traité avec le Bangladesh afin de partager les eaux du Gange. On retrouve l'Inde dans la gestion de la rivière Mahakali qu'elle partage désormais avec le Népal. Au niveau régional, en Europe, la convention d'Helsinki sur la protection et l'utilisation des cours d'eau transfrontaliers et lacs internationaux a été signée. En Afrique, le protocole sur le système de partage des voies navigables dans la communauté de développement africaine du sud fut signé par un nombre important de pays membres. Au niveau international, la convention des Nations Unies fait appliquer des les lois sur l'utilisation des voies internationales non navigables. La Banque Mondiale utilise ses capacités techniques et ses ressources financières pour faciliter la coopération dans ces diverses conventions et gérer les conflits que peuvent entraîner le partage des eaux navigables. Type de contenu : conférence, congrès, colloque Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43111 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 36704 URD EAU BM int98 autres textes imprimés 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible [texte imprimé]Rwanda poverty Note : Rebuilding an equitable society: Poverty and poverty reduction after the genocide Banque mondiale, - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1998, 54 P. + ANN.
Après le génocide de 1994, le Rwanda devint un des pays les plus pauvres du monde. Trois ans après, la mort de millions de personnes et le déplacement des populations n'ont pas permis à l'économie rwandaise de se redresser. La pauvreté du pays et de ses habitants est liée à la stabilité économique, la reconstruction du pays doit mettre en avant la croissance de la politique sociale et la réduction de la pauvreté en remettant à flot l'agriculture, l'éducation, l'urbanisme et l'environnement macroéconomique.
Titre : Rwanda poverty Note : Rebuilding an equitable society: Poverty and poverty reduction after the genocide Titre original : Rapport sur la pauvreté rwandaise : Reconstruire une société équitable: Pauvreté et réduction de la pauvreté après le génocide Type de document : texte imprimé Auteurs : Banque mondiale Editeur : WASHINGTON [ETATS UNIS] : BANQUE MONDIALE Année de publication : 1998 Importance : 54 P. + ANN. Langues : Anglais (eng) Catégories : Thésaurus Géographique
Rwanda
Thésaurus Thématique
DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE ET SOCIAL ; Accès à la santé ; Agriculture ; Banque mondiale (BM) ; Croissance économique ; Économie ; Éducation ; Pauvreté ; Santé ; UrbanisationRésumé : Après le génocide de 1994, le Rwanda devint un des pays les plus pauvres du monde. Trois ans après, la mort de millions de personnes et le déplacement des populations n'ont pas permis à l'économie rwandaise de se redresser. La pauvreté du pays et de ses habitants est liée à la stabilité économique, la reconstruction du pays doit mettre en avant la croissance de la politique sociale et la réduction de la pauvreté en remettant à flot l'agriculture, l'éducation, l'urbanisme et l'environnement macroéconomique. Type de contenu : rapport, rapport d'activités Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44471 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 37526 URD GEO RWA BM rwa98 autres textes imprimés 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible [texte imprimé]Setting priorities for environmental management : An application to the mining sector in Bolivia AYRES, Wendy S., ANDERSON, Kathleen ; HANRAHAN, David - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1998, 106 P.
Les exploitations minières et les industries en mauvais état, à l'abandon ou mal gérés peuvent endommager leur environnement en y déversant des éléments polluants. Le coût élevé de nettoyage des sites accentue la négligence de l'entretien. La santé tout comme l'environnement peut subir les dégâts que causent ces mines et ces industries, il est donc nécessaire d'orienter les activités d'assainissement sur les sites que l'on juge prioritaire.
Titre : Setting priorities for environmental management : An application to the mining sector in Bolivia Titre original : Fixer des priorités pour la gestion de l'environnement : une application au secteur minier en Bolivie Type de document : texte imprimé Auteurs : Wendy S. AYRES ; Kathleen ANDERSON ; David HANRAHAN Editeur : WASHINGTON [ETATS UNIS] : BANQUE MONDIALE Année de publication : 1998 Collection : POLLUTION MANAGEMENT SERIES Importance : 106 P. Langues : Anglais (eng) Catégories : Thésaurus Géographique
Bolivie
Thésaurus Thématique
ENVIRONNEMENT ; Industrie extractive ; Environnement ; Pollution ; SantéRésumé : Les exploitations minières et les industries en mauvais état, à l'abandon ou mal gérés peuvent endommager leur environnement en y déversant des éléments polluants. Le coût élevé de nettoyage des sites accentue la négligence de l'entretien. La santé tout comme l'environnement peut subir les dégâts que causent ces mines et ces industries, il est donc nécessaire d'orienter les activités d'assainissement sur les sites que l'on juge prioritaire. Type de contenu : rapport, rapport d'activités Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49092 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Disponibilité 39872 URD ENV AYR set98 autres textes imprimés 26 - GROUPE URD (Plaisians) Disponible [texte imprimé]L'État plus proche du citoyen Banque mondiale, - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1997/06, P. 125-147
Le rapport annuel de la Banque mondiale est, cette année, consacré à la question du rôle de l'État dans un monde en mutation. Un des chapitres traite plus spécifiquement des relations entre État et citoyen et du rôle des ONG. La problématique est celle ci : quels mécanismes permettent de mieux adapter les politiques et les programmes à l'ensemble des intérêts de la société ? La participation des citoyens est un des ressorts essentiel, certes, mais elle exige l'intervention éclairée de l'État qui doit améliorer l'environnement institutionnel dans lequel se crée le potentiel associatif. Une fois rappelé ce préalable, des développements sont consacrés aux trois principales formes de participation : à travers les élections, à travers les ONG et enfin par la décentralisation. Plusieurs catégories d'ONG interviennent : celles qui se substituent au secteur public défaillant, celles qui représentent des intérêts particuliers ou qui visent à informer le public sur des questions d'intérêt collectif ; les organismes de proximité et les organisations populaires. "Ces groupements sont utiles non seulement parce qu'ils sont capables de satisfaire des besoins essentiels, mais aussi parce qu'ils contribuent à éveiller la confiance et à créer un sentiment d'appartenance parmi ceux qui sont exclus de la vie politique organisée ou qui n'y croient pas". De nombreux exemples sont pris dans les secteurs de l'éducation, de la protection de l'environnement, du rôle des femmes... Des propositions sont faites pour favoriser le rôle de l'État comme ferment d'un environnement propice à l'expression de la société civile. Un des intérêts de cet ouvrage consiste à prendre des exemples dans les sociétés du Nord comme du Sud.
Titre : L'État plus proche du citoyen Type de document : texte imprimé Auteurs : Banque mondiale Editeur : WASHINGTON [ETATS UNIS] : BANQUE MONDIALE Année de publication : 1997/06 Importance : P. 125-147 Note générale : Chapitre 7 du Rapport sur le développement dans le monde 1997 : L'Etat dans un monde en mutation.
On trouvera des encadrés sur l'opinion publique et l'Etat, la progression de la démocratie représentée par des courbes, la gestion du pluri-ethnisme, l'impact de la vie associative, des enquêtes auprès d'usagers pour améliorer les services publics...Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus Géographique
Monde
Thésaurus Thématique
SOCIÉTÉ ; État ; Démocratie ; Citoyenneté ; ONG ; Opinion publique ; Participation populaire ; EnquêteRésumé : Le rapport annuel de la Banque mondiale est, cette année, consacré à la question du rôle de l'État dans un monde en mutation. Un des chapitres traite plus spécifiquement des relations entre État et citoyen et du rôle des ONG. La problématique est celle ci : quels mécanismes permettent de mieux adapter les politiques et les programmes à l'ensemble des intérêts de la société ? La participation des citoyens est un des ressorts essentiel, certes, mais elle exige l'intervention éclairée de l'État qui doit améliorer l'environnement institutionnel dans lequel se crée le potentiel associatif. Une fois rappelé ce préalable, des développements sont consacrés aux trois principales formes de participation : à travers les élections, à travers les ONG et enfin par la décentralisation. Plusieurs catégories d'ONG interviennent : celles qui se substituent au secteur public défaillant, celles qui représentent des intérêts particuliers ou qui visent à informer le public sur des questions d'intérêt collectif ; les organismes de proximité et les organisations populaires. "Ces groupements sont utiles non seulement parce qu'ils sont capables de satisfaire des besoins essentiels, mais aussi parce qu'ils contribuent à éveiller la confiance et à créer un sentiment d'appartenance parmi ceux qui sont exclus de la vie politique organisée ou qui n'y croient pas". De nombreux exemples sont pris dans les secteurs de l'éducation, de la protection de l'environnement, du rôle des femmes... Des propositions sont faites pour favoriser le rôle de l'État comme ferment d'un environnement propice à l'expression de la société civile. Un des intérêts de cet ouvrage consiste à prendre des exemples dans les sociétés du Nord comme du Sud. Type de contenu : essai, réflexion, analyse Permalink : https://www.ritimo.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=14979 [texte imprimé]Faire reculer la pauvreté en Afrique subsaharienne Banque mondiale, - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1997, 172 P.
Ce rapport est l'oeuvre du Groupe d'étude sur la pauvreté en Afrique subsaharienne créé en 1993. L'objectif de ce service de la Banque Mondiale est d'analyser l'état de la pauvreté dans cette région et de faire le point sur l'action de la Banque, afin de réajuster les stratégies d'aide aux pays donc de réduire la pauvreté et d'améliorer la sécurité alimentaire. L'ouvrage présente ainsi le profil de la pauvreté en Afrique subsaharienne, le rôle des gouvernements africains, l'action menée par la Banque Mondiale et ses nouvelles perspectives d'actions, d'aide et de projets d'investissements.
Permalink[texte imprimé]Social Assessments for Better Development: Case studies in Russia and Central Asia CERNEA, Michael Mihail, KUDAT, Ayse - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1997, 210 P.
Réduire la pauvreté et permettre un développement meilleur en créant un environnement social convenable, tel est le but de la Banque mondiale. Après le démantèlement de l'Union soviétique, la Russie et les nouveaux États indépendants d'Asie centrale ont intégré les rangs de la Banque mondiale afin que celle-ci puisse les aider à affronter les phases de changements économiques et sociaux. Mais la méconnaissance de la culture, des infrastructures, des structures sociales et des traditions de ces régions due au cloisonnement communiste n'a pas aidé la Banque mondiale qui a réalisé une enquête pour combler ses lacunes et permettre de créer un développement meilleur et réussir la transition économique et sociologique.
https://documents1.worldbank.org/curated/en/106461468304473470/pdf/170410PUB0REPL00Box377333B00PUBLIC0.pdf
Permalink[texte imprimé]Implementing the World Bank's Gender Policies Banque mondiale, - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1996/03, 24 P.
Ce premier rapport d'étape fait le point des initiatives prises et des actions menées par la Banque mondiale dans le cadre du Programme d'action adopté par la Conférence mondiale des femmes (Pékin, septembre 1995) et à la suite de la pétition de plus de neuf cents signatures reçue par son président lors de la Conférence. Elles couvrent les quatre domaines suivants :
- Promotion de la participation des groupes de femmes de la base à la formulation de la politique économique
- Institutionnalisation d'une variable féminine dans l'élaboration et la mise en œuvre des projets
- Accroissement des prêts de la Banque en faveur des programmes d'éducation de base, de santé et de crédit destinés aux femmes
- Accroissement du nombre de femmes dans les instances supérieures d'administration de la Banque.
Permalink[texte imprimé]Partenariat de la Banque mondiale avec les organisations non gouvernementales , - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1996/05, 40 P.
Consciente des possibilités de complémentarité qu'offrent les ONG, la Banque mondiale veut consolider sa capacité de collaboration avec celles-ci. La présente publication veut y contribuer. "Elle est censée servir de guide aux ONG et a été conçue comme un moyen d'expliquer ce que fait la Banque et la manière dont elle s'efforce de coopérer plus activement avec les ONG".
Permalink[texte imprimé]Poverty, Inequality, and Human Capital Development in Latin America, 1950-2025 LONDONO, Juan Luis, - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1996, 38 P.
L'Amérique latine est connue pour son niveau élevé d'inégalités des revenus et pour la pauvreté largement répandue qui en découle. Après un examen de cette situation et de son évolution au cours des quarante dernières années (1950-1995) qui met en évidence les interactions entre développement des ressources humaines, inégalité des revenus, pauvreté grandissante et faible croissance économique, l'auteur tente une étude prospective de l'évolution de ces facteurs dans les prochaines décennies. Les perspectives qu'il dégage le conduisent à recommander de faire porter les efforts sur l'éducation de base afin de combler le déficit éducatif de la région qui est, selon lui, l'une des principales causes de la pauvreté et de l'inégalité des ressources.
Permalink[texte imprimé]Rapport annuel 1996 Banque mondiale, - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1996, 282 P.
Ce rapport détaille les flux pécuniaires transitant par la banque mondiale, de leur provenance à leur destination. Mais c'est surtout la présentation des politiques de cet organisme sur de nombreux aspects du développement.
Permalink[texte imprimé]The World Bank's partnership with nongovernmental organizations Banque mondiale, - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1996/05, 38 P., 5 P.
Le but de la Banque mondiale est d'éradiquer la pauvreté dans le monde. Même si ses actions à la fin du XXe siècle ont permis de réduire celle-ci, à l'aube du XXIe siècle, il reste encore plus d'un milliard de personnes vivant dans une pauvreté extrême. Pour mieux combattre cette pauvreté, la Banque mondiale se lie avec des organisations non gouvernementales locales ou internationales qui connaissent bien le terrain de la lutte. Ces organisations permettent de prendre contact avec les personnes dans le besoin et savent identifier les problèmes, tandis que la Banque mondiale apporte les financements des projets.
Permalink[texte imprimé]Un continent en transition : L'Afrique subsaharienne au milieu des années 90 , - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1995/11, 145 P.
L'Afrique subsaharienne du milieu des années 1990 est caractérisée par la diversité, des perspectives riches de promesse, l'instabilité et l'incertitude. Une double transition, politique et économique, est en cours. Le premier chapitre de la présente étude dresse un tableau de l'évolution économique de la région au cours des cinq dernières années marquées par une libéralisation politique partielle et fragile et des progrès contrastés dans les domaines économique et social. Les chapitres suivants examinent, en soulignant ce qui reste à faire, une série d'éléments clés de l'agenda du développement : politique macro-économique, mise en valeur des ressources humaines (éducation et santé, population), agriculture et environnement, développement de l'industrie et du secteur privé, services d'infrastructure, renforcement des capacités et réforme du secteur public. Les deux derniers chapitres dégagent les thèmes clés de l'avenir et leurs implications pour le partenariat entre pays africains et bailleurs de fonds.
Permalink[texte imprimé]Environmental Assessment (EA) in Africa : A World Bank Commitment GOODLAND, Robert, MERCIER, Jean-Roger ; MUNTEMBA, Shimwaayi - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1995, 169 P.
Nombre d'institutions de développement et de pays africains en développement ont désormais introduit dans leurs activités des exigences et réglementations concernant l'évaluation de leur impact sur l'environnement. La Banque mondiale formule cette même exigence pour les projets qu'elle finance. Le présent rapport regroupe les contributions qui ont traité de divers aspects de cette question lors de l'atelier de Durban : évaluation stratégique de l'impact environnemental : en renforcer le processus
- Harmonisation des procédures et exigences concernant l'évaluation environnementale de la Banque mondiale et des pays emprunteurs ; participation à l'évaluation environnementale dans les projets soutenus par la Banque mondiale en Afrique sub-saharienne ; influence de l'évaluation environnementale sur l'élaboration des projets financés par la Banque mondiale en Afrique sub-saharienne ; intégration de l'évaluation environnementale dans l'analyse de projet ; gestion de l'environnement : Approches et outils pour un monde en urbanisation rapide ; renforcement des capacités en gestion de l'environnement en Afrique.
Permalink[texte imprimé]Mainstreaming the Environment : The World Bank Group and the Environment since the Rio Earth Summit : Fiscal 1995 Summary Banque mondiale, - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1995, 59 P.
Résumé d'un rapport établi par la Banque mondiale pour 1995, ce document examine d'abord les progrès réalisés par la Banque, en particulier depuis le Sommet de la Terre (Rio de Janeiro, 1992), dans le domaine de son assistance financière et technique consacrée spécifiquement à l'environnement, ainsi que son rôle dans la mise en œuvre de la "Global Environment Facility". Plus largement il s'interroge ensuite sur la place des préoccupations environnementales dans l'ensemble des activités de la Banque. Il passe enfin en revue les programmes environnementaux de la Société financière internationale (SFI) et de l'Agence de garantie multilatérale des investissements (DIGA).
Permalink[texte imprimé]Promouvoir le développement social : Contribution de la Banque mondiale au Sommet social , - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1995, 68 P.
Depuis près d'un demi-siècle, les progrès accomplis dans le domaine du développement social ont été spectaculaires (espérance de vie, éducation... ), mais il reste encore beaucoup plus à faire pour améliorer la qualité de vie d'une population confrontée quotidiennement à la pauvreté ou au chômage. Le présent rapport prône une stratégie qui s'articule autour de plusieurs éléments. D'abord promouvoir une croissance qui multiplierait les possibilités de travailler de façon plus productive en réformant non seulement le droit du travail mais aussi l'emploi. Ensuite, valoriser le capital humain en investissant en particulier dans les ressources humaines. Enfin faire intervenir l'Etat, avec efficacité, pour qu'il corrige certaines insuffisances ou certains dysfonctionnements du marché. Le rapport, émaillé de multiples observations, se termine par un chapitre consacré à la mission de la Banque mondiale : promouvoir en particulier le développement économique et social à travers le monde.
Permalink[texte imprimé]Rapport sur le développement dans le monde 1995 : Le monde du travail dans une économie sans frontières WALTON, Michael, Banque mondiale - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1995/07, 275 P.
Comment la transformation de l'économie mondiale est-elle en train de modifier la vie et les attentes des travailleurs dans le monde, tel est le thème général de ce rapport qui "traite des facteurs qui influent sur l'offre et la demande de main d'oeuvre et sur le fonctionnement des marchés du travail. Il fait une large place aux effets que l'éducation, le rôle des femmes et la situation particulière des économies en transition ont sur ces marchés. Le rapport est axé autour de quatre questions : Quelles sont les stratégies de développement qui sont bonnes pour les travailleurs ? L'intégration internationale grandissante est-elle une chance à saisir ou constitue-t-elle une menace pour les travailleurs ? Quel rôle les politiques intérieures du marché du travail et les syndicats doivent-ils jouer pour améliorer la situation (efficacité du marché, équité des revenus, sécurité de l'emploi et conditions de travail) ? Comment la transition d'une économie planifiée ou d'un marché fermé à une économie de marché mondial peut-elle tenir compte des besoins du travail ?" (extrait de la lettre d'envoi du Résumé analytique du rapport).
Permalink[texte imprimé]The Social Impact of Adjustment Operations : An Overview PENALVER, Manuel, Banque mondiale - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1995/06, 215 P.
"De bonnes politiques et mesures macroéconomiques combinées avec des politiques sectorielles pertinentes et des financements publics appropriés fournissent un environnement favorable à l'accélération de l'épargne et de l'investissement, tous deux nécessaires à une croissance économique soutenue et à une réduction de la pauvreté". Tel est le principal message qui se dégage de ce rapport qui examine en détail les conséquences sociales des programmes d'ajustement structurel à partir de l'analyse de 144 opérations soutenues par la Banque mondiale et réalisées dans 53 pays durant la dernière décennie (1980-1992).
Permalink[texte imprimé]Toward Gender Equality : The Role of Public Policy , - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1995, 75 P.
L'égalité entre hommes et femmes ne relève pas seulement du domaine de la justice sociale, mais aussi de celui des sciences économiques. La discrimination signifie une perte de productivité et un bien-être moindre pour les femmes, leurs familles et la société en général. Bien que l'écart se resserre dans l'éducation, la santé et beaucoup d'autres domaines, les femmes sont toujours moins éduquées que les hommes, travaillent plus d'heures et sont moins payées. Les disparités entre hommes et femmes persistent à cause de normes sociales et institutionnelles et du manque d'information. Cet ouvrage souligne ce que les gouvernements et les Organisations Non Gouvernementales peuvent faire pour réduire ces inégalités.
Permalink[texte imprimé]Toward Sustainable Management of Water Resources SERAGELDIN, Ismaïl, - WASHINGTON (ETATS UNIS) : BANQUE MONDIALE, 1995, 33 P.
Après avoir analysé les échecs des décennies précédentes, la Banque mondiale a décidé de changer fondamentalement sa politique pour ce qui concerne la gestion de l'eau. Les nouveaux objectifs consistent à prendre en compte une meilleure utilisation et répartition de l'eau, une plus grande protection de la qualité et de l'environnement ainsi que de reconnaître le prix de l'eau et les notions marchandes qui en découlent. Les besoins financiers pour la gestion de l'eau sur la planète sont immenses. La Banque mondiale s'efforcera de répondre à ces besoins.
Permalink
NW Washington, DC 20433
tél : +1 202-473-1000
fax : +1 202-477-6391
https://www.banquemondiale.org/
https://www.worldbank.org/